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Au Bonheur des Dames, œuvre d’Émile Zola, auteur naturaliste

Au Bonheur des Dames est un roman écrit par Émile Zola, publié en 1883. Émile Zola est né à Paris en 1840, d’un père italien et d’une mère française, et est décédé en 1902. Il est surtout très célèbre pour avoir été le chef de file d’un mouvement littéraire qui a eu un grand succès lors de la seconde moitié du XIXème siècle : le naturalisme.

Qu'a écrit Emile Zola ?
Portrait d'Emile Zola, chef de file du mouvement naturaliste.

Il s’agit d’un mouvement littéraire inspiré du réalisme. Le naturalisme donne lui aussi la priorité à la représentation du réel, mais ce sans l’idéaliser, bien au contraire. Pour les écrivains naturalistes, l’important était d’être objectif. Leur sens du détail était ainsi presque scientifique, c’est ce qui les distingue des réalistes. Leurs personnages sont en quelques sortes des expérimentations. Avant d’écrire, ils se documentaient grandement, afin de n’occulter aucun aspect de leur sujet, quitte à en dévoiler les plus sombres. Émile Zola, en tant qu’écrivain naturaliste, s’est ainsi donné pour mission d’étudier avec précision la nature humaine, quel que soit le milieu social. Comme il fut un auteur prolifique, l’ensemble de son œuvre nous permet d’en apprendre beaucoup sur son époque. Il nous livre même son projet en détails dans la préface de La fortune des Rougon (paru en 1871) : « Je veux expliquer comment une famille, un petit groupe d’êtres, se comporte dans une société, en s’épanouissant pour donner naissance à dix, à vingt individus qui paraissent, au premier coup d’œil, profondément dissemblables, mais que l’analyse montre intimement liés les uns aux autres. L’hérédité a ses lois, comme la pesanteur. » Or toutes ces expérimentations littéraires, Émile Zola les a regroupées en une œuvre monumentale, de vingt volumes : les Rougon-Macquart. Chaque roman qui compose cette œuvre met en scène l’un des personnages issus de la famille des Rougon-Macquart, à travers ses différentes générations. Beaucoup sont restés très célèbres : Nana, Germinal, L’Assommoir, Le Ventre de ParisAu Bonheur des Dames est le onzième volume de la série Les Rougon-Macquart. Il entraîne le lecteur dans le monde des grands magasins - l'une des innovations du Second Empire - à travers une histoire sentimentale et à l'issue inhabituellement heureuse. D’ailleurs le modèle du personnage d'Octave Mouret est Auguste Hériot, le co-fondateur des Grands Magasins du Louvre.

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Personnages principaux

Denise BauduJeune normande arrivée à Paris avec ses jeunes frères pour trouver du travail, elle commence par travailler au Bonheur des Dames.
Octave MouretDirecteur de l’enseigne « Au Bonheur des Dames », il tombe progressivement amoureux de Denise.
Bourdoncle et JouveAdjoints tyranniques de Mouret. Ce sont eux qui organisent le renvoi de Denise du magasin.
Pauline CugnotAmie de Denise, travaillant elle aussi au Bonheur des Dames. Consciente de l’amour entre Mouret et son amie, elle fera tout pour lui ouvrir les yeux.
Mme DesforgesRiche veuve, maîtresse d’Octave Mouret et très jalouse de Denise. Elle fera tout pour l'humilier.
RobineauGénéreux et altruiste, il embaucha Denise après son renvoi.
À quoi ressemblait la mode au XIXe siècle ?
Tableau d'Henri Gervex, 1906. Source : http://terraromantica.canalblog.com

Résumé d’Au Bonheur des Dames

Un contexte de grands changements pour les commerçants.

L’action se déroule entre 1864 et 1869. Denise Baudu, une jeune normande de 20 ans originaire de Valognes, arrive à Paris avec ses frères Jean et Pépé, âgés respectivement de 16 et 5 ans. Leur père, qui tenait une teinturerie, vient de décéder des suites d'une maladie dont est morte leur mère un an plus tôt. Afin de les aider, leur oncle Baudu avait à cette époque écrit à Denise pour lui dire qu’il pourrait y avoir une place dans sa boutique de vêtements à Paris. Mais depuis un an, ses affaires ont mal tourné et il ne peut embaucher Denise. Au contraire, le grand magasin « Au Bonheur des Dames », dirigé par Octave Mouret (fils de François Mouret et Marthe Rougon), prospère tellement qu'à force, il commence à ruiner les petites boutiques du quartier. Les Baudu, qui eux tiennent le « Vieil Elbeuf », situé juste en face, sont exaspérés par les agrandissements successifs du magasin menés par Mouret. Ils ont en effet connu la boutique, fondée par les frères Deleuze, à l'époque où elle avait une taille modeste. Mouret est ensuite devenu propriétaire de la boutique en épousant Mme veuve Hédouin (née Deleuze) dans Pot-Bouille, qui décèdera peu après. Les Baudu sont particulièrement exaspérés du fait de leur attachement aux pratiques commerciales traditionnelles, et souhaitent que leur boutique reste telle qu'elle est, à taille humaine. Plus tard, certains membres de leur famille vont eux-mêmes succomber de cet acharnement à garder leur boutique comme ils l’ont toujours connue, voyant pourtant le grand magasin provoquer petit à petit leur totale faillite. Les débuts difficiles de Denise au grand magasin. Denise, ne trouvant de place dans les petites boutiques, décide d'aller chercher du travail au Bonheur des Dames. Grâce à Mouret, qui l'a remarquée malgré ses allures de paysanne, elle est engagée au rayon des confections. Mais elle doit subir les railleries des vendeuses qui, se moquant de ses souliers et de sa chevelure difficile à coiffer, ne lui laissent aucune vente importante. Fatiguée de ranger les manteaux dépliés, elle s'angoisse alors le soir dans sa chambre, s'inquiétant de la pension qu'elle doit payer pour faire garder Pépé par une vieille dame. Jean, lui ne comprend pas son désespoir et lui demande des sommes importantes d'argent, alors même qu'elle les gagne difficilement, pour se dépêtrer de ses aventures amoureuses. Il manipule ainsi sa sœur en se décrivant comme constamment au centre d'intrigues rocambolesques et désespérées.

Qui est Denise Baudru ?
L'actrice Joanna Vanderham dans le rôle de Denise Lovett, l'alter ego de Denise Baudru. La chaîne BBC a en effet adapté le roman de Zola pour en faire une série, qui se joue en Angleterre : The Paradise (2012). Source : paperblog.fr

Denise est alors obligée de coudre des nœuds de cravate la nuit, donnés gentiment par Robineau, le premier commis au rayon de la soie. Elle commence aussi son éducation sentimentale… Avec son amie Pauline Cugnot, s’occupant des lingeries, elle s'intéresse un peu aux histoires de cœur de son comptoir. Cette dernière lui conseille de prendre un amant pour subvenir à ses besoins financiers et ainsi s’élever socialement. Mais Denise ne peut supporter l'idée : elle préfère se fatiguer à faire des nœuds de cravate la nuit. Cependant, petit à petit naît entre elle et Mouret une sorte de complicité dont aucun des deux ne comprend qu'il s'agit en fait d'un véritable coup de foudre : en effet, ni l'un ni l'autre ne sait ce qu'est l'amour. Denise est encore naïve et le trop expérimenté Mouret lui est habitué à de simples histoires sans lendemain. Denise va (sans arrière-pensée) souvent voir Robineau : l'inspecteur Jouve l'a remarqué mais ne va pas voir la direction. En effet, la direction pose des règles très strictes : pas de bavardages, pas d'amants, il faut dormir la nuit...etc. En juillet, Denise a peur : c'est la morte-saison, autrement dit l'époque des renvois. Bourdoncle, l'adjoint tyrannique de Mouret, abuse de ces renvois, et en plus de cela il n'apprécie pas trop Denise, qui pense alors que si quelqu'un doit partir de son comptoir, ce sera elle. En réalité, Bourdoncle ne fait qu'exécuter les ordres de Mouret : celui-ci veut conserver son image de patron paternel, mais veut quand même renvoyer une partie de son personnel, pour faire des économies. Un jour de juillet, Jouve, qui n'a rien dit à Bourdoncle sur Denise et Pauline, espère que Denise le remerciera en répondant favorablement à ses avances. Celle-ci refuse catégoriquement. Jouve, furieux, veut donc se venger. Un peu plus tard, à l'heure du déjeuner, Denise rencontre Jean qui veut encore une fois lui demander de l'argent. Le problème, c'est que la rumeur court que Jean serait l'amant de Denise, et Pépé son enfant (on ne sait pas qu'ils sont frères).

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Le renvoi de Denise.

Elle se fait alors surprendre par Jouve qui fait cette fois son rapport à Bourdoncle. Denise est alors renvoyée. C'est à ce moment-là que les autres personnages commencent à sentir la tendresse de Mouret pour Denise : Jouve préfère voir Bourdoncle plutôt que Mouret, et Bourdoncle préfère tout de suite passer au renvoi sans consulter Mouret, de peur qu’il n’ait pas la volonté d’aller jusqu’au renvoi. Mouret est alors victime de son propre système : apprenant le renvoi de Denise, il s'énerve contre Bourdoncle car il voit là une tentative d'échapper à son pouvoir (alors que, traditionnellement, cela se passe comme cela). Il se renseigne et parle même de reprendre Denise ; une bien étrange attitude aux yeux de Bourdoncle. Denise, une fois renvoyée, éprouve l'étrange besoin d'aller s'expliquer avec Mouret, de lui dire au moins que c'était son frère, même si elle ne revient pas. Mais finalement elle ne se décide pas. Denise loue alors une chambre chez Barras, un artisan qui fabrique des parapluies. Il l'embauche même par charité. Denise est ensuite vendeuse chez Robineau qui a repris une des boutiques du quartier. Celui-ci, aidé par Gaujean, un petit tisserand, décide de batailler contre le Paris-Bonheur de Mouret, la soie miracle. Lui aussi décide de créer sa faille (une soie noire). Mais Mouret baisse le prix du Paris-Bonheur devant les yeux effarés de ses salariés et le vend à perte. Puis Robineau baisse le prix de sa faille. Finalement, c'est Mouret qui gagne la partie. Robineau est ruiné. Denise, un an après son renvoi, promène comme d'habitude Pépé aux jardins des Tuileries. C'est là qu'elle rencontre Mouret, qui se rend chez Mme Desforges, sa maîtresse. Mouret préfère retarder sa visite et se promener avec Denise, qui veut repartir. Il lui propose de revenir et cause avec elle des grands magasins. C'est là qu'il se rend compte qu'elle lui « chauffe le cœur ». Mouret va même jusqu'à dire n'importe quoi pour rester avec elle. Il finit cependant par partir, se rendant compte en apercevant les fenêtres de Mme Desforges qu'il ne peut pas la retenir davantage.

Comment résumer Au Bonheur des Dames ?
Image extraite du film de Julien Duvivier : Au Bonheur des dames (1929), un film muet,
avec Dita Parl dans le rôle de Denise.

Le retour de Denise au Bonheur des Dames.

Peu après, Denise revient au Bonheur en tant que vendeuse appointée, à la grande joie de Mouret. Cela a des inconvénients : dès que Mouret parle, tout le monde chuchote en la cherchant des yeux. Pauline aiguise la jalousie de Denise sans qu’elle s’en aperçoive, en lui faisant la description complète des caprices de Mouret avec Clara. Deloche, un vendeur aux dentelles qui s'amourache de Denise, est toujours triste. Mme Desforges est venue au Bonheur accompagnée de Bouthemont, un premier à la soie complaisant de Mouret, pour voir le « caprice de Mouret ». Bouthemont lui a seulement dit qu'elle était à la confection. Du coup, elle croit que Denise est le caprice de Mouret. Mme Marty lui dit que non, que c'est Clara Prunaire, mais elle n'a plus de doute à la vue de l'attitude de Mouret avec Denise. Elle se venge déjà en faisant tourner Denise en rond dans le magasin, puis invente un stratagème pour « convaincre Mouret de sa trahison ». Le soir même, Mouret nomme Denise seconde et cherche à la séduire avec la recette de la journée mais cela fait chou blanc : non seulement elle refuse les avances de Mouret mais en plus la vue de l'argent la blesse. Mais elle est quand même bouleversée, car elle l’aime. Bourdoncle, qui pressent une liaison sérieuse, arrive dans le bureau sous le prétexte du nombre de clientes de la journée, au grand dam de Mouret. Le jour de l'inventaire, Denise reçoit une lettre de Mouret qui l'invite à dîner le soir avec lui. Elle est au courant des légendes de ce dîner : après le dîner, il y a le « dessert », et puis Clara et d'autres y sont déjà allées. Denise refuse le parallèle mais se rend compte qu'elle l'aime, grâce notamment à sa jalousie. Puis, après, avec une mise en scène de Mme Aurélie qui est complaisante envers Mouret, elle se retrouve avec lui. Elle refuse toujours ses avances, malgré ses discours apitoyants qui utilisent le champ lexical de la famille, ses pleurs. Il utilise des arguments de choc : l'argent, l'entorse que Denise s'est faite... Elle utilise des arguments qui ne tiennent pas trop debout. Il devient brutal, mais Denise refuse d'être une aventure de passage. Cela étonne Mouret de plus en plus.

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Au Bonheur des Dames a-t-il été adapté ?
Autre image extraite de la série anglaise The paradise (2012), librement adaptée du roman de Zola. M. Moray (à gauche) est l'alter ego de M. Mouret, et Katherine, à droite, est une rivale de Denise. Source : cbth.wordpress.com

La jalousie de Mme Desforges.

Denise s'en va et Mouret la suit, d'un regard désespéré. Mme Desforges trouve comme stratagème de faire venir Denise chez elle pour retoucher un manteau et de l'insulter en présence de Mouret. Ce dernier ne la voit presque plus et ne vient qu'avec l'appât du baron Hartmann. Comme il s'ennuie chez elle, il vient avec son ami Paul de Vallagnosc. Mouret, après avoir compris que Denise faisait une retouche chez Mme Desforges, s'inquiète de plus en plus. Elle excite la jalousie de Denise et l'insulte. Mouret, après bien des tentatives, y met fin et la console. Mouret rompt enfin avec Mme Desforges. Alors Mouret finit par comprendre après bien des offres de cadeaux que ce qui importe à Denise, ce n'est pas l'argent, mais l'amour. Pour Mouret, c'est bien là le genre de femme qu’il ne connaît pas. En effet, il n'a été habitué qu'à côtoyer des femmes vénales.

Une fin heureuse.

Mouret est alors obsédé par Denise, au point d’en rêver la nuit. Mouret essaie alors la tactique de l'amitié. Commencent de longues discussions, au cours desquelles Denise lui suggère notamment de créer un orchestre et de faire des mesures pour améliorer la vie des salariés. Bourdoncle excite la jalousie de Mouret en disant qu'elle a plusieurs amants dans le magasin. Mouret profite d'une erreur de Hutin, l’un des soi-disant « amants » de Denise, pour lâcher sa rancune. Hutin est donc pris comme bouc émissaire. Or Hutin est sûr que c'est à cause de Denise. Il se venge en voyant Denise parlant avec Deloche en train de pleurer. Il appelle Bourdoncle qui appelle Mouret. Celui-ci a une explication avec Denise dans le bureau. En réalité celle-ci s'est simplement fait aborder dans l'atelier pour parler du Cotentin. L'explication d'un directeur avec sa vendeuse devient très rapidement une scène de jalousie passionnée. Mouret reproche à Denise ses amants. Elle n'en a aucun et préfère partir de la maison. Mouret, fou amoureux, barricade la porte. Finalement Denise est nommée première d'un rayon de costumes pour enfants. Un jour de grande vente de blanc, Mouret, en voyant Denise s'occuper de ses frères comme de bébés, la demande en mariage. En effet, celui-ci est désemparé par le prochain départ de Denise. Au départ Denise refuse, mais elle finit par accepter.

Conclusions.

On sent tout au long du roman une fascination de Zola pour ce grand magasin, même s'il en fait un monstre engloutissant vendeuses et clientes. Selon lui, le succès des grands magasins, inévitable, est une bonne chose, même s'il s'accompagne de la ruine des autres commerces et de conditions de travail particulièrement dures. Zola applique dans son roman les lois du darwinisme, selon lesquelles les plus forts survivent, tandis que les plus faibles sont appelés à disparaître. Émile Zola nous propose en quelques sortes un témoignage de l’épopée capitaliste, qui débute donc dès son époque ; le XIXè siècle.

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Alexandra

Ex professeure de français reconvertie en rédactrice web, je crois fondamentalement aux pouvoirs du chocolat, aux vertus de la lecture, et à la magie des envolées d’Edouard Baer !