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SUR LA NOUVELLE POMME DE TERRE TRANSGENIQUE
("PATATE OGM")
AMFLORA DE BASF
Un extrait du journal de France 2 -que nous remercions ici- présentant la nouvelle pomme de terre OGM qui vient d' être le 2 mars 2010 autorisée par Bruxelles. On décrit son utilisation pour la pâte à papier mais les résidus de cette pomme de terre pourraient être utilisés dans l'alimentation animale et se retrouver au final dans notre assiette.
On rappelle que chaque pays de l'Union reste souverain et peut refuser d'autoriser sur son territoire cette culture mais il sera bien difficile de répérer et d'empêcher la pénétration des sous-produits de cette pomme de terre.
Quel bénéfice pour l'humanité puisque l'on sait fort bien produire du papier à partir de la cellulose des arbres......?
Comme dans tout OGM, un gène de résistance aux antibiotiques a dû être incorporé, car il sert de crible de sélection.
Le reportage s'élargit ensuite aux OGM déjà cultivés en Europe avec le maïs MO810 de la firme Monsanto que l'on retrouve dans 6 pays de l'Union.
On rappellera que, pour le moment, les OGM sont essentiellement cultivés en Amérique avec Les Etats-Unis, le Brésil, l'Argentine et le Canada. On
rappelle aussi que chaque pays de l'Union Européenne reste souverain et peut refuser
d'autoriser sur son territoire cette culture mais il sera bien
difficile de repérer et d'empêcher la pénétration des sous-produits de
cette pomme de terre. La France a saisit le HCB
La Commission européenne a autorisé mardi 2 mars 2010 la culture de la pomme de terre
génétiquement modifiée Amflora. Compte tenu de cette décision, le
Gouvernement saisit le Haut Conseil des biotechnologies (HCB) notamment
sur la présence, dans cette pomme de terre, d’un gène marqueur de résistance à un antibiotique.
Cette
décision de la Commission suit la procédure normale prévue par la
réglementation à la suite de l’absence d’accord politique entre les
Etats membres sur ce dossier lors de la session du 16 juillet 2007 du
Conseil agriculture.
Compte tenu de cette décision, le Gouvernement français décide de
saisir le Haut Conseil des biotechnologies (HCB) notamment sur la
présence, dans cette pomme de terre, d’un gène marqueur de résistance à un antibiotique.
La France attendra donc l’avis du HCB pour arrêter sa position.
D’une façon plus générale, la France souhaite qu’il n’y ait plus
d’autorisation d’OGM sans le
renforcement de l’expertise scientifique communautaire, en application
des conclusions adoptées à l’unanimité par les Etats membres lors du
Conseil européen des ministres de l’Environnement du 4 décembre 2008. SOURCE INTERNET
Un autre petit reportage montre les premières réactions très vives à cette décision de Bruxelles
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