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ACTE QUATRIÈME. THÉSÉE, LE MESSAGER.

(Le messager) Ô triste et pénible condition de la servitude, qui m'oblige à remplir un si triste message! (Thésée) Ne crains pas de m'annoncer les plus terribles malheurs: mon âme est depuis longtemps préparée aux coups de la fortune. (Le messager) Ma langue se refuse à ce récit déplorable. (Thésée) Parle; dis-moi quel nouveau malheur afflige ma maison. (Le messager) Hippolyte, hélas! une mort cruelle vous l'a ravi. (Thésée) Depuis longtemps je n'avais plus de fils. C'est d'un traître que les dieux me délivrent. Je veux savoir les détails de sa mort.

[1000] (Le messager) Dès qu'il fut sorti de la ville, comme un fugitif, marchant d'un pas égaré, il attelle à la hâte ses coursiers superbes, et ajuste le mors dans leurs bouches dociles. Il se parlait à lui-même, détestant sa patrie, et répétant souvent le nom de son père. Déjà sa main impatiente agitait les rênes flottantes; tout à coup nous voyons en pleine mer une vague s'enfler, et s'élever jusqu'aux nues. Aucun souffle cependant n'agitait les flots; le ciel était calme et serein:

[1010] la mer paisible enfantait seule cette tempête. Jamais l'Auster n'en suscita d'aussi violente au détroit de Sicile: moins furieux sont les flots soulevés par le Corus dans la mer d'Ionie, quand ils battent les rochers gémissants, et couvrent le sommet de Leucate de leur écume blanchissante. Une montagne humide s'élève au-dessus de la mer, et s'élance vers la terre avec le monstre qu'elle porte dans son sein; car ce fléau terrible ne menace point les vaisseaux, il est destiné à la terre. Le flot s'avance lentement, et l'onde semble gémir sous une masse qui l'accable.

[1020] Quelle terre, disions-nous, va tout à coup paraître sous le ciel? C'est une nouvelle Cyclade. Déjà elle dérobe à nos yeux les rochers consacrés au dieu d'Épidaure, ceux que le barbare Sciron a rendus si fameux, et cet étroit espace resserré par deux mers. Tandis que nous regardions ce prodige avec effroi, la mer mugit, et les rochers d'alentour lui répondent. Du sommet de cette montagne s'échappait par intervalle l'eau de la mer, qui retombait en rosée mêlée d'écume.

Telle, au milieu de l'Océan,

[1030] la vaste baleine rejette les flots qu'elle a engloutis. Enfin cette masse heurte le rivage, se brise, et vomit un monstre qui surpasse nos craintes. La mer entière s'élance sur le bord, et suit le monstre qu'elle a enfanté. L'épouvante a glacé nos cœurs. (Thésée) De quelle forme était ce monstre énorme? (Le messager) Taureau impétueux, son cou est azuré; une épaisse crinière se dresse sur son front verdoyant; ses oreilles sont droites et velues: ses cornes, de diverses couleurs, rappellent les taureaux qui paissent dans nos plaines,

[1040] et ceux qui composent les troupeaux de Neptune. Ses yeux tantôt jettent des flammes, et tantôt brillent d'un bleu étincelant; ses muscles se gonflent affreusement sur son cou énorme; il ouvre en frémissant ses larges naseaux; une écume épaisse et verdâtre découle de sa poitrine et de son fanon; une teinte rouge est répandue le long de ses flancs; enfin, par un assemblage monstrueux, le reste de son corps est écaillé, et se déroule en replis tortueux. Tel est cet habitant des mers lointaines, qui engloutit et rejette les vaisseaux.

[1050] La terre voit ce monstre avec horreur; les troupeaux effrayés se dispersent; le pâtre abandonne ses génisses; les animaux sauvages quittent leurs retraites, et les chasseurs eux-mêmes sont glacés d'épouvante. Le seul Hippolyte, inaccessible à la peur, arrête ses coursiers d'une main ferme, et, d'une voix qui leur est connue, s'efforce de les rassurer.

Une partie de la route d'Argos est percée entre de hautes collines, et voisine du rivage de la mer. C'est là que le monstre s'anime au combat et aiguise sa rage.

[1060] Dès qu'il a pris courage et médité son attaque, il s'élance par bonds impétueux, et, touchant à peine la terre dans sa course rapide, il se jette au-devant des chevaux effrayés. Votre fils, sans changer de visage, s'apprête à le repousser, et, d'un air menaçant et d'une voix terrible: "Ce monstre, s'écrie-t-il, ne saurait abattre mon courage; mon père m'a instruit à terrasser les taureaux". Mais les chevaux, ne connaissant plus le frein, entraînent le char, et, quittant le chemin battu,

[1070] n'écoutent plus que la frayeur qui les précipite à travers les rochers. Comme un pilote qui, malgré la tempête, dirige son navire et l'empêche de présenter le flanc aux vagues, tel Hippolyte gouverne encore ses chevaux emportés. Tantôt il tire à lui les rênes, tantôt il les frappe à coups redoublés. Mais le monstre, s'attachant à ses pas, bondit tantôt à côté du char, tantôt devant les coursiers, et partout redouble leur terreur.

[1080] Enfin il leur ferme le passage et s'arrête devant eux, leur présentant sa gueule effroyable. Les coursiers épouvantés, et sourds à la voix de leur maître, cherchent à se dégager des traits; ils se cabrent, et renversent le char. Le jeune prince tombe embarrassé dans les rênes, et le visage contre terre. Plus il se débat, plus il resserre les liens funestes qui le retiennent. Les chevaux se sentent libres, et leur fougue désordonnée emporte le char vide partout où la peur les conduit.

[1090] Tels les chevaux du Soleil ne reconnaissant plus la main qui les guidait d'ordinaire, et indignés qu'un mortel portât dans les airs le flambeau du jour, abandonnèrent leur route, précipitant du ciel le téméraire Phaéton. La plage est rougie du sang du malheureux Hippolyte; sa tête se brise en heurtant les rochers. Les ronces arrachent ses cheveux, les pierres meurtrissent son visage; et ces traits délicats, dont la beauté lui fut fatale, sont déchirés par mille blessures. Mais tandis que le char rapide emporte çà et là cet infortuné, un tronc à demi brûlé, et qui s'élevait au-dessus dé la terre, se trouve sur son passage, et l'arrête.

[1100] Ce coup affreux retient un moment le char; mais les chevaux forcent l'obstacle en déchirant leur maître, qui respirait encore. Les ronces achèvent de le mettre en pièces. Il n'est pas un buisson, pas un tronc qui ne porte quelque lambeau de son corps. Ses compagnons éperdus courent à travers la plaine, et suivent la route sanglante que le char a marquée. Ses chiens même cherchent en gémissant les traces de leur maître. Hélas! nos soins n'ont pu rassembler encore tous les restes de votre fils.

[1110] Voilà ce prince naguère si beau! voilà celui qui partageait glorieusement le trône de son père, et qui devait lui succéder un jour! Ce matin il brillait comme un astre; maintenant ses membres épars sont ramassés pour le bûcher.

(Thésée) Ô Nature! force impérieuse du sang! que tes droits sont puissants sur le coeur d'un père! C'est en vain qu'on cherche à étouffer ta voix. J'ai voulu la mort du coupable, et je déplore sa perte. (Le messager) Il est étrange qu'on pleure une mort qu'on a souhaitée.

[1120] (Thésée) Je regarde comme le plus grand des maux l'accomplissement d'un voeu barbare, (Le messager) Si vous haïssez toujours votre fils, pourquoi verser des pleurs? (Thésée). Ce qui m'afflige, ce n'est pas de l'avoir perdu, c'est d'avoir causé sa mort.

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LE CHOEUR.

À quelles vicissitudes est exposé le destin des grands! Les petits n'ont pas à craindre ces changements terribles: un dieu mesure à leur faiblesse les atteintes du sort.

C'est au sein de l'obscurité qu'on trouve la paix; c'est dans les chaumières qu'on vieillit sans alarmes. Ces palais, dont le faîte touche les nues, sont exposés à toute la violence de l'Eurus et du Notus,

[1130] aux fureurs de Borée, à celles du Corus orageux. La foudre éclate rarement dans l'humble vallée: c'est sur le Caucase altier, c'est sur les forêts de la Phrygie consacrées à Cybèle que Jupiter fait tomber ses traits embrasés. Ce dieu, craignant pour son brillant empire, foudroie les lieux qui en sont proches. La demeure du citoyen obscur ne saurait être le théâtre d'un grand changement:

[1140] c'est autour des trônes que gronde le tonnerre. Que d'incertitude, que de mobilité dans les choses humaines! Qui peut compter sur les promesses de la fortune? Ce héros qui, fuyant le sombre empire de la nuit, revoit enfin la voûte céleste et la clarté du jour, gémit et s'afflige de son retour, et se trouve plus malheureux dans le palais de ses pères que sur les bords de l'Averne. Ô Pallas, déesse révérée, si votre protégé,

[1150] Thésée, est rendu à la terre; s'il a pu s'échapper des marais du Styx, chaste déesse, vous n'êtes pas redevable à votre oncle l'avare Pluton, puisqu'une autre victime est allée remplacer Thésée aux enfers. Mais quelle voix plaintive retentit au fond du palais? Pourquoi

Phèdre éperdue s'avance-t-elle de ce côté, une épée à la main?

Comment réviser ses cours de latin ?

ACTE CINQUIÈME. THÉSÉE, PHÈDRE.

(Thésée) Qui peut vous causer ce violent désespoir? Pourquoi cette épée et ces cris lamentables? Pourquoi vous meurtrir le sein près de ces restes odieux?

(Phèdre) C'est contre moi, impitoyable dieu des morts,

[1160] c'est contre moi qu'il faut déchaîner les monstres de ton empire, ceux que Téthys garde dans ses abîmes les plus profonds, ceux que l'Océan nourrit aux extrémités du monde dans ses ondes mobiles. Et toi, cruel Thésée, dont le retour est toujours pour ta famille l'annonce de quelque malheur, la mort de ton fils et celle de ton père ont signalé ta présence. Haine, amour de tes épreuves ont été également funestes. Hippolyte, en quel état je te revois! Voilà donc mon ouvrage! Quel nouveau Sinis,

[1170] quel nouveau Procruste a mis ainsi tes membres en lambeaux? Quel minotaure, quel monstre aux cornes menaçantes, et remplissant de ses longs mugissements le labyrinthe de Dédale, t'a déchiré si cruellement? Hélas! que sont devenues les grâces de ton visage, et ces yeux qui brillaient d'un éclat divin? Te voilà donc étendu sans vie. Ah! demeure un instant, écoute-moi; je n'alarmerai point ta pudeur. Cette main va te venger: ce fer, plongé dans mon sein coupable, va me délivrer de la vie et de mon forfait.

[1180] Je te suivrai, amante passionnée, je te suivrai sur l'onde du Styx, à travers les torrents enflammés du Tartare. Mais apaisons d'abord son ombre. Reçois ces cheveux, dépouille d'un front empreint des marques de ma fureur. Nos âmes n'ont pu être unies sur la terre: la mort du moins nous réunira. Vertueuse, meurs pour ton époux; pour ton amant, si tu es infidèle. Quoi! je rentrerais dans la couche nuptiale, que j'ai souillée par un si grand forfait! Malheureuse! il ne manquait à tes crimes que de reprendre le rang et les droits d'une épouse fidèle. Ô mort, unique soulagement d'un amour malheureux, seule réparation de la pudeur outragée,

[1190] c'est toi seule que j'implore; c'est dans ton sein que j'espère trouver la paix. Athènes, et toi père plus funeste à ton sang qu'une marâtre, écoute-moi. Oui, j'ai calomnié Hippolyte; j'ai rejeté sur lui le crime que mon âme avait conçu. Ta vengeance fut injuste; le fils le plus vertueux, le plus chaste des mortels, a péri victime des calomnies d'une incestueuse. Reprends, ô Hippolyte, ta réputation sans tache. Mon sein n'attend plus que le coup mortel, et mon sang va couler pour apaiser tes mânes irréprochables. Et toi, meurtrier de ton fils,

[1200] apprends de sa marâtre ce que tu dois faire; apprends d'elle à mourir. (Elle se tue.)

THÉSÉE, LE CHOEUR.

(Thésée) Autres ténébreux de l'Averne, gouffre du Ténare, eaux du Léthé propices aux malheureux, lacs hideux des enfers, recevez un père barbare, pour le livrer à d'éternels supplices. Accourez, monstres cruels des mers; quittez les retraites où Protée vous retient; et, pour me punir d'une joie barbare, engloutissez-moi dans vos abîmes profonds. Et vous, mon père, vous toujours trop prompt à accorder les voeux inspirés par la colère, j'ai mérité la mort, moi qui, par un supplice nouveau, ai dispersé dans la plaine les membres de mon fils,

[1210] moi qui, en voulant le punir d'un crime supposé, me suis rendu moi-même criminel. J'ai rempli de mes forfaits le ciel, la mer et les enfers. Que me reste-t-il à souiller encore? J'ai profané les trois empires de l'univers. Fatal retour! Je ne suis donc revenu sur la terre que pour voir une double mort dans ma famille, que pour allumer avec le même flambeau le bûcher de ma femme et celui de mon fils.

Toi qui m'as fait revoir le jour que je déteste, Alcide, rends à Pluton le présent que tu m'as fait, rends à Thésée sa place dans les enfers. Coupable d'un tel forfait, j'implore en vain la mort.

[1220] Barbare, toi qui inventas pour ton fils un genre de mort affreux et inouï, invente pour toi-même des supplices dignes de ta cruauté. Que la cime d'un pin soit courbée jusqu'à terre; que l'arbre, en se redressant, disperse mes membres palpitants; qu'on me précipite sur les rochers du barbare Sciron. J'ai vu des tourments plus affreux, et dont les coupables, environnés par les ondes brûlantes du Phlégéton, ne sauraient s'affranchir. Je sais la place et le supplice qui m'attendent aux enfers. Ombres coupables, trêve à vos tourments.

[1230] Que le vieux Sisyphe, chargeant son rocher sur mes épaules, repose enfin ses bras fatigués; qu'une eau fugitive trompe sans cesse mes lèvres altérées; que le vautour cruel abandonne Titye, pour déchirer mes entrailles toujours renaissantes. Et toi, père de mon cher Pirithoüs, repose-toi enfin, et que mes membres attachés à ta roue suivent le mouvement rapide qui t'entraîne sans cesse.

Ô terre, entrouvre-toi; enfer, ouvre-moi tes abîmes. Un plus juste motif m'y appelle cette fois

[1240] j'y vais rejoindre mon fils. Ô Pluton, ne crains rien; je ne sers plus une flamme adultère, et je rentre dans ton empire pour n'en sortir jamais. Hélas! les dieux sont sourds à mes prières. Mais qu'ils seraient prompts à les exaucer, si je les implorais pour un crime!

(Le choeur) Ô Thésée, l'avenir suffit à vos regrets! Occupez-vous maintenant des funérailles de votre fils; hâtez-vous d'ensevelir ces membres si horriblement défigurés.

(Thésée) Oui, oui, apportez-moi ces chers et déplorables restes, où l'oeil d'un père ne peut plus reconnaître son fils. Mettez sous mes yeux ces lambeaux rassemblés au hasard. Voilà donc mon Hippolyte! Ô crime affreux!

[1250] c'est moi qui t'ai donné la mort! et, pour n'être pas seul coupable, j'ai imploré le secours de mon père pour accabler mon fils. Voilà les faveurs que je reçois de Neptune! Malheur déplorable! j'ai perdu le soutien de ma vieillesse. Embrassons ce corps déchiré; donnons à ses débris malheureux ces tristes et derniers témoignages de ma tendresse. Remettons à la place qu'ils occupaient ses membres confusément rassemblés. Ici devait être sa main valeureuse, là sa main gauche; si habile à diriger des coursiers.

[1260] Je reconnais les signes imprimés sur son flanc gauche. Combien de parties de son corps ne seront point arrosées de mes larmes! Ô mes tremblantes mains, ne vous lassez point de ce pénible devoir! Ô mes yeux, retenez les pleurs que vous versez! laissez un père compter les membres de son fils, et rendre la forme à son corps. Quel est ce débris informe et tout défiguré par les blessures? Je ne sais, mais c'est une partie de toi. Mettons-le à cette place qui n'est pas la sienne, mais où il manque quelque chose. Est-ce là ce visage qui brillait d'un éclat divin

[1270] et qui charma les yeux mêmes d'une marâtre? Voilà ce qui reste de tant de beauté! Destins cruels! funeste faveur des dieux! c'est donc ainsi que vous me rendez un fils! Reçois, ô Hippolyte, ces dons funèbres de la main de ton père! tes funérailles auront lieu plus d'un jour. Que le feu cependant consume ces restes. Ouvrez le palais où une mort si affreuse a répandu le deuil, et qu'Athènes entière retentisse de nos gémissements. Qu'on prépare un bûcher royal; et vous, ses fidèles compagnons, cherchez dans la plaine ceux de ses membres qu'on n'a pu retrouver.

(En montrant le corps de Phèdre.) Pour elle, que son corps soit inhumé sans honneur,

[1280] et puisse la terre peser sur sa tête impie !

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Philippe

Professeur de musique depuis deux décennies, je vous livre ici mes différents cours !