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C'est parti

Introduction

La peine de mort est encore un sujet tabou dans le monde. Certains pays sont pour d'autres son contre, certain politicien sont pour d'autres sont contre, les avis sont partagés.

Un peu d'histoire de la peine de mort

La peine de mort paraît avoir existé dès l'apparition d'une justice pénale organisée ; les documents historiques les plus anciens en font déjà mention. Ainsi, le Code de Hammourabi, roi de Babylone (XVIIème siècle av. JC), prévoit la peine de mort pour une trentaine de crime différents. Lorsque l'État naît, la peine de mort est très fréquemment réglementée. Dans la Bible, on remarque la présence de motifs de mise à mort Durant l'époque de la chrétienté, la peine de mort demeure pratique courante. Durant plus d'un millénaire , l'Église condamnera à mort des hérétiques, des sorcier(e)s. Cependant, à partir du XVème siècle, comme dans l'évolution de l'Empire romain, les conditions économiques amènent le remplacement de la peine de mort par la déportation dans de nouveaux territoires ou encore par mutilation. A la même époque, on voit se développer la construction des prisons qui ont pour effet la diminution des condamnations capitales. C'est à partir de la réflexion sur le destin des prisonniers, et la montée de la tolérance, que peu à peu se constitue le grand courant abolitionniste moderne contre la peine de mort. Pourtant aucun grand philosophe du XVIIIème siècle n'a fait objection à la peine de mort. La Toscane est alors le premier État à abolir la peine de mort, dès 1786. Au cours du XIXème siècle, on assiste à une progressive disparition de la sanction capitale. Les crimes susceptibles d'entraîner la peine de mort constituent une liste de plus en plus restreinte. En France, en 1830 le Code Pénal prévoit encore dix motifs de condamnation à mort, tandis qu'en Grande-Bretagne la limite est à quatre à partir de 1800. La prise en considération des circonstances atténuantes et le droit de grâce du chef de l'État contribuent partout à la réduction des peines capitales. Quant à l'abolition légale, elle ne se produit que très tardivement. Voici les dates des diverses abolitions légales :

Portugal 1867
Hollande 1870
Norvège 1905
Suède 1921
Danemark 1930
Suisse 1942
Italie 1944
Finlande 1949
Allemagne de l'ouest 1949
Autriche 1950
Grande Bretagne 1965
Espagne 1978
France 1981

 

Badinter

En cours de français, comment parler de la peine de mort sans évoquer l'un des principaux acteurs de son abolition en France, Robert BADINTER, Ministre de la justice sous Mitterrand, qui avait lui -même déclaré avant son élection qu'il abolirait la peine de mort alors qu'une grande partie de la population française y était opposée, Robert BADINTER fit voter l'abolition le 9 octobre 1981. Robert BADINTER commença sa carrière professionnelle en tant qu'avocat, ce qui lui permit d'avoir des opinions très éclairées, très progressistes sur certains problèmes de société. Il plaida dans de nombreux procès, dont le plus médiatisé fut certainement celui de Patrick Henry (1976), qu'il sauva de la peine de mort. Il fut également professeur de droit. Robert BADINTER mena tout au long de sa vie des combats très variés ; il fut un homme engagé. Il s'est notamment battu contre l'antisémitisme,.... Mais Robert BADINTER restera surtout célèbre pour son engagement contre la peine de mort : il est en France l'homme de son abolition. Plusieurs raisons peuvent expliquer cet engagement contre la peine capitale :

  • les unes sont plutôt pratiques : elles concernent la barbarie et la violence d'un tel sentence, qui avaient horrifiées Robert BADINTER. Il considérait donc la peine de mort comme contraire aux principes des nations civilisées. Il faut d'ailleurs préciser que ce sont des exécutions réelles qui sont à l'origine de l'engagement militant de Robert BADINTER, comme par exemple pour l' affaire Buffet et Bontemps en 1972 (auteurs -ou complices- d'une prise d'otages, décapités), ou l'affaire Ranucci.
  • les autres raisons sont théoriques. Elles sont le fruit des nombreuses réflexions de Robert BADINTER sur la personne humaine, la société, la vie,...Pour lui, plusieurs points doivent être mis en valeur, comme par exemple le fait que l' Etat n'a pas le droit de vie et de mort sur les citoyens, que toute personne a le droit au respect de sa vie,...

Robert BADINTER devint Ministre de la justice sous le gouvernement Mauroy suite aux élections présidentielles de 1981 et la victoire François Mitterrand -lui-même abolitionniste convaincu- aux présidentielles. Peu après son entrée en fonction, Robert BADINTER proposa une loi abolitionniste, votée par l'assemblée nationale puis par le Sénat. Cette loi fut promulguée par François Mitterrand le 9 octobre 1981, et entra en vigueur le lendemain Robert BADINTER fut renommé garde des sceaux dans le gouvernement Fabius, qui succéda au gouvernement Mauroy en 1984. Robert BADINTER est devenu ensuite président du Conseil Constitutionnel (1986), poste qu'il occupa jusqu' en 1995. En 1998, il fut investi de la présidence de la mission interministérielle pour la célébration du cinquantième anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l' Homme, signée en 1948. Robert BADINTER est actuellement sénateur. De sa carrière d'avocat à tous les grands combats qu'il a mené, de ses réflexions éclairées à ses prises de positions politiques , Robert BADINTER a sorti plusieurs livres, dont le plus emblématique est sans conteste « L'abolition », paru en 2000.

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Les différents types d'exécutions

D'après une étude datant de Mars 1989, on compte 7 différentes manières pour exécuter les condamnés. L'exécution par les armes : elle est plus utilisée pendant les périodes de guerre et surtout sur les soldats (en 1986 au Niger, des hommes sont mort sous des rafales successives de mitrailleuses qui commencent aux chevilles en remontant).Ces peines sont données par des tribunaux militaires et sont surtout utilisées en Chine, en Corée du Nord, en Thaîlande, en Indonésie, en Arménie et au Vietnam.

  • La pendaison : elle touche en majorité les pays ayant fait partis du Communwelth ( pratique anglaise du 19 ème siècle) . De plus, c'est une pratique lente qui pousse souvent le bourreau à tirer sur les pieds du condamné. Elle se pratique dans les pays tels que l 'Iran, la Lybie, la Corée du Nord, à Singapour, en Egypte, en Inde et au Pakistan.
  •  La mort par injection (de poison) : le poison se constitue de thiopental sodique, qui est un barbiturique afin que le condamné perde connaissance, de bromure de pancuronium, qui est un relaxant musculaire qui paralyse le diaphragme, et de chlorure de potassium, qui produit l 'arrêt cardiaque, un mélange de trois poisons en un. Cette technique est utilisée en Chine, et aux Philippines.
  •  La mort par lapidation : c 'est une technique prévue par la loi. Le paragraphe 119 du code pénal islamique iranien stipule que, je cite : "Les pierres ne doivent pas être trop grosses pour ne pas que le condamné meure au premier ou au deuxième coups (qui décède trop vite d'un trop gros choc au cerveau), ni si petite qu'on ne puisse pas leur donner le nom de pierre". Il doit être enterré, avec juste la tête qui dépasse, et la foule doit lui jeter ces pierres. Cette pratique s'opère dans les pays de droits islamiques et sont surtout utilisés pour les crimes sexuels .
  •   La mort par décapitation : tout comme la lapidation, elle fonctionne en majorité dans les pays de droits islamiques et pour des affaires sexuelles. La précision et la rapidité du coup dépendent du bourreau, de sa corpulence. En effet, la lame étant fine il arrive parfois que plusieurs coups soient nécessaires. L'Arabie Saoudite n 'est qu 'un des six pays qui utilisent ces types d'exécutions .
  • La guillotine, elle, n'est plus utilisée (il y a 22 ans à peine de ça la France l'avait comme peine capitale !).

Témoignages de deux condamnés

Anonyme

"Une cellule de 2,44 m x 3,05 m soit 7,4 m², une meurtrière dans le mur à 2 mètres de hauteur : la fenêtre fait 1.20 sur 7.7 cm de large : difficile de voir quelque chose ! la cellule est construite de béton et acier. Les murs sont peints en blanc peint - la peinture s'écaille. Le lit est une couchette d'acier. Le matelas est en vinyle bourré de coton, l'oreiller également, très inconfortable et chaud en été (ndt : au Texas la température avoisine les 40°C) Pas de télé. Une radio de mauvaise réception, les journaux doivent être payés et commandés par des amis de l'extérieur. Tous les magazines, livres, etc., doivent être commandés via amazon.comnbsp ; ou aux éditeurs. Aucun colis personnel n'est autorisé !!!! seulement du courrier, des impressions de pages web, des lettres et des photos sont autorisées dans le courrier. Douche : la douche est souvent glacée en hiver, brûlante en été. C'est moisi, ça pue et non hygiénique, sans ventilation, c'est mal tenu. Tous les prisonniers sont menottés et escortés jusqu'à la douche par deux gardes, souvent nous sommes laissés dans la douche pendant 25-45 minutes juste à attendre et attendre. Fournitures pour écrire : on peut les commander par l'intermédiaire des amis de l'extérieur, ou les acheter à la cantine. Le papier est cher : 2,40 dollars pour 100 feuilles. Les tablettes d'écriture sont de mauvaise qualité et coûtent 1 dollar. Un crayon vaut 14 cents et un stylo : 20 cents. Tous les repas sont trop cuits, de 3ème qualité, toujours froids, dans des conditionnements sales. Seuls les tiges de légumes sont servies, jamais de brocolis, ni de têtes de choux fleurs, seulement les queues. Les carottes sont soit crues soit trop cuites, et pourries. La viande est du soja reconstitué, gras et sans assaisonnement, le porc mal cuit, non assaisonné. On nous sert maintenant un dessert par semaine (à cause des restrictions budgétaires). Nous avons 3 repas par jour, de faibles calories, et les (lentilles ?) , haricots blancs , haricots mexicains et des pois (black eyes), servis à chaque repas, ne sont mangés par personne. Les petits pois sont servis chaque jour, comme les carottes et le maïs. Le petit déjeuner consiste en pancakes (petites crêpes) 6 jours par semaine, un jour nous avons des œufs (qui ne sont pas des œufs, ce sont des imitations d'œufs, en carton. Les prisonniers en régime disciplinaire reçoivent leur nourriture mélangée dans un pain de maïs cuit au four. Ce pain est servi aux prisonniers de niveaux 2 et 3. Quelquefois, si ce n'est la plupart du temps, la nourriture en pain est en fait meilleure que les plats servis normalement. Il n'y a aucun contact humain, la seule forme de contact c'est quand nous sommes menottés par les gardes. Les diacres et chapelains doivent rester loin des portes sous peine de risquer de ne plus avoir le droit d'aller et venir dans le couloir pour prêcher. Le programme d'activités du couloir (de la mort) prévoit un office religieux - il n'y en a pas. Nous devrions avoir un programme de travail : nous n'en avons pas. Nous avons doit à une heure de sortie par jour, une douche et un peu de nourriture que nous pouvons cantiner (il faut appeler le commissaire) : ça c'est effectif- Et lire, écrire, dessiner, chanter, faire de l'exercice et hurler pour parler avec les autres. C'est l'isolation complète. Nous avons droit à une visite de 2 heures par semaine en niveau 1, par l'intermédiaire d'un téléphone qui enregistre tout et au travers d'une vitre à l'épreuve des balles - deux heures. Il n'est pas permis de toucher quelqu'un, on peut juste sentir le parfum des dames, entendre un rire, etc. C'est tout à fait désincarné et inhumain. Les prisonniers de niveau 2 ont droit à 2 visites de 2 heures par mois. Les malheureux du niveau 3 (régime disciplinaire) ont 2 heures de visite par mois. Vous avez droit jusqu' à 10 personnes sur votre liste, et seulement 2 personnes à la fois par visite hebdomadaire. Tous les aliments vendus pendant la visite sont surfacturés : par exemple un sandwich normal est à 3 dollars, une canette de soda est à 0,85 . Les visiteurs ne peuvent pas toucher la moindre nourriture qui vous est destinée, les gardiens doivent surveiller et assister les visiteurs qui achètent quelque chose à ces distributeurs hors de prix. Une seule fois par visite ; si vous oubliez une boisson, vous ne pourrez pas la prendre ensuite. On nous ignore souvent lorsque nous appelons un gardien, nous sommes traités comme des sous hommes et on nous fait attendre pour les repas, pour la douche, la récréation, tout est limité en temps à partir du moment où vous attendez le gardien. Le secteur de jour est insalubre, sans équipement, sans plateau de jeux, ni télé, rien. Le plus souvent, les hommes sortent et marchent autour de la zone, laissant leur esprit vagabonder. La cellule n'est pas mieux : c'est dégradant, déshumanisant, humiliant, un véritable traitement inhumain. L'isolation provoque une forme de désordre mental et des problèmes de santé liés au stress. Les gens luttent, discutent, deviennent parano et se replient. Certains essaient de se tuer, d'autres abandonnent leurs appels préférant mourir plutôt qu'endurer cette lente torture. Le support et le contact extérieur sont ce qui aide le mieux à survivre ici. La vie quotidienne est une épreuve pour l'esprit, la spiritualité, pour le tréfonds de l'âme. Tristesse, dépression, perte du sentiment d'espoir, désespérance constituent le quotidien de tous ici."

Steve Edward Roach

Steve Edward Roach, 23 ans, a été exécuté par injection mortelle pour un crime qu'il avait commis à l'âge de 17 ans. En 1995, il avait été condamné à mort pour avoir tué en 1993 sa voisine Mary Ann Hughes, âgée de 70 ans. Le gouverneur de l'Etat de Virginie, Jim Gilmore, avait rejeté une heure avant l'exécution la demande de grâce de Steve Roach. Après l'exécution, l'avocat de Roach a communiqué une déclaration de son client dans laquelle celui-ci disait que la principale leçon qu'il voulait que l'on retienne de sa mort, c'est que celle-ci n'avait aucun sens : "Tuer des enfants n'a aucun sens, et cela doit être arrêté". Voici un cas parmi des milliers. Cette personne à donc été condamnée à mort en 1995 après un procès qui dura six ans. Se retrouver dans un couloir en sachant qu'il débouche dans une salle ou l'atmosphère à la fois silencieuse et terrorisante cache une machine de mise à mort est manifestement désagréable. Etre condamné à mort en apercevant l'engin sur lequel vous subirez votre peine est plutôt horrible ; mais ce qui rend cette vision encore plus intolérable est la durée pendant laquelle un prisonnier la perçoit et la côtoie de si près. Lorsqu'une personne, partie à un procès, conteste la décision du tribunal , elle peut faire appel à un autre tribunal (une juridiction d'appel qui réexamine le cas) cette voie de recours est utilisée abondamment aux Etats-Unis, il est vrai que cela peut être une chance pour le condamné, mais la plupart du temps elle ne fait que proroger inutilement la date de son exécution en lui donnant de faux espoirs dans la mesure ou les appels sont très souvent rejetés. Il faut savoir qu'aux Etats-Unis entre l'année 1997 et le 31 décembre 1999, 598 condamnés à mort ont été exécutés, mais à quel prix, après combien d'années d'attente entre la date de chacun des crimes et la date de chacun des jugements. Le fameux DEATH ROW (couloir de la mort) détenait encore 3565 condamnés à mort au premier avril 1999. Mais ce qui est terrible est l'âge des condamnés à l'exécution, les plus jeunes ont environ 25 ans, cela peut paraître anodin mais cela l'est moins lorsque l'on examine la durée d'attente entre l'âge au moment du crime et l'âge au moment de l'exécution. On se rend alors compte que des adolescents d'environ 16/17 ans ont commis des crimes et qu'ils ont parfois attendu jusqu'à 21 ans (pour le cas de Joseph Canon exécuté au Texas, le 22 avril 1998) avant le jour de leur exécution.

Motifs s'exécutions

  • Atteinte à la paix intérieure (attentat visant à répandre le massacre et la dévastation, organisation et commandement de bandes armées) Participation à un mouvement insurrectionnel
  • Crimes contre les personnes : coups et blessures contre des magistrats et agents de la fonction publique, assassinats, parricides, empoisonnements, infanticide, crimes avec torture ou acte de barbarie, castration ayant entraîné la mort dans un délai de 40 jours, enlèvement d'un mineur de moins de quinze ans ayant entraîné sa mort, faux témoignages ayant entraîné une condamnation à mort
  • Désertion avec vol de munitions
  • Complot avec présence de l'ennemi
  • Mutilation volontaire en présence de l'ennemi
  • Capitulation contraire à l'honneur, trahison, complot militaire, mutinerie, révolte...
  • Déraillement de train ayant entraîné la mort
  • Vol, perte, échouement de navire
  • Empoisonnement des eaux et denrées consommables, aspersion ou utilisation de substances nocives susceptibles de donner la mort
  • Hérésie
  • Avortement
  • Trafic de stupéfiants .
  • Homicide volontaire
  • L'adultère
  • La prostitution .
  • Tenue de maison de tolérance et projection de films pornographiques
  • Détournements de fonds publics
  • L'enlèvement de personnes .
  • Le viol
  • Le vol "simple" et vol à main armée
  • Délit d'opinion (politique)

En cours de français, j'ai répertorié tous les motifs s'exécutions existant dans le monde mais chaque pays à ses motifs, il varient en fonctions des lois et de la justice.

Loi de 1981 sur l'abolition de la peine de mort (extrait)

Abolition de la peine de mort

9 octobre 1981


Article premier La peine de mort est abolie. Art. 2 La loi portant réforme du code pénal déterminera en outre l'adaptation des règles d'exécution des peines rendue nécessaire pour l'application de la présente loi. Art. 3 Dans tous les textes en vigueur prévoyant que la peine de mort est encourue, la référence à cette peine est remplacée par la référence à la réclusion criminelle à perpétuité ou à la détention criminelle à perpétuité suivant la nature du crime concerné. [...] Art. 9 Les condamnations à la peine de mort prononcées après le 1er novembre 1980 seront converties de plein droit suivant la nature du crime concerné en condamnations à la réclusion criminelle à perpétuité ou en condamnations à la détention criminelle à perpétuité. Lorsqu'une condamnation a fait l'objet d'un pourvoi en cassation, les dispositions de l'alinéa précédent ne sont applicables qu'en cas de désistement ou de rejet du pourvoi.

Conclusion

Ce sont souvent les pays qui se disent les plus modernisés qui utilisent encore la peine de mort (ou qui l'ont abolie que depuis peu). On peut alors se demander si l'homme a autant évolué qu'il le prétend . Tout comme ces ancêtres, ils règlent toujours ses problèmes de violence par la violence, boucle qui n'est pas encore prête à se fermer.

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Agathe

Professeur de langues dans le secondaire, je partage avec vous mes cours de linguistique !