Ceci est la biographie d'un personnage fictif,

mais les dates et les faits cités sont pour la plupart réels.

Pour ceux qui voudraient en savoir plus long sur moi, je m’appelle Eddy Delarche (« Ed » pour les intimes), je suis né à Manchester le 9 avril 1920 dans une famille catholique d’origine française de cinq enfants dont j’étais l’aîné. J’étais grand, brun avec un visage clairsemé de taches de rousseurs. J’étais un élève moyen avec des notes moyennes. Mes capacités intellectuelles m’auraient permis de brier mais pour ne pas m’attirer d’ennuis j’avais décidé d’être le plus moyen possible. Ma famille quant a elle était a mon grand damne était une famille de militaire ou, par tradition, l’aîné de chaque génération s’enrôlait dans l’armée. Ma famille avait donc beaucoup souffert de la grande guerre ou mon père avait perdu la vie. J’ais donc du aidé ma mère à élever mes quatre frères et sœurs. A partir de quinze ans j’ai du me mettre a travailler car les maigres revenus de ma mère n’arrivaient plus à subvenir à nos besoins, je m’engageas donc dans une modeste serrurerie de Manchester. Mais passons tout ça, maintenant je suis vieux et ais fait mon temps sur cette terre. Avant que la grande faucheuse ne vienne me prendre, j’ais décidé de raconté ce qui fut mon épopée de la seconde guerre mondiale. J’espère donc que mes dernières paroles à propos de cette sanglante guerre où périrent tant de mes camarades relateront bien les fait. Voila mon histoire :

1 septembre 1939 : Ce jour là, suite a l’invasion de la Pologne (qui constituai une énième violation du traité de Versailles), la France et le Royaume-Uni déclarent enfin la guerre à l’Allemagne. Pour moi qui après maintes petits boulots dans Manchester, je réussi a économisé assez pour me payé des études de journalisme. Ayant donc bien assisté a la montée au pouvoir d’Hitler, et au atrocités commises en Espagne avec l’aide des allemands, je mettait un point d’honneur a lutté contre la tyrannie du nazisme. Vu les antécédents de ma famille, je n’avais d’autre choix que de m’enrôler dans l’armée. Mon choix ce posa sur la Royale Air Force (R.A.F.). Après avoir rédigé mon testament (on ne sait jamais surtout dans le cas présent), reçu une rapide formation et un adieu a ma famille, j’était fin prêt a combattre !

28 septembre1939 : Ce jour là, la R.A.F. me confia ma toute première mission : à bord d’un Hawker Hurricane truffés d’appareils photos, je devais survoler un poste avancé allemand situé en Belgique, tout en le photographiant. Je devais décoller le 2 octobre  d’une base située à l’est de Londres.

2 octobre1939 : Ce jour là était terne, morne et gris ; et c’est sous un temps a ne pas mettre un chien dehors que, je décollais les mains moites vers 5 heures de l’après-midi, pour survoler la base vers 9 heures du soir. Une fois la base en vue j’activais les appareils photos .Des projecteurs balayaient le ciel. J’évitais ces longs rayons de lumières. Après trois ou quatre tours au dessus de la base, je fis demi tour et rentrai à la base. J’arrivai le lendemain après-midi à la base après un ravitaillement dans une base belge. Mission réussi et sans encombres

30 novembre1939 : Profitant de leur pacte de non agression avec l’Allemagne, les forces de l’Union Soviétique envahissent la Finlande.

15 mars1940 : Je décollais avec mon escadrille pou escorter des bombardiers, au bout de trois heures de vols sans ennuis, des chasseurs allemands chargés de nous intercepter nous barraient la route. Notre chef d’escadrille nous donna l’ordre d’attaque par radio : frissons et sueurs froides se mêlaient dans mon dos:mon premier combat. Allais-je en réchappé, le futur m’apprendra que oui : les avions allemands mirent un certain temps à réagir : nous ouvrirent le feu le premiers, les mitrailleuse crépitait, le ciel ce colorait du gris et noir des fumées d’appareils touché. Mais, furieux, les allemands ripostèrent de plus belle en montant en chandelles au dessus de nous et redescendre en piqué tout en activant leurs mitrailleuses. Le combat fut long et pénible mais également magique et intemporel. Je ne vous raconte pas la suite de ce combat car croyez moi ce fut une sacrée boucheries : cinq des nôtres perdirent la vie ainsi que sept pilotes allemands. Mais l’opération fut quand même considérée comme un succès. Une fois a la base on me félicita pour ma première victoire (j’avais en effet abattu mon premier allemand). J’étais donc désormais un « tueur d’allemand ». Malgré ce « titre », je n’arrivais pas à effacer de ma tête les images de mes camarades se débattant dans leurs cockpits en flammes ou encore à cette allemand dont j’avais criblé le corps de balles de 7,7 mm.

Avril 1940 :L’Allemagne envahit la France, mes missions d’escorte de bombardiers au dessus de la France s’accroissaient de jour en jour.

26 mai1940 : Début de la bataille de Dunkerque, nom de code : « opération DYNAMO ». Cette opérations consistait a évacuée les troupes françaises et britannique, en déroute face à l’écrasante avancée allemande, jusqu’en Angleterre. Mes missions consistaient donc à couvrir ce repli de toutes attaques aériennes allemandes.

10 juin1940 : La France et la grande Bretagne déclarent la guerre à l’Italie allié de l’Allemagne

21 juin 1940 : La France cesse tout combat et capitule face a la déferlante allemande. La France perd donc le contrôle de toute la partie nord de la France ainsi donc que Paris. Le gouvernement lui dirigé par le maréchal Philipe Pétain, vainqueur de Verdun, siège en zone libre à Vichy.

Juin 1940 : La bataille d’Angleterre commence mon escadrille y est rapidement sollicitée, les raids allemands sont de plus en plus nombreux au dessus des côtes anglaises. Des bombardiers Dornier et des Messerschmitt sont nos cibles les plus courantes .Les pertes sont lourdes des deux côtés. Après de nombreuses victoires pendant la batille, la R.A.F me confia une mission: décollé de Londres en escortant un seul bombardier et bombarder de nuit un des principale ports allemand situé en France ou attendais des navires pour envahir l’Angleterre. Je serais accompagné de deux autres chasseurs pour accomplir cette mission. Cette mission était néanmoins très délicate mais quand même, que d’honneur : c’était la première mission ou je commandais, ou je donnais les ordre.

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30juin 1940 : Je décollai au crépuscule pour effectué ma mission de bombardement tout est normal nous avions vérifier tous les appareils et n’avons décelés aucune anomalies. Le vol ce passa dans le plus grand calme jusqu'à ce que nous arrivions à Dunkerque et que  la flotte fut en vue, les D.C.A. se mirent à tirée tous ce qu’elles pouvaient  tirée mais trop tard, les engins de mort contenues dans nos appareils avait déjà accompli leur missions destructrices et la flotte disparaissait dans les sombres eaux bouillonnantes du port avec un grand fracas. Puis nous rentrâmes à la base. C’est à la suite de cette missions que je fus nommé caporal !

Juillet 1940- Mai 1941 : Durant cette période, les combats aériens au dessus du ciel anglais firent rage opposant la Lutwaffe  de Goering à la R.A.F. de Dowding ou près de 2400 appareils des deux camps furent détruis (ce qui laissais imaginé le nombre de mort), ainsi que plus de 27400 civils tués dans les bombardement. Pour ma part, les combats étaient aussi durent et sanglants qu’ailleurs, mais je finis tout de même la bataille d’Angleterre vivant et au grade de sergent chef, ainsi que neufs appareils allemands au compteur.

4 mars 1941 : Une nouvelle mission me fut confier dans l’urgence ce  jour la : un de nos navire croisant au large des îles Shetland avait repéré trois U-Boots naviguant en direction de l’Angleterre. Ma mission : les coulés corps et biens le plus vite possible. Je décolla donc dans l’après midi à bord d’un bombardier léger monoplace accompagné de trois autre avions du même type. Nous atterrissons à   Glasgow. Puis, après un rapide mais nécessaire ravitaillement, nous décollions pour envoyer définitivement ces U-Boots par le fond. Direction la mer de Norvège ou notre objectif naviguait tranquillement en direction de l’Angleterre pou je ne savais quelle mission. Nous apercevions les sous marins ennemis vers 19h30 heure anglaise. Je contactait les ordres d’attaque à mes hommes, puis nous avons plongé vers la cible, et avons lâché une première salve de torpille, puis nous avons fait demi tour et, avons lâchés nos dernières torpilles, ce qui finit d’achever les sous marins. Missions accomplie avec succès, il ne nous restait plus qu’à rentrer tranquillement a la base. Mais ce que je ne savais pas c’était que le destin nous avait réservé encore une surprise ! En effet, a peine les cotes britanniques furent en vu que dix chasseurs allemands fondent sur nous a la vitesse de l’éclair. Mais à trois contres dix, que pouvions nous espéré. Après quelque acrobaties magnifiquement réalisées je réussis a abattre un avions et donc à accroché une dixième à mon tableau de chasse, mais a trois contre neuf, il s’agissait toujours de folie que de lutter ! J’ordonna donc à mes hommes de sauter en parachute au dessus des inhospitalières terres écossaises. Je réussis a sauter, mais mes deux camarades eurent moins de chance que moi et se firent abattre avant d’avoir pus sauter. Je fut récupérer par un paysan local ayant assisté a mon combat et m’ayant vu sauté. Je pu me reposer deux jours chez lui avant qu’il ne m’emmène a Edinburgh ou je pris un avions pour rejoindre ma base située au nord ouest de Londres.

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15 juin 1941 : N’ayant plus d’escadrille je me fis muté au proche orient pour aider la légion étrangère française dans sa lutte contre l’Afrikakorps. Les avions moins perfectionner qu’en Angleterre était un espèce d’handicap pour moi qui était un habitué du matériel perfectionné anglais : je volais certaines fois sur de vieux biplans en bois comme le Gloster Gladiator. Le danger cette fois ci venait surtout du sol ou, les italiens et allemands menaient une résistance acharné contre les troupes anglo-américaines ainsi que contre les avions.

22 juin 1941 : Hitler convoitant le pétrole de la région envoie  À son tour des troupes en Syrie.

12 juillet 1941 : je participait a la prise de Damas qui ne fus pas facile, car les germano‑italiens défendirent chèrement la place.

8 décembre 1941 : A la suite de la traite et sanglante attaque de  Pearl-Harbour contre l’U.S. Navy américaine, les Etats-Unis ainsi que les  britanniques déclarent la guerre à l’Empire Japonais.

11 décembre 1941 : L’Allemagne déclare à leur tour la guerre aux Etats-Unis (l’Allemagne est alliée au japonais, je précise pour les incultes et autres ignorants n’ayant pas suivis cette guerre).

Août  1942 : Je ne combattis que dans de petites batailles, mais par la suite, j’appris que nos supérieurs organisent un débarquement en Italie.

Octobre 1942 : Je participe à la bataille d’El‑Alamein, ou attaques et contres attaques se succèdent de la part des deux camps. Les missions qui me furent confiées étaient divers et variés: Largages de troupes, bombardements de positions retranchés, soutien aérien et, missions d’observations. C’est a la suite de cette bataille que j’obtenu mes galons de lieutenant !

12 mai 1943 : C’est la victoire en Afrique du nord, les troupes allemandes présentent en Afrique du Nord se rendent. Nous allons y arriver, je le pense vraiment, après la libération de l’Afrique pourquoi pas L’Europe puis la victoire face aux nazis et la fin de ces tueries sans noms !

Juillet 1943 : Le débarquement en Italie et en Sicile a commencé, pour ma part je dois parachuter des hommes et du matériel au dessus de la Calabre pour aider les hommes venant de débarquer à avancé dans les terres.

5 juillet 1943 : Je survole la péninsule italienne : c’est un carnage au sol, des brasiers sont allumés un peu partout, les belles terres d’Italie sont criblé de cratères causés par les explosions, les obus de D.C.A. fusent de partout et au moment ou les hommes commencent a sauter, des coups de feu sont tirés dans ma direction : aucun doute la dessus se sont les D.C.A italienne qui me canardent. Horreur, je suis touché ; sans hésité un instant je m’empare d’une mitraillette et d’un révolver et enfin, je saute dans le vide après le dernier des parachutistes. A peine arrivée au sol, que les coups de feu retentissent dans un vacarme assourdissant. J’aperçois une D.C.A. en plein tir, je dégaine mon revolver et fait feu sur le servant de tir puis sur le tireur lui-même et enfin sur les deux soldats Italiens faisant feu  sur une unité anglaise. Tous tombent raide morts. Après des heures de combats  sous la pluie un périmètre est sécurisé. J’y rejoins l’unité que j’avais larguée. Je leur explique ma situation et il me proposent de rester avec eux jusqu’à ce qu’un avion puisse me ramener dans mon élément : Le CIEL !!!

7 juillet 1943 : Les combats se succédèrent tout le long du trajet, les hommes tombent peu à peu sous les balles, les obus, les maladies ou encore la fatigue, mais ils résistent et progresse toujours et encore

plus loin dans les terres.

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25 juillet 1943 : Le dictateur Italien Benito Mussolini est renversé par le Grand conseil du fascisme qui donne les pleins pouvoirs au roi Victor Emmanuel III, le Duce est emprisonné, mais il est libéré par un commando SS. Mais il sera reconnu dans sa fuite vers la Suisse et exécuté par la population.

3 septembre 1943 : Victoire, j’apprends que  l’Italie capitule, mais malheureusement, les allemands ne l’entendent pas ainsi et continuent les combats en Italie.

6 juin 1944: À l’aube et tout cela malgré un Océan Atlantique démonté, les troupes américaines, britanniques et canadiennes débarquent sur les plages normandes. Bien qu’écrasés par un feu d’enfer les GI’s américains débarquent sur Utah et Omaha beach ; les anglais débarquent sur Gold et Sword ou quelque français débarquèrent également. Et les canadiens débarquèrent eux sur Juno. Les pertes sont lourdes, mais le débarquement en Normandie a réussi et les troupes anglo-américaines contrôlent désormais un petit bout de la France, mais les allemands opposent tout de même une résistance hors du commun ! Il faut ajouter à cela que le bocage normand ne facilite pas les choses.

15 juin 1944 : Le débarquement en Provence débute, aux commandes d’un bombardier je sers d’appui aérien aux fantassins. Après la libération de Marseille quelques jours plus tard je file à pied au milieu des champs d’oliviers et de lavandes aux odeurs enivrantes, en compagnie de la légion étrangère qui a pour mission de libéré la ville d’Aix-en-provence.

25 juillet 1944 : Les troupes alliées ayant débarquées en Normandie marchent vers Paris en écrasant la résistance allemande sur leurs passages. Mais les combats continus dans le nord et l’est de la France. Pour ma part on m’a ordonné d’attaquer les convois allemands en déroute. Les chars allemands ne roulaient que la nuit pour éviter les bombardements aériens. Mes attaques se déroulaient donc en général de nuit.

30 juillet 1944 : Ce soir là,  ma mission consistait à détruire une patrouille de chars allemands en fuite vers le nord. Ils étaient basés dans une petite forêt à l’abri des regards indiscret. A vingt heures trente quatre mes moteurs vrombissaient et je décollais.  Deux heures de vol plus tard, j’atteignais enfin ma cible et observais le site : trois grande colline au nord, une rivière coulait paisiblement au sud-ouest ; je distingua enfin les chars. Les soldats allemands avaient allumé un feu mais ils ne m’avaient pas encore repéré. Je descendis en altitude pour mieux distinguer l’endroit ou je devais lâcher mon chargement meurtrier quand soudain une rafale de balle transperçât mon aile droite ! Je repris alors de l’altitude mais les tirs allemands redoublaient et dans un dernier espoir je lâchai mon chargement explosif. Je ratai ma cible au moment ou mon avion partit en piquer ! A ce moment là, je sautais en parachute de mon appareil en flamme. Grâce à un bon vent d’ouest je touchais terre à quelque trois kilomètres et demi des allemands. Je n’avais pour seule arme qu’un Colt a six coups et un poignard, ramené d’une de mes nombreuses aventures africaines, et de mon atout principal ma ruse de renard et ma chance de cocu. Je trouvais refuge pour la nuit dans la grange d’un petit village abandonné à trois cents mètres de là.

31 juillet 1944 : Le lendemain matin, en me réveillant, j’évaluais l’heure grâce a la position du soleil, je trouvais à peu près dix heures. Je déjeunais grâce à la ration de survie dont était muni chaque soldat et lui permettait de tenir quarante huit heures. Mon « déjeuner » fini j’entrepris d’explorer le village. Il était composer de trois maisons (du moins ce qu’il en restait) et d’une ferme (celle ou j’avais passé la nuit). Les environs n’étaient que collines et prairies. J’édifiais mon campement de fortune et m’endormit.

1er août 1944 : Ce fut une bien pluvieuse froide matinée d’août. Le froid m’engourdissait lentement quand des bruit de pas dans la boue me tirèrent de mes pensées. Je sortit prudemment la tête de ma cachette et je pu apperçevoir des silhouette à la vague forme humaine. Mais je fus frappé de stupeur lorsque je reconnus de machiavéliques voix allemande. J’en dénombrais trois à la voix. Ma vision s’éclaircit et je compris qu’ils s’étaient séparés ; l’un d’entre eux se dirigeai dans ma direction. Je grimpais sur une poutre à demi pourrie et attendu. Lorsque le soldat arriva juste en dessous de moi, je dégainais mon poignard et sautais sur l’homme tout en lui enfonçant la lame dans le crâne. La mort lui fut rapide et indolore, mais mon uniforme éclaboussé de sang, j’essuyais précautionneusement la lame du poignard et le rangeais dans sa gaine. Après se macabre désagrément, il me restait tout de même deux Fritzs à abattre. Je récupérais les armes du premier qui me semblait être une mitraillette, cela me serais sûrement très utile par la suite ; je trouvais également sur l’homme trois grenades et deux fumigènes.  Je partis à la recherche des deux autres allemands. Au bout de quelques minutes je les trouvais à l’angle d’un bâtiment défiguré par les impacts de balles, fumant une cigarette tout en attendant leur compagnon. Pour ces deux là ce ne fut pas dur : ni une ni deux, je bondis hors de ma cachette et leur expédiait une bonne rafale de mitraillette, le premier tomba net mais le deuxième réagis plus vite que prévu et m’envoyait deux balles dans l’épaule droite, heureusement pour moi, son pistolet s’enraya et se fut mon tour de tirer. Il tomba au sol telle une pierre. Je m’approchais pour bien vérifier s’ils avaient eu leurs comptes (ce qui me paraissait évident vu que le mur derrière eux était maculé de sang mais bon, on ne sais jamais). L’un deux était déjà partit pour le grand voyage : quatre balles en pleine tête dont une entre les deux yeux, les autre avaient littéralement explosé le crâne. Le second quant a lui était dans un sal état : sa jambe gauche était littéralement arraché par les balles et son ventre était percé de part et d’autre des côtes, mais il vivait encore et son corps était parcouru de spasmes. Je lui expédiais deux balles de mon colt dans la tête, ceci eu pour effet d’abrégeât ses souffrances (paix à leurs âmes).Mais a peine eus-je réalisé les horreurs que je venais de commettre que, je m’effondrais en pleurant, à près tout, ces gars était comme moi : ils obéissaient tout simplement au ordres ! Mais, je me requinquais en buvant une gorgée d’un alcool fameux trouvé sur l’un des soldats. Je disposais désormais d’un sacré arsenal : trois mitraillettes, deux pistolets semi-automatiques, huit grenades et trois fumigènes, un commando à moi tout seul. J’entreprenais ensuite de fouiller le village dans l’optique d’y trouver des survivant, mais en vain.

2 août1944 : Je passait une nuit pour le moins mouvementé hanté par l’image des deux allemand abattu dans l’après midi. A mon réveil j’avalai en vitesse de quoi tenir la journée puis me mis en route vers le campement allemand pour leur régler définitivement leurs comptes ! En route, je m’apercevais en me regardant dans une flaque d’eau que mon visage était maculé de sang, je me lavais donc hâtivement puis me remis en route. Je découvrais très vite que les allemands étaient partis sans attendre leurs camarades (à elle est belle la solidarité allemande tien !). Il me fut quand même facile de retrouver leurs traces grâce aux traces de chenilles imprimées dans la boue. Je ne les retrouvais qu’à la nuit tombée. Les chars étaient disposés en cercle, au centre les soldats veillaient autour d’un grand feu qui projetaient des ombres dansant sur les toiles de tentes allemandes. Deux heures plus tard il n’en restait plus que trois éveillés. Je mis quelques dizaines de minutes à établir une stratégie. Je lançais alors une grenade sur le feu. Les trois soldats présents succombèrent sur le coup. Les braises se répandirent un peu partout sous le souffle de l’explosion, se qui mis le feu au tentes alentours. Je lançais un fumigène au moment ou les soldats réveillés par le bruit sortaient de leur tente à présent en flammes. Je balançais deux grenades à travers le panache de fumées. Quelques soldats en réchappèrent et une fusillade à l’aveuglette commença semant un peu plus la confusion au milieu de ce chaos, une balle transperça mon épaule, la douleur était intense, des cris de douleurs retentissaient un peu partout autour de moi, tout devenais flou. Mais surpassant la douleur j’envoyais mes dernière grenades qui firent explosé un char. C’est ce moment là que choisi une division anglaise pour arrivée et se mêler au combat. Malheureusement pour moi un des nombreux débris envoyé en l’air m’assomma en retombant.  Quand je me réveillais, des soldats alliés s’affairaient autour de moi. Je pus saisir quelques mots : « La guerre est fini pour lui –Il est dans un sale état ». Je me senti soulever et je m’évanoui.

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5 août1944 :   Je me réveillais dans un lits confortable autour de moi tout était blanc, mon regard était encore flou. Etais-je au Paradis, j’en doutait fort a moins que dans le Paradis flottait cette désagréable odeur d’hôpital Mon épaule et ma tête étaient pansées. Une infirmière  vint me voir, me nourri, et m’aida à me levé. On m’appris que j’était dans l’hôpital militaire de …Je ne m’en souviens plus ma tête était tellement lourde et mes oreilles sifflaient que je n’entendis rien.

7 août 1944 : Je fus conduis ce jour là devant  un commandant dont, avec le temps, j’ai oublié le nom qui me nommais alors capitaine ; mais pour moi la guerre était fini, du moins je le croyais !

10 août 1944 : Je suis rétabli et que on me confie une escadrille de Spitfire, comprenant quinze appareils. Je fais la connaissance de mes pilotes : tous ont au moins trois ans d’expérience derrière eux. Une chance de plus pour moi.

23 août 1944 : Les troupes alliées marchent sur Paris je suis chargé de couvrir les troupes depuis le ciel. Puis le 25 nous libérons Paris et sommes accueilli en héros.

30 août 1944 : Les missions se succèdent les une après les autre, succès après succès. Elles consistent à ralentir voir à anéantir le replis ennemis. Par contre ce soir là les radar alliés ont repéré des chasseur ennemis en approche : ultime désespoir ou simple diversion ? Dans tous les cas nous devions les abattrent. Deux minutes plus tard nos avions vrombissaient et nous décollions. Le soleil était au zénith et la visibilité parfaite, notre escadrille volait parfaitement serrée ; tel le faucon prêt à fondre sur sa proie. Après huit minutes de vol l’escadrille ennemie fût en vue. J’en dénombrait vingt cinq. Nous partîmes en piquée puis remontimes en chandelle et ouvrîmes le feu. L’effet de surprise fût total ; à tel point que nous nous retrouvimes alors a quinze contre dix. Les mitrailleuses crachaient des balles comme s’il en pleuvait. La fumée des appareils en flammes nous masquait le soleil. Le combat était terrible : mes pilotes expérimenté ne faisait qu’une bouchée des pilotes allemands qui redoublaient en vain d’ingéniosité pour nous piéger. A ce moment là un allemand arriva en pique sur moi tout en tirant comme un forcené, cela faisait un boucan de tous les diables. Je ne pu me sortir de ce traquenard qu’en remontant en chandelles et finir par un looping du feu de Dieu. Je me retrouvais donc en position de force, fi feu et abattu mon adversaire qui tombait comme une pierre.                          Je rentrai à la base mission accomplie mais malgré tout une victoire au goût de défaite : j’étais partis avec 15 appareils et rentrais avec 7.

De septembre à janvier 1944-1945 : Je continus mes offensives dans le nord est de la France.

15 février 1945 : Mes supérieurs m’annoncent que l’armée américaine a besoin de bon pilote dans le pacifique. Je pars donc dans le pacifique avec 6 autres pilotes britanniques. A mon arrivés j’eus l’honneur de piloter les célèbres avions « Corsair » américains et je pu également affronter dans de sanglant combat aérien les « As » japonais. Le 18, mon compteur affichait 18 victoires (espérons 28 le 28 février).

Votre prof d histoire géo vous expliquera tout ça en détail.

1er  avril 1945 : Ce jour là commençai la bataille d’Okinawa qui engagea 150 000 soldats américains contre plus de 120 000 soldat japonais. Ma mission consistait à appuyer les troupes au sol, de bombarder les blockhaus japonais et d’éliminer les bombardiers japonais. Le lendemain ma mission consistait à détruire une base japonaise avec huit bombardiers. Nous volions en formation serrée dans une nuit noire comme de l’encre, mais les lumières de la base trahissaient les japonais. Mais a peine au dessus de notre cible que les D.C.A. japonaise crépitèrent. Surpris quatre pilotes lâchèrent leurs bombes, ce qui détruisit la cantine et ce que je pense être deux postes à mitrailleuse. Je lâchais à mon tour mon chargement meurtrier et détruisis les canons anti-aériens. Mais ils avaient déjà trop endommagé mon appareil me contraignant à atterrir en catastrophe au beau milieu de la jungle.

2 avril 1945 : Je me trouvais donc seul dans la moiteur de la jungle du Pacifique. D’après le point de chute de mon avion j’en déduisis que je n’étais pas très loin de la base japonaise. Je décidai donc de m’éloigner en emportant tout ce qui pouvait me servir à bord de mon appareil. Je m’éloignait désormais seul dans la jungle sous une chaleur torride avec pour seuls alliés mon couteau et ma mitraillette Thomson. Heureusement pour moi je ne croisai aucune patrouille japonaise. Au bout d’une heure, me pensant assez éloigner, je trouvais un arbre recouvert d’une humide mousse, y montais et m’y installais le plus confortablement possible. La faim me tiraillant, je mangeais, cru, un oiseau attrapé dans un arbre alentour et complétais mon repas par quelque fruits que je ne connaissais. Vers midi, entendant un bruit, j’aperçois un soldat japonais seul. Me faufilant derriere cette face de coing, je lui tranchais la gorge en un éclair, pris ses armes et enfilais ses vêtements. Une idée folle me vint a l’esprit et je me dirigeais déjà vers l’avant poste japonais. En route je me jaunissais la peau à l’aide de fruits trouvé en chemin. Me pensant assez japonais, je me penchais au dessus d’une mare saumâtre en admirant tant bien que mal mon reflet mon reflet. Le mimétisme était parfait ! Mon plan était d’infiltrer les premières lignes japonaises et d’y faire un maximum de dégâts. Etait ce un élan patriotique ou bien un élan de folie? Un mixage des deux peut être ! Ayant appris le japonais durant mes études je pensai bien le débrouillé. Je jetais un coup d’œil sur mes « nouveaux » papiers : « sergent Iwo Nakato 2° armée d’infanterie 4° bataillon ». Me voila donc sergent dans l’armée japonaise !  A la porte de la base un soldat me fit entrer dans la base après m’avoir fait décliner mon identité. Une fois entré, je me livrai discrètement a un petit état des lieux de cette base poussiéreuse mais néanmoins très agitée: il devait y avoir neuf cents soldat sur le pied de guerre, une dizaine de véhicules blindée sans compté trois chars stationné devant la base. Plus loin, j’aperçu une piste de décollage avec quelques hangars ou on pouvait mettre une dizaine d’avions. Les pièces d’artilleries ce situaient derriere la base. Il me fallait maintenant trouver mon baraquement pour passer la nuit ; il me fallait bien dormir car je pensais agir demain dans la nuit. Les américains avait prévu de bombarder la zone le quatre avril au matin, l’infanterie arrivant juste après.  Je passa la nuit dans le baraquement C4 partie B. Je devais saboter les installations militaires en procédant avec ordre et méthode. Aux petites heures du matin je dérobais des explosifs ainsi que divers pinces et outil pouvant servis a mes petit sabotages. J’avais également caché quelques armes pour préparer ma fuite. A dix heures je mis le feu à la cantine, cela me créa la diversion que j’attendais, tandis que tout le monde s’affairaient a éteindre l’incendie, je sabotais les canons anti-aériens. Je plaçais ensuite des explosifs sur la porte principale qui explosais quelques minutes plus tard dans un vacarme assourdissant. Alors que les soldats arrivaient sur les lieux de l’explosion je plaçais des explosifs sur les chars qui explosèrent dans les minutes qui suivirent. Je passa récupérer les armes cacher plus tôt dans la matinée et je courais rejoindre le terrain d’envol, et décollai aux commandes d’un bombardier japonais. Le temps d’aller voir les chars éteindre les incendies s’étant déclarés j’étais déjà en l’air quand les japonais s’aperçurent que l’un de leur bombardier était en vol. Il était alors 18 h 30 lorsque avec leurs propres bombardiers je larguais mes bombes sur la piste de décollage puis lançais mon avions au hasard sur la base avant de sauter en parachute dans la jungle. Une fois que j’eu touché terre je me dis que cette fois ci on envoieraient des hommes a ma poursuite. En effet une heure a peine plus tard, une patouille japonaise passa a ma portée : environ vingt soldats : ils avaient l’air sacrément remonté les bougres. J’envoyas trois grenades, une toute les sept seconde et une rafale de mitraillette pour achever le dernier. A peine le dernier soldat rendait l’âme qu’un gros bruit attira mon attention : un char léger s’approchait. Me dissimulant derrière un arbre je le laissai passer puis montait discrètement dessus abattait le conducteur et le tireur et en prenait le contrôle. J’avançais avec peine à travers la jungle japonaise. Arrivé au alentour du camp américain, je délaissai mon véhicule pour continué a pied, j’informais mes supérieurs, qui me pensai mort, de ce que j’avais fait et que le plus tôt possible serait le mieux pour lancé l’opération. Je reçu a cette occasion la plus haute distinction militaire américaine: la Médal of honor pour acte de bravoure exceptionnel au combat, tel que le non accomplissement de cet acte n’aurait pu être reproché à l’intéressé. J’obtenais également le grade de commandant.

8 mai 1945 : Les forces Nazies signent l’armistice a l’issue de la bataille de Berlin opposant les russes au nazies. La guerre était finie en Europe. Mais la guerre n’était pas finie pour autant, à l’Est le Japon terrorisait encore l’Asie.

6 août 1945 : Aujourd’hui est un grand jour, un jour capital dans l’histoire du monde : j’allais mettre un terme a la tyrannie japonaise grâce a la bombe la plus perfectionnée du monde, en bref une arme de destruction massive. C’est la première bombe au monde à utiliser l’énergie atomique, composée en grande partie d’uranium 235 et de plutonium, elle est capable de causer des ravages jusqu'à maintenant surréaliste. Cette bombe en question répondait au doux nom de « little boy » pesait quatre tonnes et mesurait quelques trois mètres. Je devais lâcher mon chargement meurtrier en plein milieu de la ville japonaise de Hiroshima. Je m’envolais donc sur un B-29 de l’US Army nommé « Enola Gay » avec quelques membres d’équipage ainsi qu’avec deux autres B – 29. L’explosion produit une fantastique déflagration ainsi qu’un champignon de fumée de plusieurs centaines de mètres de haut. J’appris plus tard, à mon plus grand désarroi,  que ma bombe avait tuée sur le coup quelques 75000 âmes

9 août 1945 : La plus grosse bombe atomique de cette guerre fut larguée au dessus de la ville japonaise de Nagasaki ce jour  là. Cette bombe-ci s’appelait quand a elle : « Fat man ». Quelque jour plus tard le Japon capitulera et la guerre sera définitivement finie.

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Olivier

Professeur en lycée et classe prépa, je vous livre ici quelques conseils utiles à travers mes cours !