introduction : La transmission de l'info au niveau des synapses met en jeu des substances chimiques appelées NT. Cependant, certaines substances fabriquées par l'organisme ou prise de produits chimiques modifient le fonctionnement des synapses, changeant ainsi les infos transmises à leur niveau.

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C'est parti

I/ Modulation du message nerveux : enképhaline et récepteurs opioïdes

A) Synapses sur voie de douleur

La naissance des messages nerveux de la douleur se fait au niveau des récepteurs nociceptifs. Puis une synapse au niveau de la corne dorsale de la substance grise de la moëlle épinière, entre les neurones nociceptifs afférents et ceux remontant au cerveau pr amener l'info -> cette transmission met en jeu 2 NT : le glutamate et susbtance P

Schéma partielle, comportant des éléments inutiles: ici

Plus l'agression est forte, plus la fréquence des PA du neurone nociceptif est élevée -> forte libération de NT -> vive douleur

B) Enképhalines

Une expérience montre qu'un système est capable de moduler le msg nerveux qui se dirige vers le cerveau -> sensation de douleur - intense. Il a été mis en évidence la présence de neurones (interneurones) connectés aux neurones postynaptiques (ds la corne dorsale de la substance grise de la moëlle épinière) -> libèrent des NT (après naissance du msg nerveux de la douleur). Ces NT st appelés enképhalines.

Se fixent sur les récepteurs spécifiques situés sur la membrane postsynaptique. Ce st les récepteurs opioïdes/ La fixation de l'enképhaline sur les récepteurs opioïdes entraînent un inhibition (=baisse de l'activité) des neurones psotynaptiques  -> fréqunece des msgs nerveux nociceptifs postsynaptiques qui deviennent alors + faible (par rapport à ce qu'elle devrait être) -> baisse de la sensation de douleur car la fréquence est + faible. Un tel effet est analgésique.

C) Morphine

Après stimulation, la fréquence est élevée donc il y a une vive douleur, c'est l'expérience témoirn. Après 5mn après l'injection, la fréquence des Pa diminue -> la douleur est atténuée. La morphine réduit donc la douleur. C'est un analgésique puissant. Après 15mn, la fréquence des Pa commençent à réaugmentée -> la douleur devient + intense. L'action de la morphine a donc une action limitée dans le temps.

La morphine est une molécule extraite à partir de l'opium du pavot (végétal). Il a une structure proche de celle des enképhalines -> en effet, après administration, la morphine va être capable de se fixer sur les récepteurs opioïdes (ce st les même que ceux des enképhalinàes -> l'action mime celle des enké. mais de façon + puissante -> la morphine bloque durablement et prseque totalement l'émission des PA du neurone postsynaptique -> le cerveau reçoit pas ou peu d'informations onc pas de douleur jusqu'à la dégradation de la morphine par l'organisme. La morphine a donc une actin analgésique puissante.

II/ Circuit de la récompense

Ds le cerveau, il existe un réseau de neurones dont l'action procure du plaisir : ce st des neurones à dopamine.
Leur stimulation libère u neuro-transmetteur (NT) : la dopamine. Ce NT est libéré principalemt ds le cortex (partie périphériue du cerveau) et entraîne une sentation de plaisir.
Cela constitue le circuit de la récompense puisque ce réseau est en activité quand les infos sensorielles atteignant le cerveau sont associés à quelque chose d'agréable.

III/Contrôle du circuit de la récompense

Dans des conditions normales, le circuit de récompense est freiné afin dene pas être en permanence en "sensation de plaisir". Il existe dc un système de neurones qui inhibent (diminuent) l'action des neurones à dopamines. Ils st au contact des neurones à dopamine et libèrent des NT (les GABA) qui se fixeent sur les récepteurs spécifiques situés sur les neurones à dopamine -> l'action de ces derniers est fortement freiné -> pas ou peu de libération de dopamine.
Cependant, sur les neurones inhibiteurs, présence de récepteurs opioïdes -> permettent la fixation des enké. sur les récepteurs et dimunant l'activité des interneurones et donc la libération des GABA donc inhibition des neurones à dopamine levée. On a donc une libération accrue de dopamine donc une sensation de plaisir.
Conclusion :

Ds le cerveau, la fixation des enké. sur les récepteurs opioïdes des neurones modulateurs (interneurones) provoquent la levée d'inhibition qu'ils exercent sur l'activité des neurones dopaminergiques. Par voie de conséquence, cette levée d'inhibition entraîne la libération accrue de dopamine contribuant à la sensation de plaisir. L'action de l'héroïne (dérivé de morphine) est permise car la molécule à une "même forme" que celle des enké. ->

la molécule est donc capable de se fixer sur les récepteurs opioïdes présents sur les interneurones. Ds le cas du circuit de la récompense, l'héroïne inhibe l'action de l'interneurone en mimant l'action des enké. Cependt, l'inhibition est bcp + forte que celle naturellement effectuée par les enké. -> la sensation de plaisir est bcp + intense. La plupart des drogues agissent par mécanismes différents, sur les neurones à dopamine du système de la récompense.IV ) Mécanismes de la dépendanceA la différence des enké., les dérivés de la morphine mettent lgtps avt d'être dégradé par l'organisme.

La morphine ou un dérivé, pris de façon répeté au cours du temps, engendre une tolérance (=il faut donc augmenter les doses pr obtenir les mêmes effets), une dépendance physiologique (troubles variés accompagnt l'arrêt de la prise de drouge) et dépendance psychique (état de manque à l'origine de la toxicomanie). La dépendance aux drogues est complexe et dépent de facteurs psychologiques mais aussi de l'environnement et sociaux. Arrêt de la prise de toute drogues nécessite la mise en application d'un protocole de sevrage impliquant un suivi médical prolongé et une aide psychologique.

A la différence des enké., les dérivés de la morphine mettent lgtps avt d'être dégradé par l'organisme. La morphine ou un dérivé, pris de façon répeté au cours du temps, engendre une tolérance (=il faut donc augmenter les doses pr obtenir les mêmes effets), une dépendance physiologique (troubles variés accompagnt l'arrêt de la prise de drouge) et dépendance psychique (état de manque à l'origine de la toxicomanie). La dépendance aux drogues est complexe et dépent de facteurs psychologiques mais aussi de l'environnement et sociaux. Arrêt de la prise de toute drogues nécessite la mise en application d'un protocole de sevrage impliquant un suivi médical prolongé et une aide psychologique.

IV/Mécanismes de la dépendance

A la différence des enké., les dérivés de la morphine mettent lgtps avt d'être dégradé par l'organisme. La morphine ou un dérivé, pris de façon répeté au cours du temps, engendre une tolérance (=il faut donc augmenter les doses pr obtenir les mêmes effets), une dépendance physiologique (troubles variés accompagnt l'arrêt de la prise de drouge) et dépendance psychique (état de manque à l'origine de la toxicomanie). La dépendance aux drogues est complexe et dépent de facteurs psychologiques mais aussi de l'environnement et sociaux. Arrêt de la prise de toute drogues nécessite la mise en application d'un protocole de sevrage impliquant un suivi médical prolongé et une aide psychologique.

A la différence des enké., les dérivés de la morphine mettent lgtps avt d'être dégradé par l'organisme. La morphine ou un dérivé, pris de façon répeté au cours du temps, engendre une tolérance (=il faut donc augmenter les doses pr obtenir les mêmes effets), une dépendance physiologique (troubles variés accompagnt l'arrêt de la prise de drouge) et dépendance psychique (état de manque à l'origine de la toxicomanie). La dépendance aux drogues est complexe et dépent de facteurs psychologiques mais aussi de l'environnement et sociaux. Arrêt de la prise de toute drogues nécessite la mise en application d'un protocole de sevrage impliquant un suivi médical prolongé et une aide psychologique.

Dans des conditions normales, le circuit de récompense est freiné afin dene pas être en permanence en "sensation de plaisir". Il existe dc un système de neurones qui inhibent (diminuent) l'action des neurones à dopamines. Ils st au contact des neurones à dopamine et libèrent des NT (les GABA) qui se fixeent sur les récepteurs spécifiques situés sur les neurones à dopamine -> l'action de ces derniers est fortement freiné -> pas ou peu de libération de dopamine.
Cependant, sur les neurones inhibiteurs, présence de récepteurs opioïdes -> permettent la fixation des enké. sur les récepteurs et dimunant l'activité des interneurones et donc la libération des GABA donc inhibition des neurones à dopamine levée. On a donc une libération accrue de dopamine donc une sensation de plaisir.
Conclusion :

Ds le cerveau, la fixation des enké. sur les récepteurs opioïdes des neurones modulateurs (interneurones) provoquent la levée d'inhibition qu'ils exercent sur l'activité des neurones dopaminergiques. Par voie de conséquence, cette levée d'inhibition entraîne la libération accrue de dopamine contribuant à la sensation de plaisir. L'action de l'héroïne (dérivé de morphine) est permise car la molécule à une "même forme" que celle des enké. ->

La molécule est donc capable de se fixer sur les récepteurs opioïdes présents sur les interneurones. Ds le cas du circuit de la récompense, l'héroïne inhibe l'action de l'interneurone en mimant l'action des enké. Cependt, l'inhibition est bcp + forte que celle naturellement effectuée par les enké. -> la sensation de plaisir est bcp + intense. La plupart des drogues agissent par mécanismes différents, sur les neurones à dopamine du système de la récompense.IV ) Mécanismes de la dépendanceA la différence des enké., les dérivés de la morphine mettent lgtps avt d'être dégradé par l'organisme.

La morphine ou un dérivé, pris de façon répeté au cours du temps, engendre une tolérance (=il faut donc augmenter les doses pr obtenir les mêmes effets), une dépendance physiologique (troubles variés accompagnt l'arrêt de la prise de drouge) et dépendance psychique (état de manque à l'origine de la toxicomanie). La dépendance aux drogues est complexe et dépent de facteurs psychologiques mais aussi de l'environnement et sociaux. Arrêt de la prise de toute drogues nécessite la mise en application d'un protocole de sevrage impliquant un suivi médical prolongé et une aide psychologique.

A la différence des enké., les dérivés de la morphine mettent lgtps avt d'être dégradé par l'organisme. La morphine ou un dérivé, pris de façon répeté au cours du temps, engendre une tolérance (=il faut donc augmenter les doses pr obtenir les mêmes effets), une dépendance physiologique (troubles variés accompagnt l'arrêt de la prise de drouge) et dépendance psychique (état de manque à l'origine de la toxicomanie). La dépendance aux drogues est complexe et dépent de facteurs psychologiques mais aussi de l'environnement et sociaux. Arrêt de la prise de toute drogues nécessite la mise en application d'un protocole de sevrage impliquant un suivi médical prolongé et une aide psychologique.

IV/ Mécanismes de la dépendance

A la différence des enké., les dérivés de la morphine mettent lgtps avt d'être dégradé par l'organisme. La morphine ou un dérivé, pris de façon répeté au cours du temps, engendre une tolérance (=il faut donc augmenter les doses pr obtenir les mêmes effets), une dépendance physiologique (troubles variés accompagnt l'arrêt de la prise de drouge) et dépendance psychique (état de manque à l'origine de la toxicomanie). La dépendance aux drogues est complexe et dépent de facteurs psychologiques mais aussi de l'environnement et sociaux. Arrêt de la prise de toute drogues nécessite la mise en application d'un protocole de sevrage impliquant un suivi médical prolongé et une aide psychologique.

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Olivier

Professeur en lycée et classe prépa, je vous livre ici quelques conseils utiles à travers mes cours !