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Introduction

La Grande-Bretagne, tout comme les autres pays d'Europe, connait un probleme récurrent, nombre d'inventions ne sont pas dévellopées, faute d'un environnement technique suffisant ; Or, certaines techniques sont connues et maitrisées depuis l'époque médiévales. Ainsi, l'énergie hydrolique pour les moulins, l'utilisation des charbons de bois pour les premiers hauts fourneaux, le drainage et la canalisation des fleuves : mais ces éléments ne sont jamais généralisés.

Il faut attendre pour cela la révolution mentale que constitue au XVIIème siecle la naissance des sciences – Pascal, Descartes, Newton, Leibniz – qui fondent non seulement une réflexion, mais aussi une méthode scientifique opératoire. Il se trouve que les britanniques, par la forme propre de leur dévellopement, fondé sur l'expérimentation, sont les plus à même de profiter de cette nouveauté. Désormais, l'invention devient innovation.

Il convient donc d'examiner les modifications dans le domaines des innovations, à savoir l'entrée dans l'ère machiniste au travers les exemples des nouveaux produits, de l'énergie, avant de nous interroger sur la possible naissance d'un nouveau systeme technique, soit la présentation des innovateurs et le processus des innovations mélant externalitées et endogènéité. Le second temps de la reflexion portera sur les fruits de ces innovations, soit une croissance lente et inégale, car elle ne concerne que les secteurs de pointe et laisse encore une place importante au mode extensif, mais une croissance durable qui autorise à dépasser l'état stationnaire et à concevoir l'existence d'une grappe d'innovation qui sur le long terme autorisera une élévation du niveau de vie.

L'offre : les innovations

L'entrée dans l'ère du machinisme : quelques exemples

L'energie : le charbon et la vapeur

Le charbon de terre est une énergie fossile abondante en Grande-Bretagne. Même s'il est fossile, c'est une ressource immédiatement disponible en abondance contrairement au bois qui peut être certes être renouvellé mais au terme d'un certain délai.

La vapeur est connu pour ses propriétés mécaniques depuis l'antiquité. La premiere machine à vapeur est inventée par Denis Papin en 1690. Les brittanniques vont l'améliorer en 2 étapes :

-Thomas Newcomen va l'améliorer en 1712. Cette machine est trop volumineuse et met plus d'une semaine pour être activée. Elle est par ailleurs extremement coûteuse. Elle va pourtant avoir une application : elle permet de pomper l'eau dans les galeries des mines. Seul 1% des ressources énergétiques sont réutilisables.

-En 1781 James Watt reforme une nouvelle machine plus petite et maniable. Elle récupère 5% des ressources énérgétiques prélevées. Son immense avantage est qu'elle peut être couplée avec d'autres machines. Cette machine va être utilisée jusqu'en 1914 car elle permet d'atteindre une puissance de 20 chevaux, jusqu'à 1000 chevaux par couplage. Ses machines vont être d'usage universel et, pour la première fois, on va pouvoir actionner une machine sans une force animale ou humaine.

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Les produits : le coton, la métallurgie

En 1769, Richard Arkwright invente la Water Frame, premiere machine automatique à filer le coton.

En 1779, Richad Crompton invente la Mule Jenny capable de filer le coton pur.

En 1733, John Kay invente le systeme de la navette volante, capable de tisser les fils de maniere automatique. → La profession va se féminiser avec une rapidité fulgurante.

En 1785 Edmund Cartwright va dévelloper la Power Loom, premiere machine à tisser automatique fonctionnant à la vapeur

En 1784, Berthollet acquiert à Javel des terrains où il installe une manufacture chimique; Il met au point un processus de dissolution du chlore appelée eau de javel. Le coton va alors connaître son expansion maximale car on peut le colorer.

Le processus principal de métallurgie consiste à fondre des mineraix naturels portés à haute température avec du charbon. Le passage au charbon de terre permet d'augmenter la température, mais contient des impuretés qui ne dégage pas de chaleur (gaz, goudron).

Abraham Darby, un industriel brittannique, va avoir l'idée de la fonte au coke : c'est le résultat de la distillation de la houille pour éliminer les gaz, obtenant ainsi de la coke. Son procédé est d'une telle qualité qu'à la fin du siecle, 90% de la fonte produite en Angleterre l'est selon le principe de la fonte au coke.

En 1784, le brittannique Cort invente le puddlage, qui permet de brasser de la fonte en fusion pour éliminer les impureté, notamment le carbone.

En , met au point le laminage : la coulée de métal passe par des cylindres qui lui donne forme.

Ces avancées techniques permettent à la Grande-Bretagne d'être en position de leadership dans le domaine de l'acier.

Ainsi, entre 1786 et 1815, la production de fer est multipliée par 6 ; Le prix de la tonne passe de 22 à 14 livres sterling.

Ces deux révolutions énergétiques vont permettre l'emergeance de deux moyens de transport : le train à vapeur et le le bateau à vapeur.

Le devellopement des transports : chemin de steamers.

En 1825, la premiere ligne de chemin de fer relie Londres à sa Banlieue pour un parcours total de 39 km parcouru à 20km/h. La faculté de médecine explique qu'au delà de 50 km/h que les femmes enceintes avorteraient, les fous deviendraient encore plus fous, les hommes subiraient une compression des testicules. Plus le chemin de fer se devellope, plus il va falloir recourir à des tunnels et des viaducs. Enfin, les rails doivent être régulièrement changés, par intervalle de deux ans. En l'absence d'entrepreneurs privées, nulle part en Europe l'Etat n'a pour ambition de prendre en charge ces activitées.

En 1838, les brittanniques établissent la premiere liaison reliant l'Angleterre et les Etats-Unis. La marine à voile ne va être dépassée par les navires à vapeur qu'à partir de 1919. La vapeur va permettre une régularité des transports, ce qui est un apport considérable dans ce domaine. Par ce système s'enclenche une premiere mondialisation : par les steamers, toutes les régions du monde possédant un littoral deviennent accessibles. Les brittanniques sont, de par leur empire colonial, les plus à même de réaliser ces échanges de manière mondialisée. Depuis le XVIIème siecle, les brittanniques ont une legislation nommée actes de navigations : seule les navires brittanniques sont autorisés à faire du commerce avec le Royaume-Uni.

Ces transports ont aussi dans d'autres pays une utilité différente. En France, le chemin de fer est perçu comme la voie d'unification culturelle la plus pertinente. Il force l'aggrandissement du marché, qui entraine la nécessité d'une unité linguistique afin de réaliser des transactions commerciales.

Un nouveau systeme technique

Qui sont les innovateurs ?

Richard Arkwright est issu d'une famille pauvre de 13 enfants. Il est à peine alphabêtisé, et de profession apprenti barbier. Or, il est inventeur sans être ingénieur diplômé ; Il comprend par l'observation comment coupler une machine à vapeur à une machine à tisser. Les brittanniques voient une préeminence du savoir-faire sur le savoir. Il n'est à l'époque pas encore nécéssaire de conceptualiser les inventions, surtout parce que la machine va évoluer en meme temps que l'activité.

En 1850, la France reprend l'avantage dans la discipline. Les machines doivent être pensées car il n'est plus possible d'attendre des améliorations par tatonnements.

James Brindley n'est pas non plus un ingénieur qualifié, mais un jardinier illétré.

Les brittanniques ont multipliés les sociétés savantes – réunions d'individus aux formations diversifiées qui, une fois par mois ou par trimestre, écoutent des communications sur les inventions récentes. Ils cherchent alors à l'améliorer, et à alimenter en publication les journaux scientifiques. Ces bulletins vont se répandre jusqu'aux plus petites villes d'Angleterre.

Ces sociétés vont peu à peu essaimer en Europe ; La mode est alors à l'anglomanie, c'est pourquoi elles vont se dévelloper rapidement.

Le processus des innovations

L'innovation est-elle une rupture ou plutôt une continuité d'un processus, d'une machine déjà existante. Certaines innovations sont des ruptures – vapeur, lazer. Tout ce qui a été inventé pendant la première industrialisation est, d'après Douglas North, plutot dans une continuité qu'il appelle « pathdependence », c'est-à-dire la dépendance par rapport au chemin. Les innovations sont le fruit des recherches d'autres individus. Par exemple, l'écartement des rails est typique du pathdependence selon North car elles découlent d'une invention qu'est la locomotive. Il va alors falloir standardiser l'ecartement des rails(suivre le sentier) pour en permettre le dévellopement ;

Selon Schumpeter, l'innovation designe l'application économique d'une idée en vue d'une amélioration ; L'innovation peut être le fruit d'une demande sociale, comme par exemple le passage de l'eclairage au gaz à l'éclairage electrique. Cela permet une plus grande sécurité dans les matériaux et un éclairage de bien meilleure qualité. Grâce à ces lampadaires, les passants vont pouvoir être mieux protégés et sortir la nuit. Il reste un cas de fygure où le processus d'innovation change la répartition sociale – par exemple, la navette à tisser de J. Kay va feminiser la profession.

Un systeme technique signifie qu'il y a cohérence entre toutes les inventions et innovations. Par exemple, le charbon est lié au fer qui est lié à la vapeur...Or, s'il a lieu, ce systeme constituera ce que certains appellent la seconde revolution industrielle (1880's).

Une croissance lente et inégale.

Une croissance lente

Une croissance qui ne touche que les secteurs de pointe

  • 1780/1800
  • 1800/1831 : 1,9% par an.

Industrie :

  • 1ere période : 2,5% par an.
  • 2ème période : 3% par an.

Coton :

  • 1ere periode : 10% par an.
  • 2eme periode : 6% par an.

Fer :

  • Premiere periode : 5% par an.
  • Deuxieme periode : 4,5% par an.

L'historien J-C. Asselin prend comme critère de référence le temps necessaire à produire 100 livres de coton filé :

  • Au début du XVIIème, 50000 heures
  • Avec la machine, 2000 heures
  • A la fin du XVIIIème siecle, 300 heures avec la machine améliorée.

=> En 1786, une livre de coton filé vaut 38 shilings ; Elle n'en vaut plus que 3 en 1832.

Ceci remet en cause la théorie de Rostow : il ne s'agit que d'un décollage localisé dans certains secteurs. Le fameux doublement du taux d'investissement n'est pas atteint, puisqu'on arrive aux alentours de 8%. Il faut décaler dans le temps l'idée de Take Off, qui n'aura lieu que dans la seconde moitié du XIXème siecle.

Une croissance durable

Un état stationnaire dépassé

→ d'après David Ricardo, stade à partir duquel on ne peut dépasser le niveau de progres technique. Nous verrons en realité trois systemes qui font que cet état est non seulement dépasser, mais tend aussi à s'institutionnaliser.

3 exemples d'institutionnalisation :

Le cas brittannique, où il va s'institutionnaliser par la loi. Depuis 1815, le marché est protectionniste car fermé par les cornlaws. Ceci est favorable aux grands propriétaires terriens, qui peuvent maintenir leur situation d'oligopole. Cependant, avec le progrès technique, des industriels comme Richard Cobden vont créer une anticorn-law league où vont se rassembler des industriels ; En effet, les industriels sont favorables à une hausse du niveau de vie des ouvriers ne passant pas par une hausse des salaires : les profits dégagés ne sont pas suffisant pour servir à la fois à l'investissement et aux salaires. En revanche, l'importation de blé va diminuer le prix du pain, donc permettre aux ouvriers de mieux se nourrir, non pas parce que le salaire nominal a augmenté mais parce que les prix ont baissé. D'autre part, Cobden a besoin que l'Angleterre s'ouvre au libre-échange.

→ En 1846, quand l'Angleterre renonce au protectionnisme, elle est le seule pays à n'avoir jamais plus renoncer au libre-échange.

NB : En 1833, le rapport du nombre de députés entre villes et campagnes est modifié, car la majorité des députés n'est pas issu du milieu agricole pour la première fois.

En exportant des biens industriels à forte valeur ajoutée, le pays pourra tres facilement importer les matieres premieres et les bien agricoles dont elle a besoin. C'est pourquoi elle décide de renoncer à l'agriculture après l'ouverture des frontières. La Grande-Bretagne est alors en situation de monopole industriel.

- En France, le roi Louis XV fonde dès 1747 l'école d'ingénieur des ponts et chaussées. Les révolutionnaires créent en 1793 l'école des mines et en 1794 l'école polytechnique. Elles regroupent des individus ayant une connaissance intellectuelle théorique la plus avancée au monde. En 1829 est crée l'Ecole centrale des arts et manufactures. Les enseignements sont scindés entre entre enseignements classiques et de chefs d'entreprise. Cela permet de donner une formation ne necessitant pas de temps d'adaptation.

=> Jusqu'à la fin du XIXème siecle, 99% des Centraliens sont des fils de patrons.

Cette particularité française va etre particulierement favorable apres 1850 ; La Grande-Bretagne se fait alors rattrapper mais aussi dépassée par la France. Les formations théoriques sont alors nettement plus pertinentes que le systeme empirique des anglo-saxons.

-Les allemands vont mettre au point le systeme des technopôles reliant des laboratoires de recherches, des universités, des entreprises et des banques. Les allemands vont créer une structure qui relie ces agents, utilisant les fruits des recherches

Une grappe d'innovations

→ Dans le secteur énergétique, la vapeur demeure majoritaire tout au long du XIXème siecle, même si son rendement est faible. Elle sera ensuite concurrencer par l'electricité pour de petites unités de production. Cela est permis par des travaux scientifiques de Volta, Ampère ou Faraday, mais n'aboutit pas avant 1866, où Siemens va inventer la dynamo (permet de stocker l'electricité). Cela sera ensuite amélioré par le français Gramme. Cela va permettre d'electrifier la ligne Creil-Paris en 1833.

En 1878, Edinson invente l'ampoule electrique et permet l'invention du

En 1879, premier tramway électrifié à Berlin

Pas d'electricité de masse avant 1914.

Le telegraphe transatlantique est posé pour la premiere fois en 1866. Il relie alors l'Angleterre et les Etats-Unis. Les informations économiques qui mettaient 3 mois à parvenir entre New-York et Londres vont être quasiment instantanées. Cela permet de gérer des entreprises à taille internationales, des marchés internationaux.

Les premiers telephones sont installés à Paris en 1879.

La Transmission sans fil(radio) est inventée en 1895 par l'ingénieur italien Marconi. L'ingénieur va être confronté à des problemes financiers et de manque d'interet de son invention pour les industriels. En 1912, les brittannique rachetent le brevet de Marconi et dévellope le réseau impérial de propagande de TSF.

→ Dans le secteur automobile, Demler et Benz mettent en place en 1885 le moteur à explosion, amélioré en 1897 par Rudolf Diesel. En 1891, le pneu démontable est inventé par Michelin ; S'en suivront diverses innovations industrielles : l'aluminium(carrosserie), plastiques, raffineries de pétrole.

→ L'industrie chimique nait en Allemagne, où les engrais sont crées en mélangeant du phosphate et de l'azote. Là-bas, la pauvreté des terrains va être contrebalancée, ce qui va permettre une révolution agricole. Bayer invente l'aspirine. Les premieres aspirines ont tendance à provoquer des saignées de tous les orifices.

En terme de niveau de vie, une amélioration sur le long terme, mais déterioration sur le court terme.

→ Stagnation des salaires entre 1750 et 1830, voire baisse avérée entre 1780 et 1810. Jusqu'à cette époque, le salaire de marché revient au salaire naturel, c'est-à-dire au salaire de survie. Il y a alors pression à la baisse de la population car la population active s'accroit. C'est alors l'invention du luddisme : les ouvriers vont détruire, saboter les usines, parce qu'elles sont le symbole du chômage qui serait provoqué par la mécanisation.

A cet epoque, les britanniques vont constituer un empire colonial où les jeunes britanniques vont y trouver un emploi par emigration. Après 1831, le niveau de vie augmente de 1,2% par an, puis de 2% par an entre 1850 et 1913.

La Great Famine de 1845 aurait provoqué la mort de 2 millions d'irlandais, suite à laquelle les Cornlaws sont abolies, le marché du travail à nouveau ouvert « grâce » à la hausse de la mortalité.

On peut considerer que la caractéristique majeure de l'industrialisation est en effet la naissance d'une croissance très supérieure à ce qu'elle était auparavant. Selon Angus Maddison, on passe de 0,2% de croissance par an entre 1400 et 1800 à 1,2% par an depuis 1800 dans le monde. Cette croissance est dûe au progrès technique qui permet seule la sortie du schéma malthusien, c'est-à-dire qui permet de déconnecter la croissance démographique de la croissance économique, grâce à la hausse de la productivité ; En retour, les sociétés s'adaptent à la croissance, en pratiquant la transition démographique, de nouvelles normes de consommations, même si on ne peut pas encore parler de consommation de masse ; Le probleme pour la grande-bretagne est qu'elle ne prend pas conscience que ce XIXème siècle qui semble consacrer son apogée et son hégémonie économique est en réalité concurrencé par des nouveaux venus en Europe, aux Etats-Unis, au Japon, qui petit à petit vont remettre en cause la suprématie britannique.

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Olivier

Professeur en lycée et classe prépa, je vous livre ici quelques conseils utiles à travers mes cours !