Les meilleurs professeurs de Français disponibles
Cristèle
4.9
4.9 (85 avis)
Cristèle
100€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Sophie
4.9
4.9 (33 avis)
Sophie
50€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Adélie
5
5 (65 avis)
Adélie
50€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Julie
5
5 (97 avis)
Julie
75€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Albane
5
5 (147 avis)
Albane
75€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Jules
5
5 (35 avis)
Jules
70€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Konan pacome
5
5 (49 avis)
Konan pacome
35€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Julia
5
5 (46 avis)
Julia
50€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Cristèle
4.9
4.9 (85 avis)
Cristèle
100€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Sophie
4.9
4.9 (33 avis)
Sophie
50€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Adélie
5
5 (65 avis)
Adélie
50€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Julie
5
5 (97 avis)
Julie
75€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Albane
5
5 (147 avis)
Albane
75€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Jules
5
5 (35 avis)
Jules
70€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Konan pacome
5
5 (49 avis)
Konan pacome
35€
/h
Gift icon
1er cours offert !
Julia
5
5 (46 avis)
Julia
50€
/h
Gift icon
1er cours offert !
C'est parti

L'extrait commenté

Même sur un banc d’accusé, il est toujours intéressant d’entendre parler de soi. Pendant les plaidoiries du procureur et de mon avocat, je peux dire qu’on a beaucoup parlé de moi et peut être plus de moi que de mon crime. Étaient-elles si différentes d’ailleurs, ces plaidoiries ? L’avocat levait les bras et plaidait coupable, mais avec excuses. Le procureur tendait ses mains et dénonçait la culpabilité, mais sans excuses. Une chose pourtant me gênait vaguement. Malgré mes préoccupations, j’étais parfois tenté d’intervenir et mon avocat me disait alors : « Taisez-vous, cela vaut mieux pour votre affaire. » En quelque sorte, on avait l’air de traiter cette affaire en dehors de moi. Tout se déroulait sans mon intervention. Mon sort se réglait sans qu’on prenne mon avis. De temps en temps, j’avais envie d’interrompre tout le monde et de dire : « Mais tout de même, qui est l’accusé ? C’est important d’être l’accusé. Et j’ai quelque chose à dire. » Mais réflexion faite, je n’avais rien à dire. D’ailleurs, je dois reconnaître que l’intérêt qu’on trouve à occuper les gens ne dure pas longtemps. Par exemple, la plaidoirie du procureur m’a très vite lassé. Ce sont seulement des fragments, des gestes ou des tirades entières, mais détachées de l’ensemble, qui m’ont frappé ou ont éveillé mon intérêt.

Le fond de sa pensée, si j’ai bien compris, c’est que j’avais prémédité mon crime. Du moins, il a essayé de le démontrer. Comme il le disait lui-même : « J’en ferai la preuve, messieurs, et je la ferai doublement. Sous l’aveuglante clarté des faits d’abord et ensuite dans l’éclairage sombre que me fournira la psychologie de cette âme criminelle. » Il a résumé les faits à partir de la mort de maman. Il a rappelé mon insensibilité, l’ignorance où j’étais de l’âge de maman, mon bain du lendemain, avec une femme, le cinéma, Fernandel et enfin la rentrée avec Marie. J’ai mis du temps à le comprendre, à ce moment, parce qu’il disait « sa maîtresse » et pour moi, elle était Marie. Ensuite, il en est venu à l’histoire de Raymond. J’ai trouvé que sa façon de voir les événements ne manquait pas de clarté. Ce qu’il disait était plausible. J’avais écrit la lettre d’accord avec Raymond pour attirer sa maîtresse et la livrer aux mauvais traitements d’un homme « de moralité douteuse ». J’avais provoqué sur la plage les adversaires de Raymond. Celui-ci avait été blessé. Je lui avais demandé son revolver. J’étais revenu seul pour m’en servir. J’avais abattu l’Arabe comme je le projetais. J’avais attendu. Et « pour être sûr que la besogne était bien faite », j’avais tiré encore quatre balles, posément, à coup sûr, d’une façon réfléchie en quelque sorte.

« Et voilà, messieurs, a dit l’avocat général. J’ai retracé devant vous le fil d’événements qui a conduit cet homme à tuer en pleine connaissance de cause. J’insiste là-dessus, a-t-il dit. Car il ne s’agit pas d’un assassinat ordinaire, d’un acte irréfléchi que vous pourriez estimer atténué par les circonstances. Cet homme, messieurs, cet homme est intelligent. Vous l’avez entendu, n’est-ce pas ? Il sait répondre. Il connaît la valeur des mots. Et l’on ne peut pas dire qu’il a agi sans se rendre compte de ce qu’il faisait. »

Moi j’écoutais et j’entendais qu’on me jugeait intelligent. Mais je ne comprenais pas bien comment les qualités d’un homme ordinaire pouvaient devenir des charges écrasantes contre un coupable.

Albert Camus, L’Etranger, 1942, 2ème partie, chapitre 4

Qui est Albert Camus ?
Portrait d'Albert Camus. Source : lucernaire.fr

Méthode du commentaire composé

On rappellera ici la méthode du commentaire composé vu en cours francais :

Partie du commentaireViséeInformations indispensablesÉcueils à éviter
Introduction- Présenter et situer le texte dans le roman
- Présenter le projet de lecture (= annonce de la problématique)
- Présenter le plan (généralement, deux axes)
- Renseignements brefs sur l'auteur
- Localisation du passage dans l'œuvre (début ? Milieu ? Fin ?)
- Problématique (En quoi… ? Dans quelle mesure… ?)
- Les axes de réflexions
- Ne pas problématiser
- Utiliser des formules trop lourdes pour la présentation de l'auteur
Développement - Expliquer le texte le plus exhaustivement possible
- Argumenter pour justifier ses interprétations (le commentaire composé est un texte argumentatif)
- Etude de la forme (champs lexicaux, figures de styles, etc.)
- Etude du fond (ne jamais perdre de vue le fond)
- Les transitions entre chaque idée/partie
- Construire le plan sur l'opposition fond/forme : chacune des parties doit impérativement contenir des deux
- Suivre le déroulement du texte, raconter l'histoire, paraphraser
- Ne pas commenter les citations utilisées
Conclusion- Dresser le bilan
- Exprimer clairement ses conclusions
- Elargir ses réflexions par une ouverture (lien avec une autre œuvre ? Événement historique ? etc.)
- Les conclusions de l'argumentation- Répéter simplement ce qui a précédé

Ici, nous détaillerons par l'italique les différents moments du développement, mais ils ne sont normalement pas à signaler. De même, il ne doit normalement pas figurer de tableaux dans votre commentaire composé. Les listes à puces sont également à éviter, tout spécialement pour l'annonce du plan.

En outre, votre commentaire ne doit pas être aussi long que celui ici, qui a pour objectif d'être exhaustif. Vous n'aurez jamais le temps d'écrire autant !

Commentaire de l'extrait

Introduction

Albert Camus est un écrivain français du XXème siècle, qui a articulé sa création littéraire à travers deux cycles : l'absurde, qui vient du décalage entre un besoin d'idéal et le monde réel, et la révolte, qui doit nous faire affronter notre destin, malgré toute son absurdité.

L'Etranger, paru en 1942, appartient au cycle de l'absurde. Il y présente un homme happé par des circonstances extérieures qu'il ne parvient pas à dominer et qui l'entraineront jusqu'à une condamnation à mort.

L’extrait qui nous occupe appartient à la partie 2 du roman, consacrée au procès de Meursault. Celui-ci voit sa condamnation à mort se dessiner au fil des jours, tandis qu’il se sent exclu des débats.

Annonce de la problématique

En quoi cet extrait illustre-t-il l’absurdité d’un monde qui marginalise Meursault ?

Annonce du plan

Nous verrons dans un premier temps qu’il s’agit d’un procès caricatural qui vise à dénoncer l’absurdité du système judiciaire. Dans un second temps, il nous faudra montrer de quelle manière Meursault est marginalisé.

Développement

Un procès caricatural

Le procès mis en scène par Camus comporte des caractéristiques incontournables. D’une part, Meursault est présenté comme un criminel à sang-froid tandis que, d’autre part, la rhétorique des acteurs est convenue. Tout cela est mis en perspective par le ressenti de Meursault, communiqué à la première personne.

Un criminel à sang-froid

Le procès semble très vite être dirigé contre Meursault lui-même. Cela est dit explicitement par le narrateur : « je peux dire qu’on a beaucoup parlé de moi et peut être plus de moi que de mon crime. ».

Meursault devient alors l’archétype du criminel à sang-froid, et c’est ce sur quoi se concentre le réquisitoire de l’accusation. Le résumé de l’affaire fait voir un assassin caractérisé par son insensibilité :

« Il a résumé les faits à partir de la mort de maman. Il a rappelé mon insensibilité, l’ignorance où j’étais de l’âge de maman, mon bain du lendemain, avec une femme, le cinéma, Fernandel et enfin la rentrée avec Marie. »

Que raconte l'histoire de L'étranger ?
François Marius Granet : Veillée funèbre, XIXème siècle

Il est clair, avec ces faits, que l’accusé a « prémédité » son crime. Il est présenté comme un homme intelligent, qui « sait la valeur des mots ». Par le simple fait qu’il « sait répondre » (mais comme beaucoup d’autres personnes !), il est rendu coupable de machiavélisme.

On remarque également que personne ne s’inquiète de l’Arabe, c’est-à-dire de la victime. Le discours judiciaire se concentre sur les supposées mauvaises mœurs de Meursault, mais ne s’attarde jamais sur la vie brisée.

Ce qui se fait jour, c’est que Meursault est coupable d’avoir refusé de jouer la comédie de l’amour filial et du respect des traditions. Il est coupable d’être indifférent aux valeurs morales et sociales d’une société qui ne réfléchit plus sa propre absurdité.

Une rhétorique judiciaire caricaturée

Dans ce procès, Meursault n’a aucune chance, d’abord parce que tout le monde est contre lui. Il y a en effet un parallélisme entre l’avocat, qui est censé le défendre, et le procureur :

« Étaient-elles si différentes d’ailleurs, ces plaidoiries ? L’avocat levait les bras et plaidait coupable, mais avec excuses. Le procureur tendait ses mains et dénonçait la culpabilité, mais sans excuses. »

La position physique des deux avocats est la même (« levait les bras », « tendait ses mains ») et leurs discours se rejoignent : tous les deux jugent coupable Meursault. Celui-ci est sans issue dans un système judiciaire qui veut sa mort.

Le procureur général, incarnation archétypique du procès, répond également à la caricature, à plusieurs niveaux :

  • Il agit comme un acteur (« il tendait ses mains »)
  • Son réquisitoire est rempli de clichés : « l‘aveuglante clarté » , « l’âme criminelle », « moralité douteuse », « pour être sûr que la besogne était bien faite », etc.
  • Des conjonctions de coordination qui donnent une impression logique
  • Le « Et voilà » qui ouvre le discours direct, comme une injonction à être convaincu
  • Il manie les figures de style dans le but de convaincre par l’entremise du pathos: « aveuglante clarté » est un oxymore tout comme « éclairage sombre », l’anaphore avec « cet homme », et des questions rhétoriques « Vous l’avez entendu, n’est-ce pas ? »

On remarquera la présence du discours direct, pour restituer le réquisitoire, pour montrer au mieux les outils rhétoriques du procureur, qui joue sur le pathos afin de choquer le jury, afin de l’apitoyer.

Enfin, l’expression « aveuglante clarté » a ceci d’ironique qu’elle est utilisée par le procureur et qu’elle constitue la meilleure explication du meurtre : le soleil aveuglant qui a troublé Meursault…

Quelles ont été les adaptations de L'Etranger, d'Albert Camus ?
Illustration extraite de la bande-dessinée (parue en 2013) de Jacques Ferrandez, "L'étranger", d'après le roman d'Albert Camus.
Le ressenti de Meursault

Mais la satire de la justice est rendue d’autant plus possible que le lecteur a accès au ressenti de Meursault. Avec la focalisation interne, le lecteur adopte le point de vue de l’accusé et se trouve mieux conscient de son décalage.

Meursault regarde la plaidoirie en spectateur et se sent si peu en phase avec le portrait du criminel qui est fait qu’il retranscrit la chose au style direct. Mais il commente le réquisitoire et la trouve convaincante, comme s’il s’agissait d’une histoire, d’un conte, dont il fallait juger de la vraisemblance :

J’ai trouvé que sa façon de voir les événements ne manquait pas de clarté. Ce qu’il disait était plausible. J’avais écrit la lettre d’accord avec Raymond pour attirer sa maîtresse et la livrer aux mauvais traitements d’un homme « de moralité douteuse ». J’avais provoqué sur la plage les adversaires de Raymond. Celui-ci avait été blessé. Je lui avais demandé son revolver. J’étais revenu seul pour m’en servir. J’avais abattu l’Arabe comme je le projetais. J’avais attendu. Et « pour être sûr que la besogne était bien faite », j’avais tiré encore quatre balles, posément, à coup sûr, d’une façon réfléchie en quelque sorte.

On retrouve dans cette restitution au style indirect des phrases courtes, logiques, qui semblent rendre les événements dépendants les uns des autres. On sent Meursault presqu’amusé par la situation, ce qui se transmet au lecteur par l’utilisation du pronom personnel « je », comme si Meursault avait effectivement fait ce qu’on lui reproche, tandis que le lecteur sait, lui, la vérité.

En somme, le procès est perçu comme un spectacle qui a pour but d’« occuper les gens ».

Transition

Et dans cette nécessité sensationnaliste, Meursault se sent comme un étranger, alors même qu’il est au centre des débats.

Avec un accusé étranger

Un regard naïf

Meursault est un nouveau Candide : il observe une situation dont l’incongruité est soulignée par son regard extérieur et naïf.

L’accusé est bien un spectateur : on trouve ainsi « entendre » et « moi, j’écoutais et j’entendais. » Il ne parle jamais et lorsqu’il restitue au style indirect les discours des locuteurs, on sent son incertitude : « peut-être« , « en quelque sorte », « en quelque sorte ». D’autres formules renvoient à sa naïveté : « Une chose pourtant me gênait vaguement. », « si j’ai bien compris », « je ne comprenais pas bien », etc.

Meursault apparaît ainsi comme une personne assez vulnérable, en ce qu’elle n’est pas certaine de tout comprendre. Ce fait est encore accentué lorsqu’il entend parler de lui, mais que son incompréhension persiste (ce qui est particulièrement cocasse) :

« J’ai mis du temps à le comprendre, à ce moment, parce qu’il disait « sa maîtresse » et pour moi, elle était Marie. »

On parle de sa vie, mais lui ne comprend pas les références. C’est que, de fait, il est exclu des débats.

Un accusé exclu

L’extrait ne comporte que deux locuteurs exclusifs : le procureur et son avocat. Pire, cette situation est imposée à Meursault :

« Malgré mes préoccupations, j’étais parfois tenté d’intervenir et mon avocat me disait alors : « Taisez-vous, cela vaut mieux pour votre affaire. » En quelque sorte, on avait l’air de traiter cette affaire en dehors de moi. Tout se déroulait sans mon intervention. Mon sort se réglait sans qu’on prenne mon avis. »

Le ton de l’avocat se révèle ainsi être péremptoire, avec l’utilisation de l’impératif (« Taisez-vous »). L’utilisation du pronom personnel indéfini « on », dans le même passage, renforce l’impression de son exclusion. Meursault est dépossédé de son procès. Dans la phrase « Moi j’écoutais et j’entendais qu’on me jugeait intelligent. », le « je » vient directement s’opposer au « on », indéfini ; comme si le monde entier le jugeait, sans qu’il y prenne part.

Enfin, la focalisation interne, par le truchement des verbes de perception, accentue l’idée d’un accusé seulement spectateur et en marge : « me gênait, « j’ai mis du temps à le comprendre », « j’ai trouvé que », « moi j’écoutais et j’entendais », « je ne comprenais pas bien ». Le décalage s’amplifie.

Où se déroule l'intrigue de L'Etranger ?
La Grande Poste d'Alger
Une absence d’intérêt

Mais que Meursault soit en marge, cela s’explique aussi par son manque d’intérêt. Cela est explicite dans le passage suivant :

Mais réflexion faite, je n’avais rien à dire. D’ailleurs, je dois reconnaître que l’intérêt qu’on trouve à occuper les gens ne dure pas longtemps. Par exemple, la plaidoirie du procureur m’a très vite lassé. Ce sont seulement des fragments, des gestes ou des tirades entières, mais détachées de l’ensemble, qui m’ont frappé ou ont éveillé mon intérêt.

Meursault se présente une nouvelle fois comme un spectateur d’une pièce de théâtre, dont l’attention est lâche. Il n’a pas d’intérêt particulier pour ce qu’il se passe et son attention divague selon les gestes ou les attitudes des avocats.

La dernière phrase de l’extrait achève de montrer l’indifférence de Meursault :

Moi j’écoutais et j’entendais qu’on me jugeait intelligent. Mais je ne comprenais pas bien comment les qualités d’un homme ordinaire pouvaient devenir des charges écrasantes contre un coupable.

Car malgré le scandale de ce qu’il voit, il ne se révolte pas : il juge avec étonnement, presque une sorte d’amusement, le processus qui conduira à sa mise à mort.

Conclusion

En définitive, la scène du procès confirme les deux points centraux du roman d’Albert Camus.

D’abord, le monde a quelque chose d’absurde, et cela se révèle également dans le monde de la justice. La mise en récit, la nécessité de trouver des causes et une logique a ce qui n’en a pas ne fait qu’accentuer l’absurdité du monde qui nous entoure.

Dans un second temps, c’est l’absence de révolte de Meursault qui est confirmée : il assiste au procès comme s’il était simple spectateur, et s’amuse des procédés rhétoriques auxquels il assiste. L’accusé voit se dessiner sa mise à mort sans qu’il n’ait aucun mouvement de protestation.

Pourtant, Meursault connaîtra un semblant de révolte à la fin du roman, pendant de le passage de l’aumônier. Mais ce sera déjà trop tard…

Vous avez aimé cet article ? Notez-le !

Aucune information ? Sérieusement ?Ok, nous tacherons de faire mieux pour le prochainLa moyenne, ouf ! Pas mieux ?Merci. Posez vos questions dans les commentaires.Un plaisir de vous aider ! :) 4.46 (13 note(s))
Loading...

Nathan

Ancien étudiant de classe préparatoire b/l (que je recommande à tous les élèves avides de savoir, qui nous lisent ici) et passionné par la littérature, me voilà maintenant auto-entrepreneur pour mêler des activités professionnelles concrètes au sein du monde de l'entreprise, et étudiant en Master de Littératures Comparées pour garder les pieds dans le rêve des mots.