Texte: " Soit la phrase : Robert a acheté le Figaro...En prenant en compte ce qu'il croit savoir de l'autre en même temps que les données de la situation d'entretien"
Il est possible d'organiser l'extrait en trois parties. Dans un premier temps, JC Pariente expose un exemple (" soit la phrase... exemplaire du journal") "Robert a acheté le figaro". Cette phrase expose le problème du langage . Le langage oral est très utilisé de l'homme mais peut entrainer des mals-entendus , pourtant ici il est affirmé qu'en général, les personnes qui font partie d'un dialogue se comprennent bien ("restent sur la même longueur d'onde" plus familièrement) et ce sans avoir a demander plus de détails.
Dans la seconde partie, (En fait, le destinataire d'un enoncé...ne peut pas faire d'erreur") Pariente pose une explication: la parfaite entente entre deux personnes est possible et se fait grâce à l'analyse des contextes et possibilités: il sera plus "normal" de croire pour l'interlocuteur que Robert a acheté un simple journal car il sait que ce Robert a des difficultés financières. Ainsi celui qui annonce les faits ("Robert a acheté le Figaro!") sait s'il doit ou non detailler les faits pour que son interlocuteur ne soit pas induit en erreur.
Finalement (Bref, chacun calcule, infère...les données de la situation d'entretien") Pariente dévoile un minimum sa position à ce sujet. Les points de suspension révèlent la coupure de texte. Pariente se fait raisonnable: il souligne la possibilité d'une erreur et donc de malentendu . Il n'est pas à la fin question d'apprecier ou non: c'est ainsi qu'est le langage, c'est tout.
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