Au coeur du XIXème siècle se fait jour un grand mouvement artistique, à la suite du romantisme du début de siècle : le réalisme. Le mot « Réalisme» apparaît avant 1850 mais son usage se développe surtout après cette date. Il est d'abord utilisé pour caractériser la manière de peindre de Gustave Courbet lorsqu'il représente une scène de la vie quotidienne sans chercher à l'embellir. Ce courant se prolongera avec le naturalisme, qui tendra à s’imposer à partir des années 1860.

Réalisme et naturalisme exposent les préoccupations de leur temps : ils naissent dans un contexte socio-économique précis et ne peuvent s’analyser qu’à partir de ces données historiques. Parmi les plus notables, on note :

  • La révolution industrielle s’impose de partout : les paysans quittent les campagnes, le prolétariat se grossit d’un nombre d’ouvriers toujours grandissant
  • La lutte des classes se matérialise en même temps qu’elle se conceptualise : le prolétariat identifie la bourgeoisie comme ennemi
  • Les classes défavorisées souffrent du manque d’argent tandis que se créent d’immenses fortunes chez les bourgeois capitalistes
  • Les théories socialistes se développent
  • L’invention de la photographie, qui reproduit fidèlement le réel

En parallèle, la vision scientifique du monde prend de l’ampleur et devient majoritaire dans les esprits :

  • Le nombre de croyants baisse
  • La foi illimitée dans le progrès tend à devenir la nouvelle religion
  • Des découvertes scientifiques bouleversent la manière d’appréhender le monde : Darwin et l’évolution, le docteur Lucas et l’hérédité, Pasteur et le vaccin, William James et la psychologie…
  • Le matérialisme s’accentue
Comment définir le réalisme ?
Un enterrement à Ornans (1850), Paris, musée d'Orsay, Gustave Courbet
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C'est parti

Le réalisme ou comment concurrencer l’état civil

Présentation des enjeux

Le romantisme, qui parcourt toute la première moitié du XIXème siècle (avec Hugo et Musset pour chefs de file littéraires) privilégiait la nostalgie, entre regret du passé et désir d’un futur idéal. Le réalisme, quant à lui, veut s’ancrer dans le présent, et se donne pour but d’en exposer les problématiques sociales :

« Toute oeuvre d’art est comme une fenêtre ouverte sur la création : L’écran classique est une belle feuille de talc très pure. (…) Les images s’y dessinent nettement, au simple trait noir. (…)  L’écran romantique est une glace sans tain, claire, bien qu’un peu trouble en certains endroits, et colorée des sept nuances de l’arc-en-ciel. (…) L’écran réaliste est un simple verre à vitre, très mince, très clair, et qui a la prétention d’être si parfaitement transparent que les images le traversent et se reproduisent ensuite dans toute leur réalité. Cependant, il doit avoir en lui des propriétés particulières qui déforment les images, et qui, par conséquent, font de ces images des œuvres d’art. »

Emile Zola, Lettre à Valabrègue, 1864

La littérature, l’art en général, se veut être un témoin objectif de son temps. Les écrivains réalistes observent d’abord, décrivent ensuite, le monde auquel ils prennent part. Cette rigueur donne à voir un certain pessimiste, puisque le monde moderne et urbain est guidé par le principe de l’argent, les luttes entre pauvres et riches.

C’est ainsi que la bourgeoisie et le monde ouvrier rentrent en scène : il ne s’agit plus de traiter de motifs nobles, comme les épopées de héros ou les grandes histoires d’amour. Les héros sont des êtres banals, voire médiocres, qui vivent dans leur quotidien.

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Changement de hiérarchie littéraire

Le réalisme est en même temps l’époque de l’âge d’or du roman. Auparavant, le genre romanesque était sous-considéré, la poésie ou la tragédie primant dans la hiérarchie littéraire. Le romancier était un écrivain mineur ; désormais, le romancier est un personnage public, dont la parole est respectée.

Le réalisme en peinture

Notons enfin que le réalisme est un courant qui traverse aussi la peinture. De même qu’en littérature, les peintres s’attachent à figurer des sujets « vulgaires », c’est-à-dire venant du peuple. La ville, le travail des champs, la vie en usine, la mère au foyer deviennent des sujets à la mode.

On trouve parmi les meilleurs représentants : Gustave Courbet (1819-1877), Honoré Daumier (1808-1879) ou encore Jean-François Millet (1814-1875).

Principes littéraires du réalisme

Le réalisme veut d’abord s’éloigner des excès lyriques du romantisme.

Les auteurs se documentent beaucoup, comme nous le montre les Carnets d’Honorée de Balzac ou les lectures de traités d’archéologie par Gustave Flaubert, pour son roman Salammbô (1862). Ils utilisent un vocabulaire précis et technique, pour rendre au mieux l’idée de réalité à leurs lecteurs.

Les sujets privilégiés relèvent ainsi de la vie petite bourgeoise des petites villes en province, ou bien dans le monde ouvrier. Pour exemple, on peut citer Le père Goriot d’Honoré de Balzac, qui fait découvrir la vie des petites gens à Paris, en même temps que celle de bourgeois à l’aise financièrement.

Les personnages sont pensés comme archétypiques : ils ont une identité précise, avec une histoire familiale, qui les définissent socialement. Ainsi, le personnage de Rastignac, de La Comédie Humaine, par Balzac, est un provincial arriviste.

Qui est Eugène de Rastignac, le héros du Père Goriot ?
Représentation du jeune Rastignac, galvanisé par l'envie de réussite et l'ambition.

La narration est faite à la troisième personne avec une focalisation zéro : le point de vue omniscient, par lequel le narrateur sait tout de ses personnages, aide à rendre objective l’histoire racontée. Pour autant, le narrateur peut intervenir parfois dans son récit, ce qui crée une complicité avec son lecteur.

La description a la plupart du temps une fonction symbolique. Balzac l’utilise ainsi pour montrer l’influence de l’environnement sur les traits de personnalité. Exemple ici avec un extrait du Père Goriot, avec Madame Vauquer et sa pension :

Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d'église, son corsage trop plein et qui flotte, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur, où s'est blottie la spéculation et dont madame Vauquer respire l'air chaudement fétide sans en être écoeurée. Sa figure fraîche comme une première gelée d'automne, ses yeux ridés, dont l'expression passe du sourire prescrit aux danseuses à l'amer renfrognement de l'escompteur, enfin toute sa personne explique la pension, comme la pension implique sa personne.

Une certaine illusion

Malgré toute l’ambition réaliste du romancier réaliste, le réalisme demeure une illusion, puisqu’une œuvre naît de l’esprit, de la vision de son créateur : « la reproduction de la nature par l’homme ne sera jamais une reproduction, une imitation, ce sera toujours une interprétation » (Champfleury, Le Réalisme, 1857).

Le romancier engage une tentative d’exprimer la réalité contemporaine, par opposition aux œuvres idéalistes, où la vie est décrite telle qu’elle devrait être, non pas telle qu’elle est. En ce sens, la tonalité des œuvres réalistes est plutôt pessimiste, parce qu’elle veut faire prendre conscience au lecteur des injustices de la société. En ce sens, le réalisme est une littérature engagée.

Maupassant modère ainsi les velléités d’exactitude que voulaient se donner les écrivains réalistes :

« Le réaliste, s’il est artiste, cherchera non pas à nous montrer la photographie banale de la vie, mais à nous en donner la vision plus complète et plus saisissante, plus probante que la réalité même. (…) Voilà pourquoi l’artiste ayant choisi son thème ne prendra dans cette vie encombrée de hasards et de futilités que les détails caractéristiques utiles à son sujet et il rejettera tout le reste, tout l’a côté. Faire vrai consiste donc à donner l’illusion complète du vrai, suivant la logique des faits, et non à les transcrire dans le pêle-mêle de leur succession.»

Préface de Pierre et Jean, 1887, Guy de Maupassant

Grands noms du réalisme en littérature

Honoré de Balzac (1799-1850)

Honoré de Balzac est un écrivain furieux. En 51 ans, il a produit plus de 100 romans et créer 2500 personnages.

Il a voulu « faire concurrence à l’état-civil » en écrivant son œuvre-monde, La Comédie humaine, vaste ensemble de romans et de nouvelles où existe un véritable monde.

Ses romans les plus connus sont La Peau de chagrin (1831), Le Lys dans la Vallée (1836) et Le Père Goriot (1842).

Comment lire les écrits d'Honoré de Balzac ?
« Balzac, c’est vous, c’est moi. En Balzac, je m’instruis beaucoup, non pas dans le vocabulaire des idées, mais dans celui des choses. » - Alain (philosophe) (source : France Culture)

Gustave Flaubert (1821-1880)

Flaubert est un autre monument de la littérature française. Il s’est dévoué à son œuvre, mythique en bien des endroits. Il voulait toujours obtenir la phrase parfaite, pour provoquer le meilleur effet.

Ses romans sont tous fameux, de Madame Bovary (1857) à Bouvard et Pécuchet (1881) en passant par L’éducation sentimentale (1867).

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Guy de Maupassant (1850-1893)

Maupassant adora la vie, autant physiquement que spirituellement. Auteur émule de Flaubert et de Zola, il s’imposa comme un nouvelliste hors pair. Ses nouvelles mettent en scène des personnages réalisant leurs illusions amoureuses ou existentielles.

Il fut également l’auteur de quelques romans, dont Bel-Ami (1885) et Pierre et Jean (1887), pour lequel il écrit une préface où il expose sa vision de la littérature réaliste.

Le naturalisme ou la science en littérature

Émile Zola prolongera le réalisme en théorisant le naturalisme, courant dont il sera le chef de file. L’écrivain se donne pour but d’être pareil, avec son roman, au scientifique expérimentant dans son laboratoire.

Un écrivain laborantin

La formule « écrivains naturalistes » nous vient d'Emile Zola qui l'utilise dans la préface de son roman, Thérèse Raquin, en 1867. Plus tard, il développe sa vision :

Toute l'opération consiste à prendre les faits dans la nature, puis à étudier le mécanisme des faits, en agissant sur eux par les modifications des circonstances des milieux, sans jamais s'écarter des lois de la nature. Au bout, il y a la connaissance de l'homme, la connaissance scientifique, dans son action individuelle et sociale.

Emile Zola, Le Roman expérimental, 1880

Le naturalisme a pour principe de faire du romancier un observateur du réel et un expérimentateur, au travers de ses romans. Il devient, sous cet aspect, un scientifique souhaitant retranscrire la réalité avec exactitude, dépréciant ainsi l'imagination au profit du réalisme.

Eh bien ! en revenant au roman, nous voyons également que le romancier est fait d'un observateur et d'un expérimentateur. L'observateur chez lui donne les faits tels qu'il les a observés, pose le point de départ, établit le terrain solide sur lequel vont marcher les personnages et se développer les phénomènes. Puis, l'expérimentateur paraît et institue l'expérience, je veux dire fait mouvoir les personnages dans une histoire particulière, pour y montrer que la succession des faits y sera telle que l'exige le déterminisme des phénomènes mis à l'étude. C'est presque toujours ici une expérience « pour voir » comme l'appelle Claude Bernard. Le romancier part à la recherche d'une vérité.

Emile Zola, Le Roman expérimental, 1880

Qu'a écrit Emile Zola ?
Portrait d'Emile Zola, chef de file du mouvement naturaliste.

Les thématiques du naturalisme

Le corps y prend beaucoup d'importance à travers la peinture de la sexualité ou de la maladie (hérédité biologique chez Zola).

Alors que pour Balzac l'individu exceptionnel avait un rôle décisif pour l'ordre social, les naturalistes s'attachent à décrire les mécanismes sociaux dans lesquels les individus sont pris : cette vision coïncide avec l'expansion du capitalisme dans la deuxième moitié du XIXème siècle.

Le travail précaire

Le travail, et notamment le travail des plus précaires, est ainsi au centre de leurs préoccupations. Par exemple, dans Germinie Lacerteux, publié en 1865, les frères Goncourt dénoncent les conditions de travail de la domestique éponyme. Emile Zola, dans Germinal (1885), expose à la vue de tous les conditions de travail inhumaines des miniers du nord.

Par leurs écrits, les naturalistes entendent donner une voix aux plus faibles, témoigner de la férocité du commerce. Le naturalisme a ainsi quelque chose d'engagé.

L'avénement du capitalisme

Dans la même lignée, les naturalistes aiment à représenter les changements sociaux provoqués par le faste du capitalisme. Dans Au bonheur des dames (1883), Emile Zola présente par exemple le développement d'un grand magasin, commerce typique de la fin du XIXème siècle, et qui incarne au mieux les valeurs capitalistes toujours plus omniprésentes.

Les moeurs sociales et la violence

Les addictions, la violence humaine ou encore l'adultère sont des thèmes récurrents dans les romans naturalistes.

On trouve par exemple dans Une Vie, de Guy de Maupassant (1883), l'exemple d'une jeune femme rêveuse et romantique qui souffrira des adultères répétés de son mari, un homme violent et avare. L'hérédité est un point central ici aussi, puisque Jeanne reproduit l'attitude de sa propre mère, qui était elle-même idéaliste et soumise.

Les procédés d’écriture du naturalisme

Le naturalisme, puisqu'il vise à décrire la réalité, multiplie les descriptions et les détails vraisemblables. Le langage populaire y tient également une place importante, tout comme le langage technique, puisqu'il représente un certain état des lieux scientifique et industriel.

Il y a cependant, chez Zola, une certaine tendance à la tonalité épique et lyrique, pour créer des mythes réalistes.

Huysmans, dans La Retraite de Monsieur Bougran (1864) met ainsi en scène un vieux fonctionnaire à la retraite. C'est l'occasion pour l'écrivain d'intégrer le vocabulaire administratif de l'époque :

Ah ! cette lange administrative qu'il fallait soigner ! Ces « exciper de », ces « En réponse à la lettre que avez bien voulu m'adresser, j'ai l'honneur de vous faire connaître que », ces « Conformément à l'avis exprimé dans votre dépêche relative à ... »

On trouve en outre :

  • la focalisation externe (pas de narrateur-personnage)
  • le discours indirect libre, pour exposer les tergiversations de la conscience

Les écrivains naturalistes

Emile Zola, le père du naturalisme

Emile Zola est évidemment le chef de file du courant naturaliste. C'est lui qui l'a théorisé et imposé dès les années 1860, avec la publication de Thérèse Raquin (1867).

Son oeuvre-monde, Les Rougon-Macquart, est une exposition exhaustive des enjeux naturalistes. C'est une fresque sociale et historique faite de vingt romans, qui se donne pour objectif d'étudier les tares héréditaires de ses personnages sur plusieurs générations.

Ainsi, Gervaise, lingère de L'Assommoir (1877), est condamnée à l'alcoolisme et à la misère, tout comme l'était son père, Antoine Macquart, avant elle, dont l'histoire est contée dans La Fortune des Rougon (1871).

Joris-Karl Huysmans

Huysmans est d'abord très actif au sein du mouvement naturaliste. Ecrivain réputé pessimiste, il met souvent en scène des personnages enfermés dans la solitude et l'ennui (voir notamment En ménage, 1881). Il voit dans le naturalisme l'occasion d'exposer la laide réalité de l'existence.

[...] nous sommes des hommes qui croyons qu'un écrivain aussi bien qu'un peintre doit être de son temps, nous sommes des artistes assoiffés de modernité, nous voulons l'enterrement des romans de cape et d'épée, [...] nous allons à la rue, à la rue vivante et grouillante, aux chambres d'hôtels aussi bien qu'aux palais, aux terrains vagues aussi bien qu'aux forêts vantées ; nous voulons essayer de ne pas faire comme les romantiques des fantoches plus beaux que nature, remontés, toutes les quatre pages [...] nous voulons les faire agir, dans un milieu observé et rendu avec un soin minutieux de détails, nous voulons démonter, si faire se peut, le mécanismes de leurs vertus et de leurs vices, disséquer l'amour, l'indifférence ou la haine qui résulteront du frottement passager ou continu de ces deux êtres ; nous sommes les montreurs, tristes ou gais, des bêtes !

Joseph-Karl Huysmans, « En marge »

Résumé en tableau des deux courants

 Réalisme (1830-1880)Naturalisme (1870-1890)
ObjectifsRejeter l'idéalisation de la réalité
Donner à voir la réalité
Représenter toute la société dans sa diversité
Principes du réalisme
Appui sur les recherches scientifiques
Montrer le rôle de l'hérédité
Importance du milieu social
Dénoncer les vices de la société
Thèmes essentielsL'ascension sociale et la chute
La puissance de l'argent
L'amour et le désenchantement
La puissance des pulsions
La lutte pour la vie
Les mutations du monde moderne
ProcédésImportance du détail
Point de vue interne
Expansion de la description
Langage familier
Discours direct ou indirect libre
Insertion de documents
Procédés du réalisme, mais amplifiés
Le registre épique
Le vocabulaire technique
Ecrivains principauxHonoré de Balzac, Gustave Flaubert, Stendhal, Guy de MaupassantEmile Zola (principalement), les Frères Goncourt, Huysmans, Guy de Maupassant

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Nathan

Ancien étudiant de classe préparatoire b/l (que je recommande à tous les élèves avides de savoir, qui nous lisent ici) et passionné par la littérature, me voilà maintenant auto-entrepreneur pour mêler des activités professionnelles concrètes au sein du monde de l'entreprise, et étudiant en Master de Littératures Comparées pour garder les pieds dans le rêve des mots.