Certains signes (anxiété, angoisse, stress…) dénotent un mal-être, voire une souffrance chez l’adolescent.
Si certains enfants sont prompts à communiquer et à partager leurs doutes, d’autres se renferment
dans un mutisme désarmant pour les parents. Pour mieux communiquer avec l’adolescent et anticiper une crise,
les parents doivent revoir parfois leur copie !
- Responsabiliser l’enfant pour lui donner confiance. Ne pas penser à sa place, le laisser raisonner, quitte à ce qu’il se trompe.
- Valoriser leurs qualités humaines et leurs réussites à l’école. Certaines phrases ont un impact négatif sur l’adolescent.
Exemple au lieu de dire « t’es nul » mieux vaut dire « ton devoir est nul ».
- Témoigner de la confiance sous contrôle parentale. L’ouverture et la lecture du bulletin peut être ouvert,
en premier, par l’adolescent : il s’agit de ses notes donc de ses réussites.
- Donner le goût d’apprendre en partageant des sorties (cinéma, théâtre, expos, concerts…).
- Favoriser des espaces de liberté propre aux affinités de l’adolescent : espace de liberté de la chambre
(frapper avant d’entrer), espace de d’expressions (sport, activités créatives, art…), espace d’idéal (projet donnant un sens à l’avenir)…
- Gérer l’autorité : en primaire, il s’agit d’une autorité par l’exemple ; au collège l’autorité s’exerce par le dialogue et en apportant
des réponses ou des clés pour mieux réfléchir.
- Promouvoir le sport car il véhicule des valeurs fortes. Vouloir gagner, savoir perdre mais aussi il développe le goût de l’effort.
30 janvier 2012 - Leila Calmard pour intellego.fr
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