Est vrai tout jugement, connaissance, idée qui est conforme à la réalité ; généralement, à des faits.

En philosophie, est vrai, tout ce qui est de l’ordre de la pensée et qui est conforme à l’expérience.

La vérité est un rapport de conformité, d’adéquation entre pensée et réel, mais plutôt sous la forme de connaissance.

Ex : la connaissance scientifique est objective.

 

La vérité n’est pas à confondre avec le réel :

·         Le vrai qualifie l’énoncé d’une représentation mentale et non un fait.

·         Le réel qualifie l’énoncé d’un fait, un événement qui existe ou pas. Mais il n’y a pas d’accès immédiat, direct au réel : une perception sensorielle est propre à son individu et à son expérience.

 

Les valeurs esthétiques sont personnelles et sont tout le contraire de la vérité scientifique : « Y-a-t-il des vérités esthétiques aussi importantes que celles de la science ? »

 

Vrai et Faux , qualifient plus de représentations.

 

La vérité concerne la réalité.

Réel ou pas = existe ou pas ( faits, évènements )

 

« Est ce que les choses sont-elles ce qu’elles semblent être, ou bien faut-il dépasser les informations que nous donnent nos sens ? »

 

En philosophie cours, une connaissance est vraie si sa base est construite par la Raison. Parvenir à la connaissance implique donc l’incursion de le Raison.

 

La vérité, c’est l’adéquation, la correspondance entre une idée et l’objet qu’elle représente.

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C'est parti

I/  Vérité et cohérence : l’idéal scientifique

Qu’est ce que l’idée de cohérence a avoir avec la vérité ?

Relève du principe de logique.

La cohérence c’est d’être en mesure d’établir des relations logiques.

La cohérence est un critère de la vérité, c’est la validité ( formelle ). C’est égale à la connaissance de la vérité ( matérielle ) de faits, d’évènements, …

 

Il y a même des cohérences apparentes qui aboutissent à une conclusion aberrante : raisonnement par syllogisme « Tout ce qui est rare est cher, hors un cheval bon marché est cher, donc un cheval bon marché est cher » La cohérence est bonne mais n’est pas conforme à la réalité.

 

Dans les sciences, pour juger un accord entre idée et objet, on dispose de ressources particulières : les preuves et les démonstrations. « Est vrai ce qui a été prouvé ou démontré. »

 

·         Démontrer : en latin cela veut dire « montrer quelque chose à partir de … », montrer signifie désigner un objet dans le réel. Cela fait appel à un raisonnement.

Ex : en maths, raisonnement démonstratif à partir de principes. Principe de causalité en physique ( expliquer ), cela exige d’une vérité matérielle. Principe de causalité qui exige d’une vérité de cohérence.

Démontrer c’est être en mesure de garantir la nécessité d’une conclusion à partir de propositions initiales dont la vérité soit déjà démontrer,  soit est admise sans démonstration.

Même les sciences, reposent en dernière analyse, sur des propositions non démontrable bien qu’elles soient admises évidentes. Même dans les sciences, il est impossible de tout démontrer. On les appelles les propositions initiales :

·         Postulats

·         Axiomes : proposition d’une vérité évidente mais non démontrable.

Deux mathématiciens vont inventer à partir d’axiome une géométrie non Euclidienne.

Ex :  En maths, on est obligé de recourir à des propositions premières qu’on admet comme vraies sans que nous pouvons les démontrer. Géométrie d’Euclide ( V siècle avant J.C ), Euclide est le fondateur de la géométrie, la base de la géométrie est les Egyptiens (connaissances rudimentaires ). Les techniques de comptage ont précédé les lois théoriques (expériences avant théorie ).

La base de l’astronomie c’est les Grecs. Euclide a écrit un ouvrage Les Eléments où il dit que certaines propositions sont admises comme vraies sans qu’on puisse les démontrer (intuitif). L’affirmation qui pose que par un point extérieur à une droite, on ne peut prouver qu’une seule parallèle.

Riemann a trouvé une autre géométrie, la géométrie non-euclidienne, en cherchant paradoxalement à approfondir un axiome d’Euclide. Sa géométrie consiste à monter en partant d’axiomes différents, nous pouvons aboutir à des géométries cohérentes et tout à fait vraies.

Darwin, en biologie, a comme théorie admise le mécanisme de l’évolution par le moyen du mécanisme de la sélection naturelle des espèces. Elle est admise comme vraie, mais elle est non-démontrable , la sélection n’opère qu’à l’échelle de millions d’années ( mouches drosophiles = reproduction quotidienne )

En maths, on est obligé  à des propositions premières, initiales, qu’on admet comme vraies sans qu’on puisse les démontrer : ce sont les axiomes, qu’on nomme aussi les postulats. Ainsi dans la géométrie d’Euclide, l’affirmation qui pose que par un point extérieur à une droite, on ne peut prouver qu’une seule droite intuitivement. Elle est empiriquement évidente et pourtant, nous n’avons jamais pu la démontrer.

En 1935, le mathématicien Lobatchevski cherche à démonter l’axiome de Euclide par l’absurde en admettant comme hypothèse que toutes les droites peuvent passer par un même point en étant parallèle à une droite donnée. Or non seulement il ne parvient à aucune contradiction, il a pu développer à partir d’un axiome, une géométrie parfaitement cohérente. En suivant cette démarche, Riemann développe une géométrie tout aussi cohérente où il ne peut passer par un point, aucune droite parallèle à une droite donnée. La géométrie de Riemann a servi à Einstein pour élaborer la relativité générale ( en particulier pour établir la courbure de l’espace temps ).

En physique, une théorie n’est jamais entièrement prouvée, elle est fondée, prouvée par l’expérience .L’épistémologue est un spécialiste en science. L’hypothèse soutient l’observation, la théorie et l’expérimentation. La théorie physique est vraie tant qu’elle n’a pas été réfuté. C’est la différence entre une expérience qui est toujours particulière et la théorie qui est toujours universelle.

La thèse de Karl Popper est qu’il affirme qu’une théorie scientifique est déclarée comme vraie non parce qu’elle est prouvée mais tant qu’aucune autre expérience n’a réussi à la réfuter. C’est l’idée de la falsifiabilité des théories scientifiques.

En biologie, la théorie de l’évolution des espèces par la moyen de la sélection naturelle de Darwin n’a jamais été prouvé par l’expérience car cette évolution n’opère qu’à l’échelle de millions d’années. Donc on ne peut prouver aucune expérience qui soit à la mesure de confirmer cette théorie ni de la réfuter. La thèse admise par les biologistes est la seule qui puisse expliquer de façon cohérente la formation et l’évolution des espèces ( en se connaissant des parentés entre les organismes acteurs et des fossiles ).

 

Une démonstration absurde c’est envisager la proposition contraire et que les conséquences cette proposition que ma proposition est vraie.

« Est une démonstration  indirecte d’une proposition par les conséquences absurdes ou contradictoires de la proposition contraposée ».

 

La vérité n’existe pas sinon comme catégorie générale de la pensée, il y a des vérités toujours relatives et provisoires dans les sciences. Elle ne progresse pas au contraire qu’en réfutant ou en rectifiant les acquis antérieurs. Une vérité scientifique remplace ou périme celle d’hier.

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II/  Erreur, mensonge et illusion

 Le mensonge suppose qu’on connaît la vérité. Le mensonge est un hommage à la vérité, on ne peut mentir qu’en connaissant la vérité.

L’erreur est un défaut d’ignorance qui entraîne une action qui nous fait alors tomber dans l’erreur. On se trompe, on est irréfléchi car on croit savoir, on précipite. Tout erreur est de l’ordre du préjugé. L’erreur ramène l’inconnu au connu ( tendance universelle ). Elle est subjective, on se trompe car on s’est précipité. Cela est du à une forme d’irréflexion, de jugement. Une imprudence est un préjugé, se tromper s’est juger.

« Une théorie scientifique, c’est une erreur rectifiée » Bachelard.

Qu’est ce qui nous fait croire que l’on sait ? La honte de l’ignorance.

« On ne demande jamais plus de raisons qu’on a eu » Descartes.

Pour savoir, il faut être trompé par les apparences. Il y a une distinction entre le vrai du vraisemblable.

Une évidence c’est voir ce que ma pensée saisie. Le critère de l’évidence c’est la clarté et la distinction.

Ce qui se tient derrière une erreur c’est l’illusion.

Une illusion est une espèce d’erreur, qui n’est pas en mesure d’être conscient. Derrière l’illusion, il y ale désir et l’intérêt du  sujet de l’individu.

On peut rectifier une erreur alors qu’une illusion est irrémédiable. C’est une image que l’on a donné à son intérêt. Il y a des fortes chances qu’elle réapparaisse sous une autre forme. L’illusion résiste à sa rectification, à sa réfutation. Elle s’appuie sur l’intérêt par la désir.

L’illusion peut être contrôlée par la Raison même si elle reste toujours appuyée sur le désir . elle intervient pour se protéger de la déception du réel. Elle est sécurisante. Tout illusion entraîne une expérience de désillusion. Elle stimule les affects.

 

Source de l’illusion c’est :

La réminiscence, qui est un phénomène de la mémoire involontaire, le retour d’un souvenir qui est porteur d’un sens de vérité ( que l’on a raté ).

L’étymologie d’illusion est « illudere » qui veut dire ludique ( se jouer de / se tromper / abuser)

Derrières de nombreuses erreurs, il y a souvent une illusion et que le propre d’une illusion à la différence de l’erreur est qu’il ne peut jamais être déraciner par un savoir.

Se mentir à soi-même c’est se raconter des histoires, on sait que ce qu’on se dit n’est que illusion, on s’accroche à des raisons de protection de stabilité.

L’illusion a une puissance d’envoûtement dans un monde sécurisant.

Nous ne sommes pas seulement victimes de l’illusions, nous en sommes aussi complices.

« Entretenir des illusions ».

III/  La vérité et la certitude

La certitude c’est le sentiment que quelqu’un a d’être en présence d’une vérité. C’est l’affect de la vérité.

La certitude en elle-même procure le sentiment de protection , d’apaisement.

 

Une vérité s’impose à tous les esprits, quand elle établit, on s’incline à elle. Elle est impersonnelle, parenté avec la Raison. Elle oblige un partage.

La vérité non démonstrative, par exemple la foi.

Si être certain, c’est tenir fermement quelque chose de vrai, une simple opinion, conviction, croyance, pourvu qu’on n’y croit dur comme fer, cela serait immédiatement une vérité.

L’homme est un animal croyant.

Il y a des degrés de croyance. Il existe une conjecture, qui est une sorte d’impression de supposition (croyance faible : exemple à le temps de demain) et une croyance comme une conviction idéologique, religieuse, politique (degrés fort, fiable engagement subjectif ).

Une croyance, une foi, une conviction ne sont pas réfutables, on les combat.

On adhère indéfectible à une idée mais la Raison n’a de l’efficacité que si les théories sont rationnelles.

 Une certitude c’est un expérience subjectif qui est une confirmation .

« Qu’un dieu existe, je peux croire et en être certain mais en faite cette affirmation est moins vraie que fausse qu’un décidable, ce n’est que simple certitude subjective, il en va de même pour l’athéisme. »

On ne peut trancher qu’en confrontant les conséquences de ces deux convictions contraires et tirer une première conclusion.

Il y a moins de certitudes dans le savoir que dans la foi car tout savoir est rectifiable, susceptible d’être réfuter, mis en doute, mais une foi n’est pas réfutable, on la combat en invoquant d’autres convictions.

Celui qui aime vraiment la vérité doit se défaire de toute certitude en sachant reconnaître le désir, les intérêts qui se cachent derrière ce besoin de certitude, on retrouve cette sécurisation.

La vérité vaut bien mieux que la certitude car elle s’appuie souvent sur des illusions mais il y a aussi la certitude de conviction qui est dangereuse car elle n’est pas réfutable, il faut donc renoncer, se méfier de la certitude et accepter l’incertitude car elle permet de connaître, de s’ouvrir et de trouver la vérité.

La certitude aboutit parfois au fanatisme, elle est illusoire.

IV/  Vérité et pragmatisme

 Le pragmatisme est une doctrine selon laquelle n'est vrai que ce qui fonctionne réellement.

La vérité ne peut être testée en fonction de son utilité pratique.

Mettre en application une vérité pour savoir si elle fonctionne. Tout est nécessaire mais le danger du pragmatisme c’est la généralisation.

La pragmatisme est une conception intéressante mais problématique (le médicaments placebo). C’est le succès, la réussite qui intervient comme preuve de la théorie.

 

L’étymologie de pragmatisme c’est « pragma » qui veut dit affaire, chose, action. Cela se réfère à une expérience.

 

L’utilité devient même le critère de la vérité.

 

William James dit « il n’y a pas vraiment de vérité purement théorique », « la vérité est un événement » et « le crédit c’est la croyance ».

 

Les difficultés du pragmatisme sont les croyances opposées qui peuvent avoir les mêmes effets pratiques sans qu’elle soient de sources de succès et la généralisation.

 

Le particulier peut réfuter l’Universel mais ne pourra jamais être en mesure de prouver la validité et l’universalité de cette théorie.

 

La vertu propre de la vérité n’est pas de satisfaire le désir ou le besoin mais de nous instruire sur le réel et sur nous même.

 

La vérité peut être décevante et cruelle. Elle tranche, clarifie d’une façon objective. Nous ne somme pas en mesure de décider ce qu’est la vérité. Elle n’est pas une satisfaction. Ma Raison s’incline à la vérité.

« Les vérités rassurantes devraient être démontrer deux fois » car la première fois on peut s’être fabriquer une certitude pour nous rassurer.

V/ La vérité et l’opinion

L’opinion en grec signifie « doxa » qui veut dire pensée abstraite. C’est la volonté de la majorité.

 

Commentaire du texte de Deleuze « Qu’est ce que la philosophie ? » :

 

Le texte porte sur le statut de l’opinion dans la pensée/société commune.

L’idée principale du texte est que l’opinion a une dimension affective, cela veut dire qu’elle est subjective.

L’opinion a une forme de jugement qui s’appuie sur le vécu. On extrait une qualité de l’objet de l’opinion ( le fromage a plusieurs qualités par exemple il sent mauvais ).

L’opinion est partielle ( on juge l’objet à partir d’une de ces qualités ) et partiale ( on manifeste une préférence ). Elle se range automatiquement dans un groupe défini. Les opinions sont personnelles, on se rejoint dans un groupe qui partage la même opinion

L’opinion c’est la capacité à s’imposer sans être démontrer, elle se démontre elle même.

L’exercice de la pensée se borne à reconnaître un objet en le réduisant abstraitement à une de ces propriétés et à s’identifier du même mot à un groupe au moins potentiel qui soutient cette même opinion. C’est pourquoi l’opinion est foncièrement conformiste puisqu’elle est dans son essence : volonté de majorité.

 

Est ce que une opinion en tant qu’opinion peut-elle prétendre à la vérité ?

 

Elle fonctionne selon deux registres : réaction affective et perception .

Elle généralise et se présente comme jugement. Qui s’inscrit dans deux dimensions indissociables : celle de la perception qui revient à abstraire une qualité d’un objet qui sera ensuite généralisée et appliquée abusivement aux objets les plus divers ; et celle de l’affectivité puisque le jugement de l’opinion réagit à la valeur supposée de la qualité, en se référant à un groupe d’appartenance où elle trouve à se renforcer.

L’opinion est donc à la fois partielle ( incomplète ) et partiale ( elle juge d’un objet en fonction des valeurs dominantes dans la société ).

 

D’ou la pauvreté, la banalité des opinions et leur conformisme.

L’opinion manque de toutes les conditions requises à l’établissement de sa vérité ou de son objectivité qu’elle vise à régner sur toute la pensée en s’appropriant abusivement les ressources du contexte.

Elle s’impose sans justification ni argument, elle ne supporte pas la contestation, refuse de rendre raison d’elle même.

 

Il y a certes des opinions qui s’expriment avec un certain coefficient d’incertitude. L’opinion est une autorité supérieure qui empêche toute opposition.

 

Les jugements n’ont pas de faits. Un jugement de valeur doit préserver des mœurs idéologiques, morales, … Le plus souvent l’opinion ne fait que traduire.

A) L’opinion et le bon sens

Le bon sens est une croyance qui repose sur l’idée que le sens des choses est toujours clair , unique. Rien n’est jamais vraiment problème.

Nous sommes toujours en mesure d’arriver à un principe ou des valeurs fondamentales d’une société.

Derrière l’illusion, il y a un désir. Si on arrive à enlever une illusion, le désir se déplace pour refaire une illusion. Si on ne veut plus d’illusion alors on ne veut plus de désir.

B) L’opinion et la bêtise

Rapport avec la pensée = erreur volontaire

C’est une forme d’exercice de la pensée qui menace tout le monde. Celui qui croit qui sait, peut tomber dans la bêtise.

La bêtise est d’autant plus installée chez un individu borné de certitude. Quelqu’un est bête quand il se croit détendeur d’une certitude et dans ce cas, la bêtise se transmet à l’autre    ( croyance dogmatique ).

VI/ Exemple : Boward et Péluchet de Flaubert

Les gens croyants s’imaginent être protéger, être garantit de la protection de la bêtise.

La bêtise n’est pas en fonction de l’ignorance. « Il y a des têtes bien pleines » Montaigne.

Elle renvoie à une incapacité de penser, de déterminer une difficulté.

Penser : être en mesure de discerner un problème.

On ne peut engager une hypothèse sans penser à un problème. C’est la capacité de déterminer des problèmes avant même de les éluder.

Les problèmes sont plus importants que les réponses en philosophie, c’est une priorité. Exemple : En Grèce Antique, de nombreuses questions ont été posé sans réponses extrêmes de la question du problème.

La solution n’a pas de valeur qu’en fonction de la manière dont est posée le problème. Rien n’est plus naturel que la recherche philosophique.

« La pente naturelle de la pensée est plutôt par essence » Platon

Il faut remonter des opinions pour trouver des problèmes. Exemple : la science : connaissances objectives à partir d’un problème en se fiant à la Nature.

Le racisme est une incompréhension et une difficulté de perception. C’est une incapacité due à faire une différence. La notion de race est fausse : variété d’une seule espèce, très grande unité génétique dans l’espèce humaine, l’ADN est le seul critère d’individualisation.

La science annule la notion de race, le problème est le racisme culturel et ethnique.

Ethnocentrisme :  juge une culture en fonction de principes d’une autre culture.

Le bêtise humaine conduit à tous les conflits, et est à la base des conflits.

On tolère la bêtise comme celle d’un enfant et on la pardonne facilement croyant qu’elle se répara toute seule. C’est ça le danger.

Au XVIIIe siècles les philosophes pensaient que l’erreur est dangereuse.

Bêtise proche du dogmatisme et de l’illusion.

Racisme par affect  = racisme primaire

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Olivier

Professeur en lycée et classe prépa, je vous livre ici quelques conseils utiles à travers mes cours !