Chapitres
- 01. Introduction
- 02. Les anagrammes
Introduction
Dans le programme de 3ème, en Probabilités, au sujet des expériences aléatoires, il est expressément demandé de ne pas aller, lors d'une expérience aléatoire, au-delà de deux épreuves successives.
Pour ne pas noyer les élèves ?
Dans la mesure où le moyen principal utilisé pour calculer les probabilités des évènements , à savoir, l'arbre (pondéré ou non) peut s'avérer trop lourd à manipuler, quand il y a plusieurs issues possibles ?
Puisque le nombre de branches d'un tel arbre peut devenir très vite très grand, au fur et à mesure où les épreuves de l'expérience se multiplient ?
Peut-être !
Hélas, cela est très limitatif. Cela n'autorise plus la résolution d'un certain nombre de problèmes "réels" .
C'est frustrant, surtout que les mêmes instructions recommandent (par la suite ou avant, peu importe) de "coller à la réalité", dans l'approche des problèmes de calcul des probabilités.
Et la réalité, ce n'est pas toujours "lancer une fois ou deux (au plus) " un dé à 6 faces mais bien le lancer 4 ou 6 fois. Si ce n'est davantage.
Alors voici un outil qui peut faire que cette crainte de noyer l'élève peut être écartée, lors des calculs de probabilité des évènements liés à une expérience aléatoire à plusieurs épreuves.
Cet outil, c'est les anagrammes.
Les anagrammes
Dans le document ci-dessous (format .doc), je traite de celles-ci et de leur éventuelle utilisation dans le calcul des probabilités.
Bonne lecture.
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