La conscience transcendantale ne signifie pas qu'elle soit extérieure à la réalité. Elle existe à un mode qui est étranger à la réalité.

La libération du je transcendantal, il n'en demeure pas moins que je suis un "je" psychique qui sont corrélatifs de mon incarnation, cela n'exclue pas le corps. Que faire de l'abîme entre le "je" transcendantal, il est non réel et est étranger au monde, on ne peut pas appartenir au monde, il n'y a un abîme avec un 'je psychologique' qui est attaché à un corps, le 'je transcendantal' n'est ni un être humain ni un être psychique, ni quelque chose qui ferait l'expérience psychologique, on ne peut pas faire l'expérience d'un 'je psychologique', car cela supposerait que l'on soit détâché de soi (extérieur à soi), or on n'est jamais tout à fait détaché de soi. 
Le je psychologique qui meurt, le je transcendantal ne meurt pas.
Le je psychologique est lié à une histoire, condition de possibilité de tout apparaître ne meurt pas, et n'appartient pas à ce sujet de la naissance et de la mort. On peut dire qu'il n'y a aucune différence entre le je psychologique et le je transcendantal, pour les deux je ce qui est vécu est la même chose, le je transcendant est délié . Le rapport qu'ils entretiennent avec ce vécu de conscience partagent le même contenu, malgré cela ils sont le même. Il y aurait une unité qui les rassemble, c'est pourquoi on pourrait dire qu'ils sont le même. L'ego transcendantal perdrait son statut de non-réalité. L'ego transcendantal ne pourrait pas être non réel, car il serait distinct d'une réalité. Il peut être distingué mais pas séparé.
-Transcendantal : c'est sa condition de possibilité, ce qui permet. (c'est Kant qui a développé cette idée de transcendantal), c'est pourquoi il s'intéresse aux formes de la sensibilité, c'est un constituant : le je transcendantal c'est celui qui constitue tout apparaître tout constituant.
-Transcendant : ce qui est au delà, et extérieur, purement extérieur.
L'ego transcendantal c'est l'ego psychologique mais en tant que sa mondanité, cette appartenance au monde a été mise entre parenthèses en épochè, tous les éléments intra-mondains sont mis entre parenthèses, ce qu'il reste c'est le je transcendantal, c'est le je psychologique dépouillé des éléments mondains et aussi son union avec le corps qui est un élément mondain.
L'ego psychologique; c'est ce qu'on a l’impression d'être au premier abord qui appartient au monde constitué il procède d'une auto-mondanéisation de l'ego transcendantal. L'ego il faut qu'il soit constitué par l'ego transcendantal. Il y a une unité qui relie ces egos, c'est l'égo transcendantal qui constitue cette unité  laquelle il appartient. C'est un ego intra-mondain.
En cours de philo, on ne peut que reconnaître entre un ego transcendantal et un ego réel: il y a une oscillation, il ne faut pas la résoudre mais la reconnaître, son statut n'est pas clair quand même. Le présupposé, c'est qu'il y a un sens univoque au réel, cela précède à toutes les analyses de Husserl, c'est une critique que l'on doit à Heidegger qui distingue plusieurs sens de l'être. Une chose est : a plusieurs sens, cela veut pas dire uniquement qu'une chose est là dans le monde. Heidegger : la phénoménologie est une herméneutique.
Le présupposé de tout cela c'est qu'il y a un sens univoque du réel, c'est ce qui permet de parler du je transcendantal. Le champ d'une expérience transcendantale se rapporte à un ego. Pour Husserl le cogito est personnel, l'épochè relève d'un je transcendantal, il y a un maintient d'une subjectivité qui est considéré comme un ego.
Sartre a écrit des livres politiques, il s'est aussi intéressé à la phénoménologie, et notamment à la transcendance de l'ego. L'être et le néant, l'ego cogito libère une expérience qui n'a rien d'un ego et le sujet il va falloir le constitué, ce n'est pas du tout originaire. => processus de subjectivation (le sujet entreprend lui même la constitution de son être).
Alors que pour Husserl cet ego est constitué. Ce que relève l'épochè, Le corrolère de la position de sujet. L'épochè est un présupposé qui sert de méthode car il permet de relever le niveau transcendantal du sujet. C'est pourquoi on peut parler de cécité transcendantale avec Heidegger.
Le pouvoir constituant Husserl en parle comme un niveau du sujet alors que pour Sartre ce n'est pas le cas. D'où le fait qu'on parle d'egologie chez Husserl.
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C'est parti

I/ L'expérience psychologique peut se faire par un acte de réflexion

Il faut distinguer entre la réflexion naturelle (un sujet psychologique se dégage de cela, car elle se situe dans l'attitude naturelle) et on peut parler de réflexion transcendantale qui est l'épochè.
Le moi fait l’expérience psychologique qui saisit le je comme une existence intra mondain. Elle fait apparaître un sujet dont le sujet fait apparaître un statut comme n'importe quel sujet du monde. Cette expérience de réflexion naturelle, c'est une réitération ou une répétition qui répète le je comme un sujet intra mondain. On fait apparaître un sujet qui existe comme un objet intra-mondain.
L'acte même de la réflexion est intra-mondain. L'acte de réflexion est un acte intra-mondain. Cette expérience du je ne se distingue pas clairement d'une partie du monde. Son parti d'être ne diffère pas de n'importe quel être dans le monde. En quoi la réflexion transcendantale diffère de cela?
L'épochè libère un champ d'expérience transcendantale, c'est une saisie intuitive des vécus en tant que vécus. Ce qui apparaît c'est la saisie de conscience qui sont pris pour des vécus sans qu'on aille derrière projeter une existence réelle dans le monde. Cette saisie des vécus est rendue possible par la théorie des vécus de Husserl, car pour Husserl un vécu est immanent.
La théorie de la perception, entre un vécu et le perçu qui n'est pas du tout immanent à la conscience; la conscience va le constitué à partir de tous les vécus le perçu. Il y a toujours cette théorie qu'il exposait dans les recherches logiques, c'est le début de sa pensée qui'l a gardé et sur laquelle il a développé par la suite. Cette saisie du vécu est indépendante de toute existence. Il y a bien un vécu qu'on saisit indépendamment de toute saisie d'existence.
Dans le vécu, il y a une dimension qui échappe à la dimension mondaine. Dans le vécu il y a quelque chose qui échappe à la mort, le cogito est décrit comme un acte. Quand on s'intéresse au cogito, c'est à dire à l'apparaître du sujet à lui même dans l'épochè, c'est un acte, pour le cogito on fait émerger un sujet qui apparaît et en même temps on ne va pas l'associer à une thèse d'existence ou de non existence (naturelle ou pas). Alors que chez Descartes, c'est tout le contraire, c'est la première chose qu'on pose comme existant, le sujet n'est pas mis entre parenthèses.
Le je réduit n'est pas une partie du monde, c'est grâce à cela qu'il n'a pas le statut d'une partie du monde, on change donc de niveau, on ne prend pas position quant à son existence ou pas, on libère la partie qui n'est pas de l'ordre de l'intra-mondain. L'acte réflexif, va se rapporter à l'acte qu'il réfléchi.
L'acte réflexif au sens transcendantal se rapporte à l'acte qui réfléchi, c'est un acte de réflexion qui ne fait que répéter. Husserl fait l'épochè par rapport à cet acte naturel qui ne fait que répéter; Husserl le double d'un acte réflexif possible, il s’agit de réfléchir qu'il s'agit du premier acte de réflexion: réflexivité de la réflexion (la première est naturelle alors que la seconde est transcendantale est dans transcendantale d'elle même). Elle s'abstient à adhérer à la position d'existence.
La réflexion transcendantale s'abstient d'adhérer à la position de l'ego cartésien.
Cela réfléchi la réflexion première naturelle intramondaine. C'est un acte de répétition. Elle va s'abstenir de la position qui est impliquée dans la position centrale. Dans la réflexion transcendantale, il n'a pas  de répétition, mais il y a transformation du vécu premier, la position d'existence a été transformé. Il apparaît un je transcendantal. C'est ainsi qu'on peut comparer la réflexion dans la seconde on fait changer de niveau; dans la première on reste dans un niveau intra-mondain.
On voit qu'on peut distinguer plusieurs ego de façon méthodologique qui n'en constitue en réalité qu'un seul qui est un ego naturel capable de se séparer de lui-même pour se conquérir dans sa vérité, comme un ego transcendantal.
On peut dire que pour la réflexion, l'ego appartient au niveau de l'attitude naturelle. La réflexion cela apparaît comme une aliénation, une perte de soi, un oubli de soi dans le monde naturel, la scission qu'opère l’acte transcendantal. On sépare le sujet : scission opérée par l'acte transcendantal, elle est aussi une réconciliation avec l'acte lui même.
La scission est une réconciliation d'un soi avec lui même. (on revient du même point duquel on est parti, mais on en revient différemment). On revient d'un ego naturel, cet ego est transformé au terme de ce parcours et comme vie transcendantale et egologique; quand on revient à la vie naturelle on l'oubli mais si on y refléchi on s'en rappelle.

II/ Comparaison Husserl - Descartes :

L'invention du moi : Vincent Caron s'est intéressé à Pascal (c'est également un croyant). Il essaye de nous expliquer les relations entre Descartes - Husserl, il s'est doté des moyens d'y parvenir. Il n'y a pas de travail de moi sans travail du doute. L'ego qui apparaît chez Descartes c'est uniquement le résultat du doute, si on le suit bien, s'il n'y avait pas de doute il n'y aurait pas d'ego, l'ego transcendantal ne peut pas être obtenu sans la réduction phénoménologique transcendantale.
Husserl note bien un moi transcendantal comme le disait Descartes. Ce que Husserl trouve, on le trouve déjà au coeur de la pensée de Descartes. La position de Husserl est déjà présente chez Descartes, cette idée n'est pas très étonnante, cela explique pourquoi il a tenu aux plus grandes découvertes. Descartes aurait vu le sujet transcendantal, la phénoménologie doit donc rester fidèle à Descartes.
Il ne faut valoir rien d'autre que ce que nous nous sommes donnés. Il y a une apparition de la subjectivité chez Descartes. Le mot d'ordre de la phénoménologie est de revenir aux choses mêmes. Descartes fait apparaître la subjectivité. Tout ce qu'on doit prendre en compte du sujet, il y a bien un radicalise chez Descartes, et il faut revenir chez Descartes. On peut dire que ce que Husserl met en lumière, c'est le lien constitutif du doute et de l'ego obtenu en terme de cogito.
L'ego qui apparaît c'est le résultat du doute, il n'est pas possible d'accéder au moi, sans la mise entre parenthèses du moi empirique pour accéder vraiment à soi qui est un rapport de vérité. Cette mise entre parenthèses c'est ce qu'opère le doute. Ce doute peut être interprété comme une épochè et une suspension de l'attitude naturelle, le moi transcendantal apparaît chez Descartes. Descartes est le premier à poser l'apodicticité le moi pur. Le moi transcendantal apparaît chez Descartes, mais il ne s'en aperçoit pas mais c'est ce que relève Descartes.
L'Âme est un terme métaphysique, donc Descartes irait trop loin dans l'emploi de l'âme.
Il y émerge quelque chose qui est le moi transcendantal. Husserl voit le doute, il réinterprète un autre philosophe, il voit dans le doute un travail de la réduction des cogitationes : mise entre parenthèses des vécus et des vécus à l'ego. Mais en même temps Husserl n'est pas Descartes. Husserl reproche à Descartes d'aller trop loin et de ne pas dégager un moi transcendantal.
Descartes rend cette apparition à un sujet qui a une âme qui est une substance, et c'est la qu'il ne va pas assez loin, il n'est pas transcendantal. Vincent Caro dit que qu'il souligne celui de l'alia via (autre voie, autre route) qui serait un tournant décisif. Descartes se fourvoie par cette alia via, il abandonne la considération des idées selon ce qu’ale représentent.
A propos des idées, on peut prendre deux points de vue possibles, soit on considère que ces vécus sont des modes de la chose qui pense.
L'idée de montre et de stylo, sont considérés comme des idées de moi, leur nature est l'être des composantes de mon idée à moi. La confiance est un terme anachronique par rapport à Descartes.
La deuxième façon est de penser que les idées reflètent bien quelque chose qui est un contenu représentatif, la réalité objective. Les idées de stylo et de montre, ce qui caractérise ces idées, c'est qu'il y a un c'est une idée de stylo et l'autre une idée démontre, ce qu'on privilégie c'est qu'elle exhibe quelque chose qui ne sont as comparables et qu'on peut différencier grâce au contenu représentatif qui est la réalité objective chez Descartes : pôle subjectif, ces idées se rattachent à moi.
Moment où Descartes se concentre sur ce qui apparaît. La réalité objective lui permet de faire des différences entre les réalités objectives.
C'est l'idée de causalité qui permet de remonter jusqu'à l'ordre de dieu.
A un moment où on suivait tout ce qui se donnait dans l'expérience du cogito. On s'attache à l'ordre des choses telles qu'elles nous apparaissent. Le principe de causalité, la hiérarchie des degrés d'être. Cet abandon de l'alia via va nous faire quitter l'attachement aux choses qui se donnent, il le subverti à la notion de substance, etc. On voit à ce moment là qu'il se joue quelque chose .
Avec l'irruption du principe de causalité, c'est fini de la phénoménologie et on rentre en métaphysique.
Pour Husserl, Descartes ne sait pas quoi faire de son extraordinaire découverte, il y a un embarras dans la méditation, comment il va pouvoir obtenir une deuxième vérité, il a fait un abandon de sa phénoménologie pour une métaphysique qui est d'établir quelque chose de ferme dans sa constitution des sciences.
L' Alia via, pour Descartes est un succès, pour Husserl c'est un échec. On peut voir deux moments, un ego qui est défait de toutes ses déterminations empiriques, un ego qui n'a plus de caractéristique mondaine, il va se livrer avec la thèse de la substantialité du moi. Alors qu'Husserl va disjoindre le moi transcendantal, il ne fait que réitérer l'expérience du doute et rejette les conclusions métaphysiques que fait l’expérience du cogito.

III/ La thèse de la substantialité du moi

Élève de Heidegger: Gadamer
Heidegger voulait plutôt faire de la théologie au départ, il n'y a pas mal d'idée
Etre étant Heidegger : es premiers introducteurs de Heidegger ont fait des traductions jargonnantes, ils pouvaient se poser comme propriétaires de la traduction de la pensée d'Heidegger.
Emmanuel Martineau
Marlène Zarader
Les paroles de L'origine :
L'être et temps de Heidegger : commentaire de Etre étant de Heidegger
Jean Greisch n'a jamais été réimprimé
Poggeler
Le projet de Heidegger est d'instruire la question de l'être, c'est la question qui va l'occuper toute sa vie jusqu'à la fin. Etre pour Heidegger a plusieurs sens, et cela personne ne l'a jamais vraiment, quand on utilise Etre, on dit être subsistant.Il y a des choses qui ont un rapport différent : c'est le Dasein, sa question à lui c'est la question de l'être, l'interrogation sur ce que veut dire l'être.
Quel rapport entre l'être et le Dasein ?
Peut-on traduire le Dasein ?
On peut le traduire par l'humain, l'être dans sa réalité, ce qui est, on avait parlé de la différence entre l'essence et l'existence, le Dasein désigne la chose qui est là dans la langue allemande. Heidegger va en subvertir le sens particulier, c'est pourquoi, cela ne veut plus dire chez Heidegger la chose qui est là, si on traduit par "être là" on va passer à coté du concept qu'a voulu formuler Heidegger".
Dans l'être étant toute la première moitié, de son livre passe à organiser les structures d'être qui caractérisent le mode d'être de l'humain , mode d'être spécifique est particulier, il va dégager les structures spécifiques du Dasein. L'idée de Heidegger, c'est qu'un stylo est mais il s'aperçoit pas qu'il est. Le dasein est un étant privilégié, c'est ce qui est, c'est un étant ; il a un privilège qui comprend l'être.
L'idée est qu'il y a un rapport à l'être. L'idée de Heidegger c'est pour avancer dans la question de l'être, c'est de comprendre le seul étant qui comprend l'être. Il s'attache à définir ce qu'est un humain. Il  faut se rappeler que la question du Dasein a un statut préparatoire et préalable, le but est de s'intéresser à la question de l'être.
Les premiers lecteurs n'auraient pas vu cet aspect là. Heidegger aura influencé en France et aura fait émergé avec Sartre, l’existentialisme. L'existence chez Heidegger n'est pas le but de son projet. Il avait prévu d'écrire un livre en deux parties, les deux premières sections de la première partie. L'humain comprend l'être. L'horizon de l'être est le temps. Le temps est l'horizon de l'être, et cela Heidegger n'a pas su le montrer lors qu'il le voulait. A la fin des années 1920, il s'est rendu compte qu'il n'arrivait pas à caractériser l'être, car l'être se retire.
Etre et Temps est un livre inachevé on a que les premières sections de la première partie, analytique du Dasein.

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Olivier

Professeur en lycée et classe prépa, je vous livre ici quelques conseils utiles à travers mes cours !