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Introduction

Comment connaître la vérité ?
La recherche de la vérité se fait par la remise en question de ce que nous connaissons.

Le sujet « pourquoi vouloir la vérité ? », présuppose que l'Homme est à la quête de la Vérité, ici la vérité signifie la connaissance, le savoir absolu sur le monde, les choses qui nous entourent et sur nous, les Hommes. Depuis des siècles, les plus grands savants du monde, sont à sa quête pour ainsi la transmettre à l'Homme. Mais elle a aussi était déformée, réfutée par grands nombre de philosophes. Il est donc intéressant de se demander s'il est nécessaire que l'homme veuille rechercher la vérité, plutôt que de rester dans ses illusions ? Pour commencer, nous définirons la Vérité et analyserons les différentes définitions qu'on lui prête, ensuite nous verrons que la Vérité est une sorte de libération puis enfin nous verrons que malgré tout , elle est souvent remise en cause.

Qu'est ce que la Vérité ?

En cours de philosophie, c'est une question que tout le monde se pose, même Ponce Pilate l'a demandé au Christ et sur lequel on a pu tout dire.

La définition de la Vérité

Comment définir un axiome ?
En Mathématiques, nous parlons aussi de vérité !

La Vérité comme adéquation. Comme le dit St Thomas d'Acquin « La vérité est l'adéquation de la chose et de l'intellect », et non ce que l'on pense couramment comme étant seulement le contraire du mensonge ou ce qui n'est pas faux. En effet la Vérité est le lien entre le Réel et la chose donc seuls nos jugements peuvent être considérés comme vrais ou faux.

La vérité, du latin veritas signifiant "vérité", dérivé de verus qui signifie "vrai", est la correspondance entre une affirmation et la réalité à laquelle l'affirmation se réfère. Cependant, cette définition correspondantiste de la vérité n'est pas la seule ; il existe de nombreuses autres définitions du terme et des débats traditionnels centrés sur diverses théories de la vérité.

Un axiome en mathématiques est la première vérité admise sans preuve.

Définition générale de la vérité

La vérité est une idée abstraite qui renvoie à l'intersection pour l'Homme d'une croyance en un système issu de la conscience et représentant la réalité et de l'utilisation d'un langage approprié à cette vérité à laquelle est appliqué le symbolisme phonétique.

La Vérité et croyance

Il est intéressant aussi de se demander si la Vérité est une croyance ou si la croyance s'oppose à la Vérité est la base de la Croyance en toutes les religions, Jésus Christ dit même « Je suis la Vérité ».

la Vérité selon Socrate

Pour Socrate, la Vérité n'est pas un simple savoir que l'on apprend tous les jours, en effet il pensait que la Vérité était une partie de nous et que seul l'Homme détient le pouvoir de la réveiller, cette Vérité brûle de se manifester. Socrate se considère comme étant l'accoucheur de la Vérité dans l'esprit de l'Homme. Nous verrons dans une prochaine partie que Socrate est en ce sens rejoint par Platon. C'est l'éveil de l'intelligence.

Les théories concernant la vérité

Comment être pragmatique ?
Selon les personnes et les pensées, la vérité peut se présenter et se définir de différentes manières.

Le correspondantisme

Le groupe de théories définissant la vérité comme une relation de correspondance entre une contre-vérité et quelque chose de réel est connu sous le nom de correspondantisme, parfois appelé théorie de la vérité-correspondance. Une déclaration n'est vraie que si elle correspond à la chose à laquelle elle se réfère dans la réalité.

Le cohérentisme

Le groupe de théories qui définit la vérité comme une relation logique d'une théorie composée de plusieurs éléments énoncés est connu sous le nom de cohérentisme. Une déclaration n'est vraie que si elle est un élément d'un système cohérent de déclarations.

Le pragmatisme

L'école de pensée pragmatiste définit la vérité comme la qualité d'une croyance satisfaisante qui émerge à la conclusion de l'étude. Les deux plus grands pragmatistes sont William James et Charles Sanders Pierce.

Le constructivisme

Le mouvement constructiviste englobe toutes les théories qui soutiennent que la vérité est une création socialement construite.

Le redondantisme

Selon la théorie redondantiste de la vérité, la vérité est indéfinissable puisqu'elle est redondante. La thèse de l'équivalence, qui stipule que dire quelque chose à haute voix est équivalent à dire que c'est vrai, est ce qui distingue le redondantisme. En d'autres termes, dire "p est vrai" équivaut à dire "p est" par lui-même, ce qui signifie que dire "...vrai" ne signifie rien de plus. Le mouvement redondantiste a été défendu pour la première fois par Gottlob Frege.

L'histoire de la notion de vérité

Selon Georges Van Riet, si l'on adopte la ligne de pensée de Hegel, " la vérité que cherche la philosophie étant éternelle et immuable, alors elle ne tombe pas dans le domaine de ce qui passe, et elle n'a pas d'histoire ", alors " les conceptions de l'histoire de la philosophie et de la vérité semblent antinomiques. " Cependant, Hegel lui-même a proposé une philosophie de l'histoire qui cherche à résoudre cette contradiction en affirmant que les philosophies individuelles ne sont que des étapes dans le développement progressif de la philosophie, qui n'est rien d'autre que le cheminement de l'esprit vers l'acceptation de lui-même dans sa vérité.

La Vérité comme étant une libération

La délivrance de l'ignorance

L'ignorance enferme l'Homme et est capable de tuer ou de faire mal. L'ignorance est le fait de ne pas savoir, de ne pas posséder une certaine connaissance. Etre ignorant aujourd'hui c'est regarder une éclipse sans lunettes de protection ou partir dans un pays Equatorial sans médicaments contre le paludisme ou sans vaccin contre la fièvre jaune. En cela il est clair qu'on peut dire que l'ignorance blesse plus que la Vérité, et dans ce cas là, la découverte de la Vérité est primordiale pour l'Homme car elle lui sauve la vie. Une des raisons aussi que l'Homme veuille accéder à la Vérité, est qu'il en a été trop longtemps privé, par exemple pendant plusieurs siècles les messes étaient célébrées en latin, ce qui empêchait le Tiers Etat d'accéder aux paroles bibliques, l'essence même de la Vérité chrétienne. Pour prendre un exemple plus récent, la question des méfaits ou des bienfaits de la colonisation est aujourd'hui d'actualité, mais la vérité sur la colonisation n'est encore pas accessible à tous et encore des gens sont dans l'ignorance et donc en quelques sortes exclus, notamment les jeunes.

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L'allégorie de la caverne de Platon

A travers l'allégorie de la caverne que l'on trouve dans le livre VII de la République, Platon place l'Homme dans une condition d'ignorance, en le plaçant dans un monde obscure, un monde où la lumière n'est pas. Cette lumière qui personnifie la lumière de la connaissance manque à l'Homme, mais ce monde a une ouverture sur la lumière sur la connaissance, sur la Vérité. Ce qui montre que l'Homme n'est pas condamné à l'ignorance et qui peut accéder à la Vérité. Tout cela est mis en scène par des prisonniers d'une caverne avec leurs jambes et leur cou enchaînés depuis leur enfance. Platon montre en fait que ces Hommes sont emprisonnés par leur ignorance, la clef de leur chaîne est nul autre que la lumière, la Vérité et que eux seuls peuvent y accéder. Leur principal crime est le fait qu'ils croient savoir alors qu'ils ne savent rien alors que le philosophe lui est conscient qu'il ne sait pas, ce qui le rend Grand, la découverte de la Vérité détache ses chaînes et le libère des illusions. Cette allégorie peut être soutenue par l'exemple suivant, la découverte de l'héliocentrisme de Galilée a été rejetée par l'opinion publique, qui était convaincue que la Terre était au milieu de l'univers bien que celui-ci avait de solides démonstrations.

La Vérité est la source du progrès

La Vérité a permis à l'humain de sortir de l'ignorance et a été le moteur qui l'a conduit à la connaissance de soi est du monde qui l'entoure. C'est en cela une liberté et rejoint la Genèse, « La Vérité vous affranchira ». Elle a permis aux grands Hommes de démentir toutes les erreurs antagonistes comme Aristote qui démenti que la Terre était plate, elle éclaire les Hommes, en effet l'on pu voir la fausseté de certains alchimistes qui prétendaient pouvoir créer de l'or à l'aide de formules. Grâce à la Vérité, l'Homme a des repères, mais nous allons voir que pour certains Hommes il est préférable que la Vérité n'existe pas.

La remise en question de la Vérité

Le renoncement à la Vérité

Certain philosophe pense que l'Homme ne doit pas aboutir à la Vérité, bien qu'ils aient des façons de penser différentes. En effet, Sartre est plus direct quand il dit que la révélation de la Vérité de l'existence aboutit à l'absurdité. "C'est dans un sens aussi restreint que l'homme veut seulement la vérité : il convoite les suites agréables de la vérité, celles qui conservent la vie; envers la connaissance pure et sans conséquence il est indifférent, envers lés vérités préjudiciables et destructives il est même hostilement disposé. »

Nietzsche veut en fait dire que l'Homme ne veut pas la Vérité pour elle-même, c'est-à-dire la connaissance et la délivrance de l'ignorance comme on le croit. En effet, l'Homme a tendance à choisir sa Vérité selon Nietzsche, si cette vérité le dévalorise, il ne l'acceptera pas, c'est en effet ce qui s'est passé avec la théorie de Darwin qui place l'Homme dans l'évolution animale, et cette théorie à été violemment réfuté par l'église car elle contredisait l'Ecriture, alors que si Darwin avait prouvé que l'Homme descendait d'Adam et Eve il aurait été adulé par l'église, car il aurait mis fin au doute des gens. C'est ce que Nietzsche veut dénoncer, il recommande même à l'Homme de rester dans l'illusion et de renoncer à la quête de la Vérité. Le sceptique est proche de la pensée de Nietzsche car il dit que tout objet est relatif, c'est-à-dire que personne ne perçoit une chose de la même façon, par exemple une personne peut dire que l'acteur qui joue dans ce film n'est pas très doué alors qu'une autre personne le trouve plein de talent. C'est pourquoi le sceptique propose de n'émettre aucun jugement.

Le cogito, la seule certitude

Descartes déclare que la seule certitude que l'Homme doit avoir, c'est le cogito, c'est-à-dire « je pense donc je suis », pour lui, seul ce cogito est irréfutable, il conclut donc que si une chose peut être démontré comme le cogito alors elle est vraie. Pour lui, la Vérité ne doit pas être comparé aux choses mais par rapport à cette intuition certaine .

L'opinion publique

Pour l'opinion publique, la Vérité n'est pas toujours bonne à dire, en effet elle peut blesser et donc est éviter par les Hommes. Par exemple, lorsqu'un médecin doit annoncer à son patient qu'il va mourir, il préfère s'abstenir ou encore lorsqu'un homme renonce à dire à ses parents qu'il est homosexuel par peur de les blesser, il préfère s'abstenir et ainsi vivre dans le mensonge. L'opinion publique semble avoir peur de la Vérité ou de la découverte de la Vérité, en effet, on assiste parfois à des parents qui pensent que la philosophie en terminale est trop tôt pour l'enfant, alors que la philosophie est le principe même de la quête de la Vérité, n'est ce pas plutôt par crainte ou refus de la vérité ?

Les différentes formes de la vérité

La vérité d'un point de vue logique

Les valeurs de la vérité

Une proposition appelle une réponse du destinataire sous forme d'acceptation, de rejet ou de doute dès lors qu'elle exprime un jugement. Une proposition exprime un jugement ; elle contient des mots qui renvoient à des idées ; elle a une structure interne ; et pourtant, elle forme aussi un tout.

La logique classique ne reconnaît que les deux premières possibilités : une déclaration est vraie ou fausse. On pourrait arguer que le schéma binaire vrai-faux est inapproprié parce qu'il existe de nombreux chats de couleurs différentes au lieu de seulement des chats blancs et noirs. Ce serait une erreur d'oublier que dans cette optique, le faux s'oppose au vrai, non pas de la manière dont le noir s'oppose au blanc, mais plutôt de la manière dont le non-blanc s'oppose au blanc.

Mais sous un autre angle, cette dichotomie vrai/faux est contestée : que se passe-t-il si la réponse à la question posée est inconnue ? Bertrand Russell soutenait que la vérité est indépendante de la manière dont nous pouvons l'obtenir ; ce point de vue est différent de celui des intuitionnistes comme Roger Apéry, qui préconisent d'appliquer le principe d'exclusion des tiers uniquement aux objets mathématiques achevés. Pour un intuitionniste, un énoncé est vrai si toutes ses démonstrations sont présentes, et faux si toutes ses démonstrations sont absentes.

Une autre question qui a été posée depuis les Grecs est le paradoxe du menteur, selon lequel certaines assertions ne peuvent être considérées comme ayant une valeur de vérité sans paradoxe. D'autres assertions peuvent être vraies ou fausses à volonté, notamment le théorème de Gödel. Plus précisément, ces assertions peuvent être librement choisies comme axiomes ou rejetées comme axiomes, ce qui indique que leur vérité conventionnelle. Le meilleur exemple en est le postulat d'Euclide, qui se distingue des autres axiomes de la géométrie.

Le traitement des fonctions de vérité

Boole a été le premier à écrire la logique en symboles maniables ; il voyait une algébrisation linguistique dans ce contexte sans trop se soucier des fondements. Frege a interprété tout connecteur comme une fonction, inventant le terme "fonction de vérité" en 1879 pour désigner qu'en logique propositionnelle, la valeur de vérité d'une composition énoncée ne s'écarte jamais de la valeur de vérité de la composition énoncée. En d'autres termes, les connexions sont utilisées dans un sens matériel depuis que Frege a relancé le conditionnel philonien dont il avait découvert l'efficacité.

La vérité scientifique

Comment vérifier une théorie ?
En sciences, comme dans beaucoup d'autres domaines, il est indispensable de connaître la vérité !

La vérité scientifique d'un point de vue pragmatique

Une application utile qui peut être faite des théories scientifiques est la vérification indirecte et partielle. Une théorie n'est pas "vraie" dans le sens où elle est simplement pratique ; elle est plutôt vraie dans le sens où elle ne peut être appliquée d'aucune façon si elle ne comporte pas un élément de vérité.

Vérification, réfutation et corroboration d'une proposition

Selon un point de vue largement répandu, le propre des sciences empiriques est d'employer ou de devoir employer des méthodes inductives, partant de vérités particulières pour aboutir à des propositions générales. Néanmoins, prise au pied de la lettre, une telle extrapolation comporte des risques d'erreur : quel que soit le nombre de cygne blanc observé, rien ne permettra d'affirmer que tout cygne blanc est nécessairement blanc. De plus, Reichenbach a soutenu cette affirmation en avançant l'idée que les énoncés scientifiques ne peuvent atteindre que des probabilités continues, les bornes supérieure et inférieure représentant respectivement la vérité et la fausseté. Karl Popper n'est pas d'accord avec cette stratégie.

Si une théorie ne peut être prouvée, on peut la réfuter. Si la théorie passe les critères de rejet, elle est confirmée. Popper oppose ce qu'il appelle une méthode de contrôle déductive à la "logique inductive" et ses degrés de probabilité. Popper croyait en la vérité absolue comme catégorie de la logique ; il ne croyait pas que la science puisse l'atteindre ou même s'en approcher comme une probabilité du vrai ; en fait, il se demandait même s'il s'agissait d'une connaissance :

La science n'est pas un système d'énoncés certains ou bien établis, non plus qu'un système progressant régulièrement vers un état final. Notre science n'est pas une connaissance - épistêmê - : elle ne peut jamais prétendre avoir atteint la vérité ni même l'un de ses substituts, telle la probabilité.

Ce faisant, Popper conteste directement les "pragmatistes" qui définissent la vérité scientifique en termes de "succès" d'une théorie.

Et pourtant, il ne croyait pas que cette vérité existait de quelque manière que ce soit. Il s'appuie pour cela sur les travaux de Tarski sur la validité et les modèles, notamment l'idée d'une "fonction propositionnelle universellement valide" qui conduit à la présence d'assertions vraies dans tous les mondes concevables. Dans le domaine des sciences naturelles, il la traduit comme suit :

On peut dire qu'un énoncé est naturellement ou physiquement nécessaire si et seulement si on peut le déduire d'une fonction propositionnelle satisfaite dans tous les mondes qui ne diffèrent de notre monde, s'ils en diffèrent, qu'eu égard à des conditions initiales.

La vérité dans le droit

La question de la justice et celle de la vérité sont étroitement liées. D'un point de vue juridique, la vérité est considérée comme "ce qui est vrai", c'est-à-dire tout ce pour quoi des preuves peuvent être présentées. Il est nécessaire de la reconnaître et d'en définir les limites.

La vérité historique

La recherche de la vérité historique soulève diverses préoccupations concernant la méthodologie historique. Ainsi, il est important de prendre en compte l'interdisciplinarité (que l'on étend au domaine de recherche), la collecte de matériaux et de sources, l'évaluation de ces matériaux et sources (fiabilité, mise en contexte, méthode d'interprétation utilisée pour écrire l'histoire), etc.

La vérité vérité du point de vu philosophique et religieux

Le mot "vérité" apparaît plusieurs fois dans l'encyclopédie Fides et ratio (1998). Dans cette encyclique, le pape Jean-Paul II affirme que le but de la philosophie doit être orienté "vers la contemplation de la vérité et la recherche des fins dernières et du sens de la vie."

Conclusion

En conclusion, en peut dire que les opinions sur la recherche de la Vérité étaient, sont et seront toujours aussi mitigés, certains Hommes préfèrent rester dans l'illusion, dans l'ignorance par crainte, refus de la Vérité ou pour être aussi peut être plus libre (par exemple faire des actes dangereux comme si la mort ne nous concerne pas). D'un autre côté, certains Hommes sont à la recherche de la Vérité à tout prix et passent par tous les moyens pour parvenir à la Vérité ( philosophie, religions, etc...) même les pires (sectes).

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Olivier

Professeur en lycée et classe prépa, je vous livre ici quelques conseils utiles à travers mes cours !