• Terre : seule planète du système solaire avec 3/4 d'eau. Cette eau est sous 3 états : solide, liquide, gazeux.
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C'est parti

L'eau indispensable à la vie

eau : organisme le plus abondant chez les êtres vivants (un adulte est fait à 65% d'eau ). Cette présence est en équilibre continu : transpiration, urine, vapeur d'eau dans la respiration / alimenation, boisson. Elle élimine les substances toxiques, régule la température et intervient dans des réactions chimiques. Une perte de 15% du capital hydrique peut entraîner la mort.

L'eau indispensable aux activités humaines

  • usages domestiques : usages personnels, ménagers, municipaux (biosson, assainissement, hygiène, boisson). En moyenne on utilise 50 litres par jour par personne. En France, c'est plutôt 100 à 250 litres !  : développement des réseaux d'eau potable (confort) : hausse de la consommation d'eau.
  • agriculture : 70% de toute cette consommation (hausse de la conso = hausse de l'irriguation). En France, les surfaces ont été multipliées par 4. (irriguer, arroser, pesticide, insecticides, animaux) . Il est nécessaire de gérer cette eau pour ne pas dépasser les ressouces.
  • industrielles : usage limité aux pays développés (dissoudre des produits, refroidir des infrastructures, barrage, ...) . Cet usage est toutefois 4 fois moins important que l'agriculture.

Les différents réservoirs et le cycle de l'eau

Les différents réservoirs d'eau

  • eau salée : 97%du volume total.
  • eau douce : 3% (40 km cube).
  • 79% de cette eau douce est dans les glaciers et les calottes polaires donc immobile.
  • 20% sont des napes souterraines plus ou moins profondes.
  • 1% est facilment accessible (rivière, lacs, atmosphère, biosphère).
  • schéma de la répartition de l'eau :
  • http://ga.water.usgs.gov/edu/graphics/french/earthwheredistribution.gif

L'eau disponible

  • seule l'eau douce est utilisable. Cette eau est aussi celle qui subit le plus de pollution. Ainsi les pollutions dues aux activités humaines rendent les sources inutilisables.

Le cycle de l'eau

  • la circulation entre différents réservoirs (atmosphère, biosphère,  hydrosphère, litosphère) constitue le cycle de l'eau. Ce sont les mêmes molécules depuis 3 millions d'années.
  • schéma du cycle de l'eau : http://w3.umh.ac.be/~ichim/docs/studs03-04/ALGoffin/cycle2.jpg
  • l'eau reste dans un réservoirs de façon variable : une à quelques semaines dans un cours d'eau, des dizaines d'années dans les grands lacs, un à plusieurs millénaires dans les nappes souterraines et les glaciers.

Modification des flux d'eau par l'Homme

L'eau dans le monde :

  • l'Homme peut perturber le cycle de l'eau à son profit. L'eau douce est une richesse très inégalement répartie à la surface du globe.
  • le bilan hydrique est la différence entre les précipitations (apports) et évapotranspiratio (pertes). Des pluies efficaces sont celles qui rechargent les nappes souterraines.
  • L'inégale répartition est dues à plusieurs facteurs : climatiques, géologiques, démographiques, économique.

Modification des flux par l'Homme et ses conséquences

deux activités contribuent à modifier les flux :

  • l'urbanisation : extension des villes : écoulement et infiltration perturbé, stagnation puis innondation. Construction de barrages perturbe aussi beaucoup. Aménagement des berges non inondables, cela rend tout ça instable. Arrachage et destruction des forêts : érosion accélérée, ruisselement freiné. Augmentation de la population urbaine = le besoin en eau augmente = rejet d'eaux usées augmente.
  • irriguation et culture : dans des régions arides, pompages intensif donc reconstitution des nappes impossibles. Monoculture : érosion des cultures, recherge des nappes non faits.

L'approvisionnement en eaux douces par l'Homme

Les précipitations en annuelles en France couvrent largement les besoins en eaux mais la répartition est inégale. Une gestion de cette eau s'impose.

Les différentes origines du prélèvement d'eau en France

  • lacs ou rivières.
  • sources ou résurgences.
  • nappes souterraines.

Les nappes souterraines

  • ce sont des réserves d'eau douces localisées dans les zones aquifères. Le toit de la nappe est le niveau supérieur. On parle de nappe phréatique quand le toit affleure la surface et de nappe captive quand la zone aquifère recouvre la nappe.
  • les nappes sont alimentées par l'infiltration d'eaux de pluie ou ruissellement.
  • l'exploitation peut se faire en captant l'eau qui en sort ou en faisant un pompage.
  • une gestion s'ompose ce qui peut entraîner une restiction d'eau.

La pollution de l'eau et l'autoépuration

  • la constante augmentation de l'urbanisation et les pratiques agricoles perturbent les écosystèmes et peuvent polluer les eaux.

La pollution chimique

  • c'est celle faite par le lisier et les engrais.

La pollution biologique

  • c'est celle faite par les rejets de matières organiques (eaux rejetées dans les grandes villes, agro alimentaires, déjection animale, hydrocarbures).
  • la DBO5 ( demande biochimique en dioxygène) est la quantoté de CO2 prise par les bactéries pour tranformer la matière organique en minérale.

L'autoépuration des eaux

  • dans certaines conditions, grâce à des micro organismes, l'eau est capable de s'épuere toute seule. Mais on a une limite d'autoépuration.

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Olivier

Professeur en lycée et classe prépa, je vous livre ici quelques conseils utiles à travers mes cours !