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C'est parti

Qu'est-ce qu'une contraction de texte ?

Résumer un texte, c'est se mettre à la place de l'auteur et reprendre – en son nom – l'argumentation en la réduisant au quart des mots utilisés.

Pour faire le résumé d'un texte, il faut donc le réduire.

Cela implique deux choses : l'abandon de certaines idées et la reformulation abrégée de celles qui sont essentielles.

Celui qui veut contracter un texte rencontre donc deux difficultés essentielles :

  • lors du repérage des idées essentielles.
  • lors de la reformulation, qui se fait sous une forme abrégée, avec des termes différents de ceux que l'auteur a employés.

Le risque, lorsque l'on se confronte à ces deux exercices, c'est de fausser le sens du texte que l'on veut restituer.

Méthode

Pour résumer au mieux un texte, il faut comprendre ses idées essentielles, son système d'énonciation et ses articulations logiques.

Les articulations logiques d'un texte

La structure d'un texte correspond à l'organisation logique de ses idées. Elle est souvent mise en évidence par la division en paragraphes et par la présence de mots de liaison (conjonctions de subordination et de coordination, adverbes, ...).

L'évolution des idées du texte est également soulignée par les changements de vocabulaire. On appelle réseau lexical l'ensemble des termes se rapportant à la même idée, de manière proche ou plus éloignée.

De la même façon qu'il est important de repérer les idées essentielles et le système d'énonciation d'un texte, il faut repérer la manière dont s'articulent logiquement les idées et les mots qui les expriment.

Le tableau suivant récapitule les différents mots de liaison, leur nature, leur sens et le lien logique qu'ils soulignent.

 
Adverbes et conjonctions de coordination
Conjonctions de subordinationPrépositionsExpressions particulières
Analogies
Équivalences
Adjonctions (additions)
Et, aussi, soit, de même, de plus, c'est-à-dire, par exemple…Comme, ainsi que, de même que, autant… autant, plus… plus, comme si, aussi que, autant que, plutôt que, d'autant plus, d'autant moins que, ...En plus de, en sus de, outre…A ceci s'ajoute que, ceci se rapproche de, évoque, rappelle, ressemble, fait penser, est semblable à, …
Séparation
Division
Alternance
Ou, ni, soit… soit, ...Soit que… soit que, non pas que… mais sauf que, sauf si, si ce n'est, excepté que, excepté si, à moins que, ...Sans, hormis, excepté, sauf, …Ceci exclut, diffère de, n'est pas compatible avec, …
Objection
Contradiction
Opposition
Mais, néanmoins, cependant, pourtant, en revanche, au contraire, toutefois, or, ...Tandis que, alors que, quand, si, là, où, loin que, bien que, même si, encore que, quoique, quand même, quel que, quelque .. que, si… que, ...Contre, en dépit de, loin de, malgré, ...Avoir beau…, ceci s'oppose à, ceci contredit, ceci empêche, interdit, …
Cause
Motivation
Explication
En effet, car, ...Parce que, vu que, étant donné que, puisque, comme, c'est que, du moment que, dès lors que, sous prétexte que, d'autant que, ...A cause de, à la suite de, en raison de, par suite de, ...Ceci résulte de, découle de, dépend de, provient de, procède de, ressortit de, vient de, …
Conséquence
Déduction
Corollaire
Donc, par conséquent, en conséquence, aussi, c'est pourquoi, ainsi, ...De (telle) sorte que, de (telle) façon que, de (telle) manière que, si bien que, au point que, si… que, trop ... pour que, ...Au point de, de peur de, de crainte de, afin de, pour, dans l'intention de, …Ceci implique, entraîne, amène, cause, produit, suscite, incite, pousse à, il s'ensuit que… , cela a pour effet de..., ....

Repérer les articulations logiques du texte

Pour repérer l'évolution logique d'un texte, utilisez les trois éléments suivants :

  • la division en paragraphes
  • les réseaux lexicaux
  • les articulations logiques
Comment devenir meilleur à l'école ?

La division en paragraphes s'observe facilement. Si les paragraphes sont nombreux et courts, ne les conservez pas dans le résumé : intégrez-les à ce qui précède ou à ce qui suit.

Les réseaux lexicaux s'analysent à partir des champs lexicaux et de la reprise de termes traitant d'un même thème.

Les articulations logiques peuvent se présenter sous plusieurs formes :

  • mots ou expressions logiques
  • déterminants précis : pronoms personnels, adjectifs démonstratifs
  • simple reprise de termes appartenant au même réseau lexical

Le système d'énonciation

Le système d'énonciation d'un texte est l'ensemble des indices (pronoms personnels, verbes d'affirmations ou de jugement…) qui permettent de comprendre :

  • qui parle
  • qui prend à son compte les opinions ou les jugements prononcés
  • qui est le destinataire du message.

Ne pas savoir identifier le système de l'énonciation conduit à des contresens qui faussent la signification d'un texte.

Savoir l'identifier

Pour identifier le système de l'énonciation, aidez-vous des pronoms personnels et repérez les verbes qui suggèrent l'existence de paroles ou de pensées, celles de l'auteur ou celles de quelqu'un d'autre.

Soyez attentifs à l'ironie : elle se révèle par des effets de décalage et se manifeste lorsque l'auteur affirme le contraire de ses convictions.

Exemples et citations à l'intérieur d'un texte

Résumer un texte est souvent rendu difficile par la présence d'exemples, de citations, d'interventions exprimées au style direct. Il faut, à ce sujet, respecter quelques règles.

Les exemples ne sont pas à supprimer systématiquement. Ceux qui ont pour seule fonction d'illustrer une idée déjà exprimée peuvent disparaître. Ceux qui ont valeur d'argument doivent être conservés.

Une citation reprise entre guillemets ne peut être modifiée. Si le résumé implique qu'elle soit réduite, et donc modifiée, il faut supprimer les guillemets. Si vous ne parvenez pas à reformuler la citation, ou que vous voulez en conservez une partie, vous pouvez utiliser les points de suspension entre crochets ([...]) pour signifier que vous avez supprimé une partie de la citation restituée.

Une intervention rapportée au style direct peut être conservée si elle est brève. On garde alors les guillemets. Si elle doit être résumée, il vaut mieux l'intégrer au texte sous forme de style indirect. On supprime alors les guillemets.

Méthode

Conservez les exemples qui jouent le rôle d'une idée, d'un argument ; supprimez ceux qui ne servent qu'à reprendre une idée déjà exprimée et à l'illustrer.

Si vous choisissez de rendre une phrase au style direct, modifiez-la pour la résumer et pour la transformer en style indirect.

Le problème des synonymes

Vouloir remplacer les mots du texte par des synonymes comporte des risques : ainsi, il faut vérifier que le mot choisi s'adapte au contexte.

Que faut-il savoir pour réussir son année scolaire ?

Certains mots clés des textes ne peuvent pas être remplacés par des équivalents : livre, télévision, liberté, démocratie, violence, culture, civilisation, société de masse

Vous ne pouvez éviter de les reprendre et il vaut mieux les employer plutôt que de chercher les « mauvais équivalents » qui vous ferait prendre le risque de fausser le sens du texte.

Résumé des textes non-contemporains

Certains textes donnés à résumer ont été écrits au dix-neuvième, voire au dix-huitième siècle. Leur appartenance à une époque non contemporaine a pour conséquence deux difficultés dont il faut être conscient :

  • le vocabulaire et les tournures de phrase ne sont pas ceux de la langue du XXIème siècle
  • les textes peuvent faire référence à un contexte socioculturel et historique peu ou mal connu.

Méthode

Observez attentivement la date de publication de l'œuvre d'où le texte est extrait. Cela peut vous permettre d'éviter l'erreur des anachronismes (c'est-à-dire l'utilisation de termes ou de concepts qui n'existaient pas à l'époque où le texte étudié a été produit).

N'oubliez pas que le sens des mots évolue.

Rappelez-vous qu'un texte se comprend et s'explique par le milieu socioculturel dans lequel il a été produit. De manière générale, soyez attentifs à toute information accompagnant le texte : titre du passage, titre de l'oeuvre, époque.

Tableau à trois colonnes

Enfin, pour disséquer au mieux un texte, il n'est jamais mal venu d'élaborer un tableau qui résume de manière toujours efficace les différents temps d'une argumentation.

Pour l'exercice de la contraction, un tableau à trois colonnes peut se révéler pertinent :

Idées généralesArgumentsExemples
Thèse n°1Argument n°1 pour la thèse n°1Exemple n°1 pour l'argument n°1
Thèse n°1Argument n°1 pour la thèse n°1Exemple n°2 pour l'argument n°1
Thèse n°1Argument n°2 pour la thèse n°1Exemple n°1 pour l'argument n°2
Thèse n°2Argument n°1 pour la thèse n°2Exemple n°1 pour l'argument n°1
.........

Exemple de contraction

Texte à contracter

Ci-dessous est donné un texte de 798 mots : l'épreuve 2021 du bac STMG le proposait pour l'exercice de contraction.

« Vous résumerez ce texte en 199 mots. Une tolérance de +/- 10 % est admise : votre travail comptera au moins 179 et au plus 219 mots. »

Si les premiers voyageurs étaient souvent des explorateurs, ils furent, parfois à leur insu, les éclaireurs des mouvements qui les suivraient. Tous ne se doutaient pas que les sentiers marginaux qu’ils empruntaient, parfois porteurs d’innovation culturelle et de nouveaux horizons pour la vie comme pour la pensée, deviendraient plusieurs dizaines d’années plus tard des lieux communs, c’est-à-dire des « autoroutes » touristiques inscrites dans des schémas de développement plus ou moins réfléchis. […]

Malgré l’inventivité des voyagistes et les stratégies de différenciation élaborées par les spécialistes du marketing territorial, bien peu d’itinéraires et de destinations à potentiel marchand parviennent à échapper longtemps à une triple standardisation : standardisation des espaces d’accueil, aménagés, marqués, valorisés, sécurisés selon des principes interchangeables tels que la signalétique, l’affichage publicitaire, les formes d’urbanisation et, plus généralement, d’aménagement des territoires, par exemple. Standardisation des mentalités et des pratiques des sociétés d’accueil […] au nom de la qualité, de la compétence et de la sécurité, exigence qui introduit un rapport au travail proche de celui que connaissent les professionnels occidentaux. Le processus de spécialisation touristique tend évidemment à entraîner un changement structurel des sociétés d’accueil, lorsque la polyvalence et l’autonomie des pratiques traditionnelles cèdent la place à une division du travail accentuée (plus ou moins 20 saisonnière) chez des acteurs socio-économiques dont les métiers deviennent exclusivement dédiés au tourisme, avec les dépendances que ces changements entraînent. Standardisation des pratiques touristiques elles-mêmes, réclamant les équipements adéquats pour une diversité croissante de pratiques, exigeant une diversité de lieux dédiés à leur accueil qui puissent convenir à toutes les bourses et proposer divers degrés de confort et de services, pour des touristes souhaitant échanger avec des professionnels formés, informés, évidemment souriants et compétents. Des professionnels obéissant aux règles du commerce et à la demande de leur clientèle.

Bien sûr, pour échapper à cela, nous nous prenons à rêver. À rêver d’une nature vierge, à des contrées « préservées », « authentiques », où nous pourrions oublier ce que nous sommes et d’où nous venons. Où nous pourrions explorer des natures et des humanités sauvées des artifices de la « civilisation ». Et nous y allons, individuellement nombreux, de plus en plus. Montagnes, déserts, Grand Nord et Grand Sud, Nouvelle-Guinée, Kalahari, Amazonie… Nous pouvons aller partout. Y aller suffisamment nombreux pour que la pression collective sur ces espaces naturels et culturels jusque-là préservés ne nuise à leur intégrité, n’en transforme les sociétés, n’en chasse les animaux, n’en pollue les sites les plus remarquables et fréquentés. […]

La plupart du temps, ce phantasme de virginité naturelle1 nous fait oublier que la nature des uns est la culture des autres. En nous répandant nombreux dans ces natures nous heurtons, parfois à l’insu de tous, les cultures qui en dépendent pour vivre. Cette ruée, même tranquille au rythme du marcheur, ne va pas sans incidences allant à l’encontre de la « sauvagerie » rêvée des lieux. Les équipements fleurissent au risque de faner les paysages, les routes quadrillent des sites qui doivent être accessibles au plus grand nombre, les passages sur les sentiers dérangent la faune et écrasent la flore, les décharges comblent les ravins. [...]

Contrairement à ce qu’affirme le dicton, la nature n’a pas horreur du vide ; c’est l’homme de l’hypermodernité qui ne le supporte pas, dans le même temps qu’il ne se supporte plus lui-même. Plus il va loin s’oublier, plus il sème partout ses signes, et moins il parvient à sortir de ses propres traces. Alors les publicitaires et la communication lui soufflent le culte de la nouveauté, des « premières », des sites encore inviolés à pénétrer, là où vivent les « derniers » peuples soi-disant authentiques, fiers, farouches… Plus ils iront nombreux, plus le tapage grandira, plus le bocal se refermera. Jusqu’où ce stratagème fonctionnera-t-il ? […]

Ainsi, tous les parcours deviennent progressivement fléchés, et même le voyageur indépendant, soucieux de le rester et pour cela refusant toute organisation, ne leur échappe plus que très difficilement. Cela malgré ses tentatives acharnées, parfois désabusées et pathétiques, de sortir des réseaux balisés, des parcours obligés, des prestations de services en tout genre, des organisations envahissantes, des espaces aménagés par et pour cette idéologie pratique du développement, travaillant avec une redoutable efficacité à l’occidentalisation du monde – c’est-à-dire brisant avec plus ou moins de douceur des identités locales et des arts de vivre ensemble, au nom de l’efficacité, du progrès et de la lutte contre la « pauvreté ».

Un tel diagnostic conduit à concevoir le tourisme comme une voie de diffusion de l’identité occidentale, avec le développement et le culte de la croissance économique comme justifications idéologiques, la conversion des sociétés à l’économie de marché comme modalité pratique.

Texte de Rodolphe Christin, Manuel de l’anti-tourisme, 2008

Comment faire une contraction de texte ?
Christophe Colomb, premier touriste de l'histoire ?

Tableau à trois colonnes

ThèsesArgumentsExemples
L'exploration est le début d'une standardisation à venirStandardisation des espacesSignalétique, affichage publicitaire,
L'exploration est le début d'une standardisation à venirStandardisation des mentalitésProcessus de spécialisation touristique, avec les acteurs socio-économiques associés
L'exploration est le début d'une standardisation à venirStandardisation des pratiques touristiquesÉquipements adéquats et diversité croissante des pratiques
La virginité recherchée n'existe pas Développement du tourisme individuel dans l'espoir de découvrir la nature viergeMontagnes, déserts, Grand Nord et Grand
Sud, Nouvelle-Guinée, Kalahari, Amazonie, ...
La virginité recherchée n'existe pas Provoque le tourisme de massePollution des sites
La virginité recherchée n'existe pas Nature des uns est la culture des autresLes aménagements touristiques détruisant les sites naturels
Aporie du tourisme qui recherche l'authenticitéLe tourisme réclame une organisation artificielleDestruction des identités locales
Aporie du tourisme qui recherche l'authenticitéManière de diffuser l'identité occidentaleConversion des hommes à l'économie de marché

Contraction

Les chemins qui étaient à l'origine des voies d'exploration par des premiers voyageurs sont aujourd'hui des autoroutes du tourisme massif, et ce qu'importent les arguments marketing des voyagistes. L'uniformisation passe par celle des espaces, qui doivent accueillir les touristes ; par celle des mentalités, car ce sont toujours les mêmes touristes ; et enfin par celle des pratiques touristiques elles-mêmes, puisque les pratiques sont les mêmes, qu'importe l'endroit.

De sorte qu'il y a un paradoxe : le touriste rêve d'échapper à la standardisation pour découvrir un lieu vierge, authentique. Mais plus le tourisme se démocratise, plus cela devient utopique. Chacun de nous est capable de se déplacer à n'importe quel endroit de la planète, fut-il très reculé. Et lorsque nous découvrons un endroit neuf, notre arrivée elle-même participe à leur dégradation. Le tourisme détruit la nature et altère les sociétés qu'il propose de découvrir.

Le tourisme est donc une aporie. Il voudrait offrir à l'Homme occidental d'oublier sa culture, alors même qu'il diffuse plutôt la sienne dans les endroits qu'il visite. Le tourisme est donc, de manière très vicieuse, une manière d'occidentaliser le monde et généraliser l'économie libérale.

[188 mots]

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Nathan

Ancien étudiant de classe préparatoire b/l (que je recommande à tous les élèves avides de savoir, qui nous lisent ici) et passionné par la littérature, me voilà maintenant auto-entrepreneur pour mêler des activités professionnelles concrètes au sein du monde de l'entreprise, et étudiant en Master de Littératures Comparées pour garder les pieds dans le rêve des mots.